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  • Avec la montée de la violence, l’État a souhaité organiser une opération nationale d’abandon d’armes. Michel, retraité : «j’ai pas envie de laisser ça à mes enfants, ça sert à rien »

    Publié par Guy de Laferrière le 30 novembre 2022

     
    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1597862244708220930
  • La baguette de pain française inscrite au patrimoine immatériel de l’humanité par l’Unesco

    Publié par Guy de Laferrière le 30 novembre 2022

    La baguette de pain française inscrite au patrimoine immatériel de l'humanité par l'Unesco

    La baguette de pain française est inscrite au patrimoine immatériel de l’humanité, annonce l’Unesco ce mercredi. La France avait présenté la candidature de la baguette mardi, devant le Comité réuni au Maroc. C’est le savoir-faire artisanal et la culture qui sont distingués.

    L’emblème de la gastronomie française est désormais inscrit au patrimoine immatériel de l’humanité, annonce l’Unesco ce mercredi. Les boulangers français avaient présenté la candidature de la baguette mardi, devant le Comité présidé par le Maroc cette année.

    www.francebleu.fr via fdesouche

  • Perpignan : un couple d’Iraniens voit sa demande d’asile rejetée pour la quatrième fois, alors qu’il risque la peine de mort en Iran après sa conversion au christianisme

    Publié par Guy de Laferrière le 30 novembre 2022

    RÉCIT – Renier l’islam est un crime d’apostasie en Iran, mais le couple s’est vu refuser quatre demandes d’asile en France au motif que la sincérité de leur choix ne peut être prouvée.

    Dans le 55m2 prêté par le Centre d’accueil de demandeurs d’asile, Ata Fathimaharloei, 36 ans, et son épouse Somayeh Hajifoghaha, 37 ans, ne sont pas trop mal installés. Malgré les punaises de lit, ils possèdent un frigo, une machine à laver et disposent d’une chambrette pour les deux enfants, Moein et Daniel. L’horizon serait presque serein s’ils ne venaient de recevoir, mi-novembre, un nouveau refus de droit d’asile. Le quatrième en cinq ans. Ata accuse le coup. «Je dois avouer que cette fois-ci est très dure. Je pensais qu’avec la situation actuelle en Iran (les vagues de manifestations contre le régime des ayatollahs, NDLR), il y avait de l’espoir».

    Arrivés dans les Pyrénées-Orientales en 2018, le couple a fui l’Iran après la découverte par les autorités qu’Ata fréquentait une église chrétienne. Sur le document produit par un cabinet d’avocats iranien, certifié et traduit du persan, on peut lire : «Selon la Constitution iranienne et la loi islamique, tout Iranien ayant un père et une mère musulmans est également musulman et suivra la religion du grand prophète». Puisque Ata n’a pas exprimé «ses remords et sa repentance» après sa conversion, il est considéré par la République islamique d’Iran comme un «apostat». De facto, son contrat de mariage musulman est considéré nul et sa femme Somayeh, coupable adultère. Autant de crimes qui font planer sur la tête du jeune couple de lourdes peines de prison en Iran, jusqu’à la «sentence de mort».

    Quatre refus consécutifs

    (…) Le Figaro


    Ils avaient fui l’Iran en 2018 avec leurs deux enfants pour échapper à la peine capitale prononcée après la conversion du père au christiannisme. Le rejet de leur demande d’asile est “surprenante” et “révoltante”, dénonce leur avocat.

    Un couple d’Iraniens et leurs deux enfants, réfugiés à Perpignan depuis quatre ans, vient de voir sa demande d’asile une nouvelle fois rejetée alors que les deux parents font l’objet d’une condamnation à mort en Iran, rapporte dimanche 28 novembre France Bleu Roussillon.

    Une toute dernière demande est possible

    Le couple fuit son pays en 2018 pour échapper à des poursuites. Le père, musulman de naissance, risque la peine de mort pour s’être converti au christianisme. Son épouse est également menacée, poursuivie pour adultère. Son mari n’étant plus musulman, leur union est de fait annulée.

    (…) Pour leur avocat, maître Gérald Brivet-Galaup, “c’est une décision qui est très surprenante, très révoltante et totalement inopportune au regard de l’actualité dans ce pays.” L’avocat explique que le statut de réfugié est refusé à ses clients “au motif que les menaces de mort ne sont pas suffisamment étayées.” Selon lui, “il y a sans doute des considérations politiques qui [les] dépassent.”

    Francetvinfo

  • A Toulouse l’extrême-gauche règne par la censure et la violence sur la fac du Mirail: « Il y a une riche diversité de la grande famille de la gauche » ironise le député LFI de la circonscription

    Publié par Guy de Laferrière le 30 novembre 2022

    […]

    « Il y a une riche diversité de la grande famille de la gauche », abonde fièrement François Piquemal, député LFI de la 4ème circonscription de Haute-Garonne, sur laquelle est implantée l’université. Ici, l’espace idéologique semble être dominé sans partage. Slogans anticapitalistes, néoféministes, pro Palestine et anti « extrême-droite » offrent une mosaïque de couleurs rouges, où le bleu est proscrit. On y retrouve évidemment les formations situées à l’extrême gauche de l’échiquier politique, comme Révolution permanente, le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) de Philippe Poutou ou La France Insoumise. Même le Parti Socialiste et EELV y semblent exclus, sûrement trop ternes pour y figurer. De nombreuses manifestations partageant une idéologie commune et excluante, animent la vie du campus. « C’est très rare de passer une journée sans voir brandir des pancartes prônant l’antispécisme, l’écologie radicale ou autre », raconte Daphné, 21 ans, étudiante en civilisation étrangère.

    Dans un lieu de formation aspirant à développer un esprit critique, la diversité politique et idéologique n’est guère au rendez-vous. « Quand certaines idées ne passent pas, et bien elles ne passent pas », tonne François Piquemal, qui ajoute: « c’est tout de même préférable que les idées racistes ou de capitalisme extrême n’aient pas leur place ici ». Les tracts politiques de la droite et du centre y sont systématiquement retirés. « Nous avons beaucoup tracté durant les législatives, elles étaient déjà remplacées dès le lendemain », regrette Sébastien Canovas, responsable des jeunes Les Républicains de Haute-Garonne, parfois même en moins d’une heure.

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    « C’est impossible pour quelqu’un de non politisé de devenir de droite dans cette université », explique Yann Montigny, ancien étudiant en japonais et membre de Génération Zemmour.

    Octobre 2021, vers midi, une journée assez banale sur le campus de l’université Jean Jaurès, qui va voir son sol se couvrir de rouge… sang. Alors que Damien, militant Génération Zemmour, finit son repas au self, il décide d’aller coller des affiches de son parti sur le campus avec un ami. « Il n’y avait pas trop de passage, on en a profité », se rappelle Damien. Un jeune homme, vêtu de noir de la tête aux pieds, s’approche alors des jeunes militants. « Il se place en face de nous et commence à nous insulter, nous menace et arrache nos stickers ». L’individu, un militant « antifa » selon Damien, se décide finalement à partir, avant de revenir, déterminé. « Je me penche pour récupérer d’autres stickers, et à ce moment là je prends un coup de poing américain dans le crâne », rapporte le jeune homme. Le crâne est légèrement ouvert et sanguinolant. « Quand la sécurité est arrivée, l’antifa leur a dit: « Attrapez-les, c’est des fachos ». Ils nous ont dévisagé ». Hospitalisé et recousu avec quatre points de suture, Damien a fait confirmer sa blessure par un médecin expert juridique, avant de déposer plainte. Mais cette dernière n’a pas abouti. « Les caméras étaient comme par hasard tournés autre part. L’université n’a ensuite rien communiqué sur l’incident… Cinq jours plus tard, je suis reparti coller des affiches, ils ne me font pas peur ». « C’est quand même une provocation de venir coller des affiches pour quelqu’un qui a été pénalement condamné par la justice », commente le député LFI François Piquemal. Contactée, la présidence n’a pas souhaité répondre à nos sollicitations, tout comme le vice-président étudiant. Aucun professeur non plus n’a voulu communiquer sur le sujet. « Valeurs actuelles, c’est pas mon truc », a répondu un enseignant en histoire.

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    « Certains cours étaient clairement orientés politiquement, certains ont changé de nom et sont devenus des cours de féminisme », déplore Tom, notre ancien étudiant en sociologie. D’autres, comme lui, confirment la présence de certains biais idéologiques : « Une professeur a dit que plus les gens votent à droite, moins ils sont cultivés », rapporte Marine, 25 ans, étudiante en sciences humaines économiques et sociales.

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    Valeurs Actuelles via fdesouche

  • Cassandre Fristot nous parle du Pays Réel et du développement de Civitas

    Publié par Guy de Laferrière le 30 novembre 2022

    Auteur : 

    Cassandre Fristot a accordé à MPI TV un entretien au cours duquel elle revient sur la dynamique dont bénéficie Civitas depuis plusieurs mois et sur le réveil du pays réel.

     

     

     

    Source : medias-presse.info