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  • Manosque (04) : Mohamed, un Algérien de 39 ans, interpellé après avoir menacé le maire devant son domicile, il est également accusé d’avoir commis 14 délits en 4 mois dans la commune. “Il nous pourrit la vie”

    Publié par Guy de La Ferrière le 31 octobre 2022

    fdesouche

    L’homme est aussi suspecté d’avoir dégradé de nombreux commerces et des véhicules. Il doit être jugé ce mardi à Digne-les-Bains.

    “Cela fait trois semaines qu’il nous pourrissait la vie, il était temps que cela s’arrête”. Un élu manosquin ne cache pas son soulagement après l’interpellation récente d’un individu par les policiers de la ville.

    L’homme, âgé de 39 ans et connu de la justice, est suspecté d’être à l’origine de nombreux vols et des dégradations dans la ville. Des commerces, le local de la CGT ou encore des voitures.

    (…) Selon nos informations, Camille Galtier a reçu de l’individu de nombreuses vidéos menaçantes sur ses réseaux depuis plusieurs mois. Un jour, l’homme avait même fait le déplacement devant le domicile du maire pour tenter de l’intimider.

    BFMTV


    Il était reproché au prévenu, jugé en comparution immédiate, 14 délits commis entre juin et octobre. Il a été condamné.

    Difficile de suivre Mohamed Aissani, un ressortissant algérien de 39 ans, dans les explications fournies au tribunal de Digne, composé en comparution immédiate. Ce père d’une fille de 12 ans, qui se dit sans domicile fixe et vit du RSA, doit répondre de 14 infractions commises entre le 14 juin et le 19 octobre, à Manosque.

    (…) Le Dauphiné

  • « Je veux déménager » : à Lyon, Mélanie, régulièrement harcelée par des zonards à La Guillotière, témoigne de son calvaire. « Je leur dis qu’ils ont un comportement animal et me répondent que je suis raciste »

    Publié par Guy de Laferrière le 31 octobre 2022

    Mélanie rentre des courses dans le 7e arrondissement de Lyon, près de la Guillotière, mardi 25 octobre. En bas de chez elle, des hommes traînent. Ils vont la harceler violemment.

    Mélanie a vécu une terrible situation en rentrant de ses courses à 17h15, mardi 25 octobre. Alors qu’elle veut rentrer à son domicile, des hommes corpulents et alcoolisés traînent au pied de son immeuble, situé à Lyon dans le 7e arrondissement, proche de la Guillotière. Ils commencent à la harceler. Elle leur répond. Ils l’insultent… la situation dégénère.

    Un groupe de sept hommes l’encerclent

    Mélanie s’est confiée à actu Lyon, quelques jours après les faits. Elle contextualise : « Ce sont souvent des clients du bar et du coiffeur qui traînent en bas de mon immeuble. Souvent, ils sont alcoolisés. » Régulièrement, elle est victime de harcèlement, de remarques sur sa tenue… « J’en viens à me demander si je m’habille correctement. »

    (…) « Avant de rentrer chez moi, je rétorque « fermez votre gueule »! » Les insultes et les menaces à son encontre ont commencé à pleuvoir : « Sale chienne, sale pute… tu vas voir… » Mélanie poursuit son témoignage : « Je commence à avoir les larmes qui montent. Je leur dis qu’ils ont un comportement animal et me répondent que je suis raciste. »

    La police n’envoie personne : « Le flic me prend pour une hystérique »

    « J’ai eu un policier aberrant au téléphone. Il me dit qu’il ne comprend pas si je suis vraiment en danger ou non. Je viens de me faire harceler, un homme a voulu me frapper… Je lui demande d’envoyer quelqu’un mais il n’envoie personne. Il me dit de me calmer, de rentrer chez moi et d’aller porter plainte. J’ai l’impression que le flic me prend pour une grosse hystérique. Je lui dis que le problème ce n’est pas moi… »

    (…) C’est la boule ventre et accompagnée de son conjoint que la jeune femme de 29 ans a réussi à ressortir de chez elle. « J’avais peur de les recroiser. » Pour le couple, la situation devient insupportable. « Depuis le déconfinement, c’est de pire en pire. Avec mes amies, on a l’impression que Lyon, c’est devenu Marseille. En plus, on ne peut pas compter sur la police. »

    Mélanie avoue ne jamais sortir seule de chez elle le soir. « J’évite carrément des secteurs. Je ne suis pas passée par la Guillotière depuis deux ans. » Dans sa rue, c’est pire que tout. Bagarres, soirées bruyantes et alcoolisées au bar d’en face. Elle n’en peut plus : « les hommes pissent dans ma rue et quand j’arrive ils se retournent » pour lui monter leur sexe…

    « J’ai acheté ici, j’aime mon appartement mais le cadre se dégrade trop. Je veux déménager, on a commencé les recherches. » Une semaine auparavant, elle s’était déjà fait suivre dans la rue… « Heureusement, j’avais mon chien avec moi ». Il faut savoir que Mélanie a posé deux mains courantes. « On m’a déjà craché dessus en bas de chez moi ». Un enfer qui ne peut plus durer pour elle et son conjoint.

    Actu.fr via fdesouche

  • Libourne (33) : grièvement blessé à coups de couteau et de marteau lors d’une rixe en plein centre-ville

    Publié par Guy de Laferrière le 31 octobre 2022

    Il était près de 22 h ce 30 octobre, quand les pompiers ont secouru deux hommes après une rixe très violente dans le centre-ville de Libourne. L’un des deux, âgé de 35 ans, a été grièvement blessé au marteau et au couteau.

    On ne connaît ni les circonstances ni les participants de la rixe qui s’est déroulée ce dimanche soir, rue du Président Carnot à Libourne.

    Mais au vu des conséquences elle a dû être très violente. Car les pompiers ont été appelés vers 22 heures sur place pour secourir essentiellement un homme de 35 ans. Il avait reçu plusieurs coups de couteau et même des coups de marteau.

    Son état était préoccupant et les secours l’ont rapidement évacué, dans un état très grave, vers le centre hospitalier Robert Boulin de Libourne.  

    Un autre homme de 50 ans, légèrement blessé, a également été évacué vers le centre hospitalier.

    France 3 via fdesouche

  • Une soixantaine de tombes dégradées dans le plus grand cimetière de Nîmes. Des statues, des croix du Christ, des plaques ont été arrachés des pierres tombales.

    Publié par Guy de Laferrière le 31 octobre 2022

    Une soixantaine de tombes dégradées dans le plus grand cimetière de Nîmes

    « Faire ça à quelques jours de la Toussaint, je suis outrée. C’est révoltant. » Dans les allées du cimetière du Pont-de-Justice, à Nîmes, le chef-lieu du Gard, Elisabeth (elle n’a pas souhaité donné son nom), venue nettoyer le caveau familial, ne cache pas sa colère, ce dimanche. Quelques jours plus tôt, dans la nuit de mercredi 26 à jeudi 27 octobre, une soixantaine de monuments funéraires ont été dégradés. Des statues, des croix du Christ, des plaques ont été arrachés des pierres tombales. Sur certaines stèles, il ne reste qu’une trace en forme de croix, et quatre trous. Tous les objets funéraires ont disparu. Ils ont été dévissés.

    (…)

    Selon les premiers éléments de l’enquête, rapportés par Christine Tournier-Barnier, conseillère municipale déléguée à l’administration générale, les motifs de ces actes porteraient sur « un trafic de vol de bronze »« Ce sont des symboles en bronze qui ont été en priorité volés, des objets qui se revendent bien. Une vierge a aussi été dérobée mais elle a été retrouvée dans un fossé. Elle devait être trop lourde. » Une enquête est en cours, des empreintes ont été prises pour tenter de retrouver les voleurs. Jamais la ville n’a connu de tels actes de vandalisme dans ses cimetières.

    www.lemonde.fr via fdesouche

  • Émeutes à Pau (64) : Voitures brûlées, poubelles incendiées et mobilier urbain dégradé dans le quartier Saragosse, les pompiers sont intervenus sous escorte policière

    Publié par Guy de Laferrière le 31 octobre 2022

    fdesouche

    Plusieurs voitures ont été incendiées, dans la nuit de dimanche à lundi, à Pau, dans le quartier Saragosse. Des poubelles et du mobilier urbain ont aussi été dégradés, indiquent les pompiers, qui sont intervenus sous escorte policière.

    La soirée de ce dimanche a été agitée dans le quartier Saragosse à Pau. Plusieurs voitures ont brûlées, un feu à priori volontaire. Des poubelles et du mobilier urbain ont également été détruits, avenue Federico Garcia Lorca, ainsi qu’avenue du Loup. 

    Plusieurs individus vêtus de noir et cagoulés, munis de barres de fer ont été repérés dans le quartier. Les pompiers qui sont intervenus ont dû être escorté par la police. Le niveau “orange” violences urbaines a été déclenché, indiquent ce lundi matin les pompiers.

    France Bleu / crédit photo