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  • Pessac (33) : Fathia H. expulsée de son logement à cause des incivilités de ses enfants

    Publié par Guy de Laferrière le 31 octobre 2022

    A la veille de la trêve hivernale, cette habitante du quartier de Saige à Pessac, en Gironde, ne se retrouvera pas à la rue ce soir, même si l’expulsion a eu lieu. Ce n’est pas à cause de loyers impayés mais des incivilités de ses enfants qu’elle est dans cette situation. Ses soutiens s’étaient mobilisés ce 31 octobre pour éviter l’expulsion.

    La mobilisation ce lundi concerne tant les habitants du quartier que des élus et des associations. Car la situation de Fathia Hammami, 63 ans, interpelle. Cette habitante de Saige qui loue depuis près de quarante ans un appartement d’une des tours de Pessac, est menacée d’expulsion.
    Des soutiens se sont alors organisés pour faire ce lundi matin “un coup de force” disent-ils pour “faire barrage” aux forces de l’ordre et demander son relogement.

    Une expulsion

    Ce 31 octobre, les CRS arrivent dans le calme :“Nous allons monter au 13è étage pour procéder à l’expulsion de Mme Hammammi et ses fils pour un trouble de jouissance de l’appartement”. Le chef des forces de l’ordre dépêchées sur place sur ordre de la préfecture s’exprime haut et fort. Il vient de répéter sa démarche et il ajoute, à l’adresse des personnes venues soutenir la mère de famille : “une solution de relogement est en négociation avec la municipalité de Pessac”.

    La situation dure depuis près de trois ans à entendre les amis et quelques voisins qui entourent la sexagénaire. Ceux qui se plaignent, dit-elle, n’ont rien à lui reprocher à elle mais à ses fils, adultes. 

    Nuisances sonores, disputes, dégradations des parties communes. Le voisinage n’en peut plus et s’en remet au bailleur Domofrance. D’où cette décision de justice en appel, qui ordonne ce 15 octobre 2022, l’expulsion de la famille.

    (…) France 3 via fdesouche

  • Brésil, élections

    Publié par Guy de Laferrière le 31 octobre 2022

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    Stanislas Berton
     
    @StanislasBerton
     
    Au Brésil, Bolsonaro a gagné toutes les régions sauf le Nordeste, la plus corrompue du pays. Au 1er tour, un flux massif et inhabituel de trafic internet avait été enregistré en provenance des USA et en direction du Brésil, où le vote électronique est très répandu.
  • Paris : au Musée d’Orsay, une activiste stoppée alors qu’elle s’apprêtait à jeter de la soupe sur un tableau de Gauguin après avoir tenté de le faire sur une œuvre de Van Gogh

    Publié par Guy de Laferrière le 30 octobre 2022

    Une activiste a été interceptée jeudi par la sécurité du musée d’Orsay, à Paris, avant qu’elle ne jette de la soupe sur un tableau de Paul Gauguin. La scène a été immortalisée et diffusée sur les réseaux sociaux. Les faits se sont déroulés jeudi. 27 octobre. Le musée parisien avait renforcé la sécurité craignant ce genre d’événement très en vogue actuellement. La jeune femme a été conduite à la sortie avant l’arrivée de la police. Une plainte a été déposée.

    Pas de garde à vue et pas une goutte de soupe sur le sol du musée d’Orsay ou sur un tableau de la collection. Jeudi 27 octobre, le renforcement de la sécurité a payé dans le célèbre musée parisien, puisqu’il a permis de dissuader une jeune femme qui était sur le point de réaliser un happening en collant son visage contre un tableau et en jetant de la soupe sur un autre.

    Selon nos informations, l’activiste était accompagnée de plusieurs caméramans prêts à immortaliser une scène qui allait devenir virale à coup sûr. Mais elle a été prise de court au moment où elle a enlevé son pull dévoilant le message « Just stop oil » imprimé sur un tee-shirt blanc.

    Le maillage préventif mis en place par le musée était tel qu’un agent l’a aussitôt empêchée d’approcher de la célèbre toile de Vincent Van Gogh « Autoportrait à Saint-Rémy ». Une œuvre de l’impressionniste hollandais mort à Auvers-sur-Oise (Val-d’Oise), « Les Tournesols », avait déjà été ciblée par des activistes début octobre à la National Gallery de Londres où deux boîtes de soupe avaient été déversées sur la vitre protégeant la peinture.

    D’après nos informations, à Paris, la jeune femme voulait d’abord coller son visage sur la peinture de Van Gogh. Mais, empêchée, elle se serait alors dirigée vers une toile de Paul Gauguin, gourde à la main. Là encore, elle n’a pu aller jusqu’au bout de son geste, interceptée par un agent.

    Le Parisien via fdesouche

  • Saint-Denis (93) : un Haïtien «ultra violent», multirécidiviste, en situation irrégulière, connu pour une trentaine de délits et sous OQTF, interpellé et relâché après sa garde à vue, les centres de rétention administrative étant saturés

    Publié par Guy de Laferrière le 30 octobre 2022

    Interpellé ce vendredi devant la gare de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), un homme de 24 ans en situation irrégulière et défavorablement connu des services de police a été relâché après sa garde à vue dans une affaire de violences volontaires, selon le service police-justice de CNEWS .Une décision motivée par la saturation des centres de rétention administrative dans l’Hexagone.

    De nationalité haïtienne, le suspect est en situation irrégulière sur le territoire. Il s’était vu délivrer à ce titre, par le passé, au moins une obligation de quitter le territoire français (OQTF). Ce dernier est d’ailleurs actuellement visé par une interdiction administrative de retour sur le territoire français et un placement en centre de rétention administrative en vue de son expulsion.

    L’homme de 24 ans fait aussi l’objet d’une fiche de recherche pour une peine prononcée à son encontre de six mois de prison et 300 euros d’amende pour violences volontaires inférieures à huit jours d’ITT. Cependant, cette sanction devait lui être notifiée prochainement, lui laissant alors la possibilité de faire appel.

    Passé plusieurs fois par des centres de rétention administrative (CRA), il avait notamment agressé l’un de ses surveillants de deux coups de poings à la tête. «Comme il est ultra violent, ça doit être compliqué de le mettre dans un avion...» a confié une source policière à CNEWS pour expliquer les difficultés liées à son expulsion du territoire.

    Ce dernier est notamment connu des services de police pour une trentaine de faits différents depuis 2015, dont violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique (PDAP), transport de produits stupéfiants, vols avec violences, abus de confiance ou encore violences sur mineur. Dans bon nombre de ces dossiers, le suspect a été reconnu irresponsable sur le plan psychiatrique et placé dans un établissement spécialisé.

    cnews via fdesouche