Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 8

  • L’ONU veut imposer une pensée unique sur le climat

    Publié par Guy de Laferrière le 19 septembre 2023

    Melissa Fleming à la tête de la communication de l'ONU sur le climat

    “Nous avons le sentiment d’être engagés dans une guerre de l’information et nous devons intensifier massivement notre réponse”, a déclaré Melissa Fleming, Secrétaire générale adjointe de l’ONU à la communication mondiale.

    Dans un discours prononcé lors du Sommet du prix Nobel de cet été, mis en lumière sur X cette semaine par le journaliste indépendant Kyle Becker, Melissa Fleming a déclaré que l’ONU « s’est associée aux plateformes pour diffuser des informations fiables sur le COVID et le climat, pour amplifier les messagers de confiance, et nous avons tout un potentiel ». « Il y a une armée d’entre eux qui veulent s’approprier du contenu et en faire la promotion auprès de leurs abonnés, et également éduquer les utilisateurs sur la façon de ralentir la propagation de la désinformation », a-t-elle déclaré, vantant un nouveau slogan pour la consommation d’informations en ligne : « faites une pause, faites attention avant de partager.»

    Surveillance et censure

    « Nous avons l’impression que nous sommes dans une guerre de l’information et nous devons massivement intensifier notre réponse «, a déclaré Melissa Fleming. « Nous créons donc à l’ONU une capacité centrale de surveillance et également la capacité de réagir rapidement lorsque la désinformation et les discours de haine menacent non seulement notre peuple, nos opérations, mais aussi les problèmes et les causes que nous avons. je travaille dessus. »

    « Mais nous allons également accélérer notre initiative autour du changement climatique et développer ce code de conduite des Nations Unies sur l’intégrité de l’information sur les plateformes numériques, dans l’espoir d’établir des normes mondiales que nous pouvons tous défendre, afin que nous puissions travailler collectivement pour un Internet plus humain », a-t-elle ajouté. En des termes feutrés, Melissa Fleming veut donc imposer une censure sur internet de tout ce qui s’éloigne de la version officielle et anxiogène en matière climatique.

    Partenariat avec Google pour imposer la pensée unique

    Melissa Fleming est habitué à ce que l’ONU jouisse d’un monopole sur l’élaboration du discours climatique en ligne. L’année dernière, elle s’est vantée devant le Forum économique mondial de son « partenariat avec Google ». Par exemple, si vous recherchez « changement climatique » sur Google, vous obtiendrez, en haut de votre recherche, toutes sortes de sources de l’ONU.

    Fleming a également déploré que « presque tout le monde puisse promouvoir la désinformation » depuis que le magnat de la technologie Elon Musk a acheté la plateforme anciennement connue sous le nom de Twitter l’année dernière et a licencié tellement de modérateurs de contenu que l’ONU n’a « personne à qui faire appel » pour signaler les contenus qui ne vont pas dans son sens.

    Après l’acquisition, Musk a licencié plus de la moitié du personnel dans l’espoir de réduire les coûts et d’augmenter la rentabilité, notamment en supprimant les modérateurs de contenu et en remplaçant les vérificateurs de faits par une fonctionnalité de notes communautaires pilotée par les utilisateurs. Les régulateurs de l’Union européenne ont appelé Musk à embaucher davantage de modérateurs, tout en reconnaissant que les notes communautaires aboutissent au même résultat.

    C’est l’ONU qui désinforme

    Pendant des années, l’ONU a préconisé une action gouvernementale et privée pour réglementer la parole en ligne, ce qui les a mis en contradiction avec Musk, qui a acheté Twitter dans le but exprès de le rendre plus ouvert. « L’ONU est plus susceptible de provoquer la désinformation que de l’empêcher », avait déclaré Musk en février en réponse à de tels appels du secrétaire général de l’ONU, António Guterres.

    Par exemple, de nombreux experts du climat ont critiqué l’ONU pour avoir affirmé à tort que les catastrophes liées au climat, aux conditions météorologiques et à l’eau avaient augmenté de 500 % au cours du dernier demi-siècle. Le « consensus » anthropique sur le réchauffement climatique – l’idée selon laquelle l’activité humaine, plutôt que les phénomènes naturels, est la principale responsable du changement climatique de la Terre – qui anime l’activisme climatique est basé sur une manipulation généralisée des données, des modèles climatiques défectueux, une fausse représentation des sources et la suppression des conclusions qui contredisent leurs principaux chercheurs du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, de l’East Anglia Climate Research Unit et de la National Oceanic & Atmospheric Administration.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Pour les LGBTXYZ, Macron a toujours de l’argent

    Publié par Guy de Laferrière le 19 septembre 2023

    Pour les LGBTXYZ, Macron a toujours de l’argent

    La France a créé un fonds de soutien qui sera utilisé par ses ambassades pour défendre les droits des personnes LGBT+ dans le monde, a annoncé lundi 18 septembre le ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna.

    Ce fonds est doté de 2 millions d’euros.

     

    Source : lesalonbeige

  • C’était un 17 septembre 1793 : la « loi des suspects »

    Publié par Guy de Laferrière le 19 septembre 2023

    Petit rappel démocratique :
    le 17 septembre 1793, à la veille d’instaurer la Grande Terreur, la Convention vote la « loi des suspects ».

    Elle permet l’arrestation de ceux qui « n’ayant rien fait contre la Liberté, n’ont rien fait pour elle ».

     

     

    Tout le monde est menacé et les massacres vont prendre de l’ampleur.

    Notez que les manuels scolaires préfèrent évoquer avec effroi les « lettres de cachet » royales.

     

    Source : contre-info

  • La France expulsee d’Afrique ? Alors, l’Afrique doit quitter la France !

    Publié par Guy de Laferrière le 19 septembre 2023

    synthesenationale

    1664882040.jpg

    Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France

    Depuis moins d’une paire d’années, la France encaisse, en Afrique,  des « coups de pieds au derrière » sans rien dire. Elle bat piteusement, en retraite. L’ancienne puissance coloniale de l’AOF et de l’AEF plie sous les injonctions d’une clique de colonels et de généraux de pacotille formés -  un comble ! – dans ses écoles militaires.

    Ça commence par le Mali où, en août 2018, Assimi Goïta destituait le vieux président Ibrahim Boubakar Keïta, dit « IBK ». Avec, à la clef, « prière à l’armée française de dégager  », où elle a laissé tout de même, 58 des siens pour empêcher les djihadistes de s'emparer du pays. Depuis, ces derniers gagnent du terrain et, au train où vont les choses,  conquerront à terme,  Bamako. Une capitale où François Hollande, grotesque comme d’habitude, avait déclaré que « c’était le plus beau jour de sa vie » lorsqu’il fut reçu triomphalement par une population morte de trouille, heureuse de voir nos képis et bérets débarquer chez eux. Aujourd’hui, la donne a changé. On loue la Russie et les mercenaires de Wagner, lesquels  sont dans les coulisses, se payant comme en République Centrafricaine, « sur la bête », sans que leurs efforts soient à la hauteur de ceux de nos soldats. Une constatation. Alors que nous partons tête basse de ce pays, en France, l’excitée Assa Traoré continue de narguer les autorités avec son « cirque » permanent, et sa famille de repris de justice. D’ailleurs, posons-nous une bonne question : pourquoi autant de jeunes Maliens sont  chez nous, alors que leur patrie est en danger ?

    Et de deux, et de trois…

    Le 5 septembre 2021, le lieutenant-colonel Mamadi Doumbaya renversait en Guinée, le dictateur Alpha Condé au pouvoir depuis 11 ans. Dans la plus pure tradition des « golpe », « Alcazar remplaçait tapioca » ! Depuis, pour le Guinéen de base, rien n’a changé…Le seul Guinéen de haut niveau sensé, c’est le cardinal Sarah, qui  a une juste vision de la question migratoire.

    L’année dernière, c’était au tour du Burkina-Faso, l’ancienne Haute-Volta, de passer sous le contrôle d’une junte militaire dirigée par un jeune capitaine de 34 ans, Lequel exigeait le départ des commandos de forces spéciales françaises, qui opéraient dans tout le Sahel, dans le cadre de l’opération «  Sabre ». Résultats des courses ? Les 3/4 du Burkina sont infestés de rebelles musulmans, et les pertes de l’armée comme des civils sont très lourdes. Tout comme au Niger où, là aussi, les militaires du cru qui ont embastillé leur président,  exigent le départ des 1500 soldats  de la République française  stationnés à côté de Niamey, ainsi que celui de l’ambassadeur de France. Ce dernier  en serait réduit à manger des rations de combat, dixit Emmanuel Macron. Le pauvre ! Quelle déchéance….

    La méthode gabonaise

    Il me revient en mémoire qu’en1964, au Gabon, le très francophile président Léon M’Ba était renversé par une poignée de galonnés. Moins de 48 heures plus tard, il était rétabli dans ses fonctions. Une compagnie de parachutistes « gaulois » était passée par là, à Libreville ! (CQFD)  Autres temps, autres mœurs, la « Françafrique » - France à fric ? - c’est fini . Et puisque nous sommes au Gabon, restons-y, provisoirement.

    Le mercredi 30 août dernier, là aussi, le chef de la garde présidentielle, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, pourtant lié à la famille, a  destitué le président Bongo, fils de son père Omar, une véritable dynastie qui pille peu ou prou leur pays depuis plus de 50 ans. Le patrimoine du président déchu est estimé à 150 millions d’euros. Ali faisait vivre toute une tribu de parasites. (Aurait pu faire mieux s’il n’avait pas été déposé !!) Le Gabon est un pays riche en pétrole, en minerais recherchés  et en bois précieux. Sans compter qu’une nature belle et farouche pourrait attirer des masses de curieux et déverser, ainsi, la manne d’un tourisme responsable. Une différence avec les putschs précédents, là, on n’a pas réclamé le départ de la France, et les Russes ne semblent pas être dans le coup. D’ailleurs, peut-on leur en vouloir de tailler des croupières à la France, alors que cette dernière, avec Macron à sa tête, est à la pointe du soutien à l’Ukraine, prête sans doute, à se battre jusqu’au dernier ukrainien vivant ?

    « Le camp des Saints », un roman prémonitoire

     Alors que le débarquement sauvage de milliers de clandestins sur les côtes de l’île italienne de Lampedusa, annonce la continuité d’un mouvement de populations du Sud vers le Nord, nous sommes, nous Français, progressivement chassés d’Afrique. Ce « Camps des Saints »- l’ouvrage majeur de jean Raspail, -  est appelé à se renouveler en permanence, si l’Europe ne prend aucune mesure autre que de  répartir ce « stock  humain » entre les 27, dont beaucoup d’Etats à l’Est,  et à juste raison, ne veulent pas.

    L’Afrique nous met à la porte ? Mettons les clandestins Africains dehors !

     Dans un mouvement symétrique, nous devrions, nous Français, expulser massivement tous ces Africains clandestins qui vivent pour la plupart à nos crochets – quand ils ne vendent pas, ici ou là, des Tours Eiffel ! - grâce aux dons de l’Etat et à la complicité d’un tas d’œuvres dites « charitables », qui ne sont en fait,  que les « collabos » d’une invasion migratoire. Il est temps de dire, comme les Australiens, « No way », et d’envoyer les escadres navales européennes vers les côtes libyennes et tunisiennes, pour bloquer tout départ de migrant. Faute de cette décision salutaire, l’Europe croulera sous le nombre, c’en sera fini de l’une des  plus brillantes  civilisations de la planète. Comment voulez-vous qu’un Bantou remplace un Serbe, un Danois, un Catalan ou un Breton, en moins de temps qu’il n’en faut pour qu’une génération apprenne nos mœurs, usages et coutumes, bref qu’il s’assimile ? C’est une gageure inatteignable, les dernières émeutes qui ont ébranlé la France en sont la preuve. Une seule solution : l’Afrique nous met à la porte, nous Français ?  Alors mettons l’Afrique à la porte  de chez nous ! Et que l’on ne nous raconte pas de sornettes avec le refus des Etats  concernés d’accepter leurs ressortissants , nous avons de solides moyens de rétorsion : suppression des visas,  refus généralisé de la venue des étudiants du continent noir, confiscation des biens de toutes leurs « excellences », mise sous séquestre des avoirs de ces pays dans nos banques, arrêt des transferts d’argent pour les Africains en situation régulière, fermeture des robinets des aides diverses, etc…Il sera toujours temps, plus tard, de renouer les liens d’une coopération fructueuse pour les deux parties.

  • Colmar (68) : de nombreux poissons retrouvés morts après une action des écolos-gauchistes d’Extinction Rébellion. Ils ont versé un colorant ultra-puissant dans les canaux de la ville.

    Publié par Guy de Laferrière le 18 septembre 2023

    À Colmar, des poissons retrouvés morts après une action d'Extinction Rébellion

    À Colmar, la «Petite Venise» n’a désormais plus rien à envier à la grande. Samedi, les canaux de la Lauch qui entourent le centre historique de la ville alsacienne ont brusquement viré au vert fluo – comme ce fut le cas en mai dernier pour le Grand Canal de la Cité des Doges.

    La raison de ce brusque changement de teinte est du reste la même : de la fluorescéine, un puissant colorant organique qui vire au vert au contact de l’eau, a été déversée par des militants écologistes, comme l’a indiqué le quotidien régional Dernières nouvelles d’Alsace . Si à Venise les auteurs de cette action spectaculaire n’ont pas été identifiés, en revanche ce week-end à Colmar, c’est le groupe Extinction Rébellion de Strasbourg qui a revendiqué l’initiative, en relayant de nombreuses photos des fontaines et des canaux ainsi peinturlurés.

    Sur la page Facebook d’Extinction Rébellion Strasbourg, les militants de ce «mouvement prônant la désobéissance civile» précisent avoir voulu alerter contre le projet Stocamine, qui consiste à stocker des déchets toxiques (comportant de l’amiante ou du mercure par exemple) en les enfouissant dans un ancien site minier à Wittelsheim (Haut-Rhin). Les déchets enfouis dans les galeries doivent être entourés d’une chape de béton pour éviter la contamination de la nappe phréatique.

    www.lefigaro.fr via fdesouche