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  • Auto collage en Haute-Garonne

    Publié par Guy de Laferrière le 17 septembre 2023

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  • Lot de consolation médiatique pour Jean-Luc Mélenchon

    Publié par Guy de Laferrière le 16 septembre 2023

    synthesenationale

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    Philippe Randa

    Force est de constater que beaucoup, dans le monde politique, français notamment, ont fait leur cette phrase désormais passée à la postérité, qu’on a prêtée à l’acteur Pierre Fresnay (à propos de ses démêlés à la fin de la IIe Guerre mondiale), puis au journaliste Léon Zitrone : « Qu’on parle de moi en bien ou en mal, l’essentiel est qu’on parle de moi. »

    Les exemples ne manquent pas et il serait amusant d’en dresser la liste, mais contentons-nous de rappeler celui de Ségolène Royal, alors candidate à la fonction suprême en 2007 qui, lors de son voyage en Chine, évoqua la « bravitude » de ceux qui gravissent la Grande Muraille… On se gaussa alors de cette « inculte » qui avait employé un néologisme à la place du mot « bravoure »… avant de constater que tout le monde avait ainsi parlé d’elle et de son voyage qui, sinon, serait passé totalement inaperçu.

    Jean-Luc Mélenchon a-t-il eu la même intention cachée en déclarant, le 11 septembre, à l’occasion du 50e anniversaire du coup d’État au Chili : « Macron, Borne ont pour nous le même visage bestial commencé à Santiago du Chili… » : le visage en question étant à la fois celui du général Augusto Pinochet et ceux des Chicago boys qui « ont pu commencer leurs expériences sur le dos du peuple chilien ».

    Cette déclaration quelque peu saugrenue a probablement ravi ses partisans (pour les plus anciens qui savaient encore de qui et de quoi il parlait), mais en a sûrement interpellé plus d’un, et jusqu’au journaliste de Libération Thomas Legrand qui écrit que le leader de La France insoumise a sauté « de nouveau à pieds joints dans l’outrance. »

    Nombreux seront ceux qui ne verront là que les derniers soubresauts, quelque peu pathétiques, d’un vieux cheval de retour de la politique qui, conscient d’avoir perdu tout espoir d’accéder à la Présidence de la République française, cultive désormais l’excès verbal et les comparaisons stupides pour continuer d’exister. Malgré l’outrage des urnes autant que celui de l’âge.

    On peut également penser que l’aigreur ne fait pas tout à l’affaire et que Jean-Luc Mélenchon n’est ni le premier, ni sans doute le dernier, à manipuler au choix vocabulaire incertain, douteux rapprochement historique ou loufoque proposition… dans l’unique intention de capter un simple « quart d’heure médiatique », obsédé ensuite à le renouveler aussi souvent que possible… si possible !

    À défaut de gagner une élection, ça peut consoler…

  • Procès des lyncheurs de Philippe Monguillot : sans la peine de mort, les sauvages s’en sortiront forcément bien

    Publié par Guy de Laferrière le 15 septembre 2023

    Bruno Hirout

    Secrétaire général du Parti de la France // Directeur du magazine Réflexions // Co-directeur des éditions Saint Barthélemy

    « Le matin était heureux parce qu’il était encore là. On a bu le café dehors, on a préparé le repas puis il m’a dit « à ce soir mon amour ». Vers 18 heures 30, on s’envoyait des messages. Puis d’un coup, plus rien. »

    Le procès du chauffeur de bus lynché à mort le 5 juillet 2020 à Bayonne s’ouvre aujourd’hui. Sa veuve, déjà atterrée par la requalification des faits en « violences ayant entrainé la mort sans intention de la donner », explique qu’il « n’existe pas de punition à la hauteur de ce qu’ils ont fait ».

    En effet, ces gens n’encourent pas la seule peine qui garantisse à la société le zéro récidive : la peine de mort.

    Pour protéger la société et les honnêtes citoyens, et pour châtier les sauvages capables de battre un individu à mort pour un simple désaccord, le Parti de la France réclame le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus odieux.

  • Embryons pour produits pharmaceutiques avec l’accord de l’UE ?

    Publié par Guy de Laferrière le 15 septembre 2023

    Le Parlement européen s'opposera-t-il à l'utilisation d'embryons  pour les produits pharmaceutiques ?

    La Commission des Conférences épiscopales de l’Union européenne (COMECE) et le Katholisches Büro de Berlin ont publié conjointement une déclaration dans laquelle ils expriment leur profonde inquiétude quant à l’éventuelle approbation par le Parlement européen de l’utilisation d’embryons pour des produits pharmaceutiques.

    Les députés du Parlement européen sont appelés à voter sur le projet et les amendements présentés par la commission de l’environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire du Parlement européen (ENVI) relatifs au futur règlement sur les « Normes de qualité et de sécurité pour les substances d’origine humaine destinées à un usage humain », également connu sous le nom de règlement SoHO.

    Le Secrétariat de la COMECE, en collaboration avec le Katholisches Büro de Berlin, exprime sa profonde préoccupation quant aux conséquences possibles de la définition large de la « substance humaine » présentée dans le projet, qui pourrait inclure les embryons et les fœtus humains.

    “Le danger réside dans la possibilité qu’une telle définition puisse dégrader la dignité et la valeur de la vie humaine, en créant une équivalence inacceptable entre les embryons et les fœtus et les simples cellules de la peau ou le plasma sanguin”, explique le père Manuel Barrios Prieto, secrétaire général de la COMECE.

    Eugénisme ?

    En outre, la déclaration commune soulève des questions sur l’article 58 du projet. S’il est adopté, cet article autoriserait et exigerait des tests génétiques préliminaires sur les embryons et les fœtus, ouvrant potentiellement la porte à l’eugénisme.

    Enfin, le texte souligne la nécessité d’une plus grande clarté dans le projet concernant les droits des différents États membres de l’UE à réglementer ce domaine hautement éthique. La déclaration souligne qu’ “il doit rester la possibilité pour chaque État membre de refuser l’autorisation” de telles pratiques.

     

    Source : medias-presse.info

  • « Je peux protéger l’environnement jusqu’après ma mort » : ces Français qui veulent légaliser le “compostage humain” appelé “humusation”

    Publié par Guy de Laferrière le 14 septembre 2023

    En France, seules deux modes de sépultures sont autorisées: l’inhumation et la crémation. Les partisans de l’humusation, eux, militent pour la légalisation du compostage de nos défunts. «Je suis soucieuse de la protection de notre environnement. Et grâce à l’humusation, je peux l’être jusqu’après ma mort», justifie Florence Valdès, présidente de l’association Humusation France. Une vision partagée par Élodie Jacquier-Laforge. La vice-présidente de l’Assemblée nationale a même déposé, en début d’année, une proposition de loi pour légaliser cette pratique. «J’ai senti que mes collègues étaient très gênés d’aborder ce sujet», explique la députée MoDem qui porte le débat. (…)

    Partout où elle est pratiquée ou envisagée, l’humusation suscite la polémique et vient se heurter aux traditions et aux commémorations des morts. (…)

    En France, le code civil autorise uniquement l’inhumation et la crémation. Selon la loi, «les restes des personnes décédées, y compris les cendres de celles dont le corps a donné lieu à crémation, doivent être traités avec respect, dignité et décence.» (…)

    Le Figaro via fdesouche