Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 7

  • Polémique à Emberménil (54) : la maire d’un village signe un arrêté limitant le nombre d’animaux domestiques afin d’éviter “les bruits gênants”, les habitants encourent une amende de 68 euros

    Publié par Guy de Laferrière le 20 septembre 2023

    Un arrêté qui fait grincer des dents. La maire d’Emberménil, un village de Meurthe-et-Moselle, a décidé de restreindre le nombre d’animaux domestiques par foyer. « Pas plus d’un coq, une oie, une pintade et deux chiens par foyer », indique l’arrêté en date du 11 septembre 2023, effectif à partir de ce 20 septembre.

    Une mesure prise dans le but de « limiter sur l’ensemble de la commune les bruits gênants occasionnés par les animaux vis-à-vis de leur intensité, de leur durée, de leur caractère agressif ou répétitif », dans ce territoire pourtant rural. (…)

    Une mesure qui ne fait pas que des heureux, dans ce village de 250 habitants. « (…) il est hors de question de les voir finir à la casserole, ils sont comme des membres de la famille, ils ont des prénoms, les enfants les côtoient. Je peux comprendre que ce soit dérangeant mais on est à la campagne, c’est normal qu’il y ait quelques bruits d’animaux », s’insurge Anne-Laure Perrot, une habitante d’Emberménil, au micro de France 3 Lorraine. (…)

    Malgré ces contestations, la maire du village indique que « L’arrêté a été jugé légal par la gendarmerie et la sous-préfecture » et que la situation est « encore susceptible d’évoluer ». Les contrevenants sont passibles d’une amende de 68 euros.

    Le Parisien via fdesouche

  • Hausse du prix du carburant

    Publié par Guy de Laferrière le 20 septembre 2023

     
    Les montants délirants atteints par le carburant en France et en Europe deviennent totalement insupportables pour les automobilistes. Cette forte hausse s'ajoute à celle de l'énergie et de l'ensemble des biens de consommation qui frappe de manière continue l'ensemble des ménages depuis des mois.
    Le gouvernement ose demander aux grandes surfaces et aux stations service de vendre à perte alors que les taxes d'État représentent 60 % du prix payé à la pompe ! Ils se foutent ouvertement de notre gueule !
    Au-delà de la volonté de faire les poches des Français pour financer notre système néo-marxiste, nos gouvernants souhaitent clairement réduire drastiquement la liberté de circuler des Français et en finir au plus vite avec la voiture individuelle ; au profit de transports collectifs insuffisants, inefficaces, gangrénés par la délinquance étrangère et mis à l'arrêt régulièrement par des communistes enragés.
    La France a besoin d'un grand coup de balai ! L'oligarchie en place doit tomber.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
    Peut être une image de 1 personne et texte
     
     
     
     
     
     
     
  • Italie : une école pour imams voit le jour à Florence

    Publié par Guy de Laferrière le 20 septembre 2023

    Ecole pour imams
    Ecole pour imams

    Pendant que l’île de Lampedusa est envahie par des clandestins dont une bonne partie est mahométane, l’École florentine d’enseignement supérieur pour le dialogue interreligieux et interculturel, organisme fondé en 2015, qui rassemble les communautés catholique, juive et islamique, a décidé d’ouvrir une école des imams. La ligue s’insurge.

    Une « école pour imams » devrait être créée à Florence, dans le but de former les responsables religieux islamiques en matière d’éducation civique. Mais pourquoi le Parti Démocrate florentin et toscan soutient-il de telles initiatives ? D’où proviendra le financement pour cette initiative spécifique ? Et qui en bénéficiera ? Telles sont les questions que les représentants de la Ligue de Salvini ont posées aux dirigeants de l’administration, demandant d’emblée un maximum de transparence sur un dossier qui promet de bientôt dépasser les frontières régionales.

    On sait actuellement que le « cours pour imams » devrait démarrer en 2024, complétant le projet né dans les bureaux de « l’École florentine d’enseignement supérieur pour le dialogue interreligieux et interculturel ». Il s’agit de l’organisme fondé en 2015, qui rassemble les communautés catholique, juive et islamique et voit la participation des institutions locales (dont la municipalité de Florence et la région Toscane).

    Le projet « école des imams » subventionné par les responsables de la communauté catholique

    « Ce sera une sorte « d’école dans l’école », a expliqué au journal La Nazione Izzedin Elzir, imam de Florence, et il sera utile aux imams de toute l’Italie d’approfondir l’étude de l’Islam, des lois italiennes et des droits et devoirs des citoyens dans la société ».

    La nouvelle formation n’a pas encore de date officielle de début, ni d’espace physique dans lequel elle se déroulera. Mais ce ne devrait être qu’une question de temps, semble-t-il. « On parle encore de 2024, a poursuivi Elzir, nous avons défini les contours de cette nouvelle offre de formation, il ne manque plus que les détails ». Un projet en cours donc, mais qui a semble-t-il déjà suscité un débat. Ces dernières heures, la droite politique a en effet annoncé la présentation d’une série de questions visant à faire la lumière sur le sujet, n’épargnant pas un “coup” au Parti démocrate qui administre la Toscane et la capitale régionale.

    L’attaque de la Ligue de Matteo Salvini

    « Au lieu de consacrer les quelques ressources disponibles aux hôpitaux, aux écoles, aux routes, aux médecins et infirmières, aux citoyens en difficulté, le Parti Démocrate florentin et régional finance des initiatives pour « éduquer les imams ». Et pourquoi diable ? Ont-ils réalisé que quelque chose n’allait pas ? », a ironisé Susanna Ceccardi, députée européenne de la Ligue, dans une note.

    « On soupçonne que cette initiative, malheureusement, est un énième cadeau électoral à certaines associations et organismes proches de ceux qui gouvernent. Une initiative dangereuse que nous ne voudrions pas voir finir par financer des organisations opaques et tout sauf pacifiques. Les imams et les fidèles musulmans doivent également respecter les lois italiennes, comme tout le monde. »

    Une vision également partagée par Federico Bussolin, chef du groupe du la Ligue à la mairie de Florence :

    « Alors que les Florentins sont harcelés par les radars dans tous les coins de la ville et par l’augmentation des tarifs de la taxe des ordures ménagères, a commenté Bussolin, l’idée que la municipalité dépense l’argent public pour des idées comme l’école des imams nous fait frémir. »

    Ce qui fait frémir également, c’est la participation, -qui doit être sonnante et trébuchante des euros de leurs fidèles-, des responsables de la communauté catholique à cette initiative. Indubitablement dans la droite ligne de la pensée ‘ouverte’ bergoglienne, nous ne doutons pas qu’elle recevra les chaleureux applaudissements de Jorge Maria Bergoglio ! Ainsi va le monde conciliaire, de renoncements doctrinaux en soumission religieuse à d’autres que le véritable catholicisme…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Lampedusa : Des Françaises et des Allemandes dansent avec les clandestins qui envahissent l’Europe (VIDÉO)

    Publié par Guy de Laferrière le 19 septembre 2023

    Posté par Eric Martin  Il y a 10 heures

    Lampedusa : Des Françaises et des Allemandes dansent avec les clandestins qui envahissent l’Europe (VIDÉO)

     

     

     

  • L’Apocalypse à Lampedusa

    Publié par Guy de Laferrière le 19 septembre 2023

    A Lampedusa, l'invasion migratoire est "apocalyptique"
    A Lampedusa, l’invasion migratoire est “apocalyptique”

    Il y a tellement d’immigrés clandestins qui sont arrivés à Lampedusa ces derniers jours, plus que le nombre d’habitants de l’île qui est de 6000 environ, que le prêtre de l’île sicilienne a usé d’une parole pour décrire la situation en cours : apocalyptique !

    L’Apocalypse de Lampedusa est quotidienne et n’a certainement pas débuté ces derniers jours

    Le curé, « fasciste » pour les immigrationnistes patentés, dans une interview accordée à Stranieriinitalia.it, utilise des mots crus, définissant la situation à Lampedusa comme « tragique, dramatique, apocalyptique ». « À Lampedusa, on ne jette même pas les déchets, l’eau de l’île vient du continent. La Croix-Rouge dispose de fournitures, mais si 3 400 personnes arrivent chaque jour, elles se battent aussi entre elles pour obtenir de l’eau. Nous sommes tous en alerte et même l’évêque est consterné », continue le curé de l’île, Don Carmelo Rizzo.

    Ce dernier critique également la dualité entre les « propos » anti-immigration du première ministre, Giorgia Meloni, dont le gouvernement se comporte exactement dans le sens inverse :

    « La question de la relocalisation est secondaire, très peu de personnes ont été relocalisées ces derniers mois, c’est une couverture de Linus. La question n’est pas de savoir comment se décharger du problème, mais plutôt d’arrêter les arrivées en Italie. Je ne vois toujours pas de réponses concrètes. »

    Mais, pour l’instant, le premier ministre italien, élu sur une campagne anti-immigration, ne donne toujours pas de réponse pour arrêter les flux migratoires.

    Le chaos de la nuit dernière s’aggrave encore

    Ces derniers jours, à Lampedusa, c’est le chaos au port, le chaos dans le centre d’accueil, le chaos partout. C’est l’Apocalypse de Lampedusa. Et c’est normal que ce soit le cas, c’est la loi très banale des grands nombres. Des chiffres toujours plus grands. Il y a actuellement 6 762 personnes dans le centre d’accueil. Et c’est l’enfer qui s’est produit lorsque la Croix-Rouge a ouvert les files d’attente pour distribuer la nourriture, car des centaines d’immigrés clandestins, d’abord pour obtenir de la nourriture, puis pour quitter le centre, ont créé un tumulte. Seule l’intervention de la police a alors permis d’éviter que la situation ne dégénère.

    En attendant, Meloni et von der Leyen en visite sur l’île aujourd’hui, discutent du plan « habituel » de l’UE qui est sans issue. Ursula, la présidente de la Commission européenne a promis à Giorgia, le premier ministre italien, que « l’Italie peut compter sur l’Union européenne ». Mots sans consistances alors que la France, via son ministre de l’Intérieur Darmanin, vient déjà d’annoncer qu’elle aidera l’Italie, mais elle n’assumera pas la responsabilité des migrants débarqués à Lampedusa.

    Le plan d’Ursula est en « dix points » articulé dans le « soutien » susmentionné dans l’immédiat, puis pour emmener les immigrés illégaux hors de Lampedusa, en insistant sur l’inexistante « solidarité » européenne. « Parole, parole » déjà prononcées, mais surtout concepts déjà éprouvés qui ne se caractérisent que par une seule chose : l’Italie doit garder les migrants qui eux, de toute façon, foutent le camp … pour la France.

    « On décide qui arrive » : sans arrêter les arrivées (même légales) ça ne sert à rien

    Le plan concocté par von der Leyen et approuvé par Meloni, qui ne sait plus dire « non », fait que rien ne bouge depuis des décennies, sauf l’invasion migratoire : décider qui vient à la place des trafiquants, n’est pas très utile si en revanche le processus est « légalisé » pour des centaines de milliers, voire des millions de personnes.

    C’est ce qui va se passer, encore une fois, sauf surprise à laquelle on ne peut pas s’attendre.

    L’attitude ambiguë du premier ministre italien, si philo-atlantiste, donc européiste, qu’elle en oublie ses promesses de lutter contre l’immigration, ne permet pas d’être très optimiste.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse