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Le 25 août, l’Inspection générale de l’administration (IGA), conjointement avec l’Inspection générale de la justice (IGJ), a rendu, en toute discrétion, sa mission flash sur « les profils et motivations des délinquants interpellés à l’occasion de l’épisode de violences urbaines », qui s’est déroulé entre le 27 juin et le 7 juillet dernier.
10 jours d’émeutes,
66 départements métropolitains – dont 13 durant toutes les nuits –
516 communes
15% des infractions commises dans des unités urbaines de moins de 50.000 habitants.
58 297 infractions en 10 jours
12 233 personnes mises en cause
4481 mesures de gardes à vue
les parquets ont été saisis de 4164 auteurs, 26 mis en cause pour l’une des 549 natures d’infractions susceptibles d’être liées aux violences urbaines.
65% des auteurs sont passés par le tribunal correctionnel, dont 60% par la comparution immédiate et 12% par la comparution sur reconnaissance de culpabilité (CRPC).
83% des majeurs déférés selon ces procédures ont été condamnés, dont 60% à une peine d’emprisonnement ferme.
Dans plus de 50% des cas, des mandats de dépôt ou maintiens en détention ont été prononcés.
Majoritairement âgés de 18 à 24 ans, les condamnés se déclarent à 87% célibataires, sans enfant, hébergés à titre gratuit et à 36% inactifs. 29% des auteurs ne détiennent aucun diplôme et 38% sont titulaires d’un diplôme inférieur au baccalauréat. Enfin, selon la Préfecture de police de Paris,
« une grande majorité des émeutiers interpellés sont des jeunes individus de nationalité française, mais originaires de l’immigration (2e ou 3e génération), principalement du Maghreb ou d’Afrique subsaharienne ».
Un accueil glacial. Alors qu’il s’apprêtait à donner le coup d’envoi officiel de la Coupe du monde de rugby 2023, vendredi 8 septembre, le président de la République, Emmanuel Macron, a été copieusement hué par une partie du public du Stade de France à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).
Sur les réseaux sociaux, plusieurs figures d’opposition, dont le député Insoumis Antoine Léaument, se sont faits l’écho de cette difficile entrée en matière.
Devant le silence inadmissible des autorités politiques et de des médias Main Stream, le collectif Argos manifeste contre le viol barbare de Cherbourg !
Nos confrères de Fdesouche.com publient un article relatif au silence complice des “autorités morales de la république” à propos du viol subi par Mégane, une jeune cherbourgeoise de 25 ans le 4 août dernier.
Est-ce l’origine ethnique du violeur qui nous vaut ce silence pesant ? D’aucuns pourraient le penser vu le quasi black-out fait sur ce crime abominable.
Comme Fdesouche, nous ne nous tairons pas à MPI et nous vous relayons le communiqué d’Argos :
Le 4 août dernier à Cherbourg, la jeune Mégane tombait dans le coma suite au viol particulièrement atroce dont elle avait été victime. Ce matin, les militants de la jeunesse alternative se sont rendus devant le domicile d’Oumar, son agresseur multirécidiviste, pour dénoncer la démission totale de l’État face à l’ultraviolence que des criminels de plus en plus barbares infligent aux Français.
Seulement âgé de 18 ans, Oumar a déjà été condamné à 5 reprises pour des faits de violences. Il a également été impliqué dans une affaire de viol en 2019, classée sans suite et est à l’heure actuelle soupçonné d’agression sexuelle sur sa petite soeur de 4 ans. Multirécidiviste dénué de la moindre empathie et pourtant jamais sérieusement inquiété par la justice, Oumar incarne la faillite totale de l’État : en France, ce sont les personnes honnêtes qui doivent vivre sous le coup des criminels les plus violents. L’agression sauvage de Mégane n’est pas un fait divers : c’est la culmination de 60 ans de laxisme judiciaire, de culture de l’excuse et d’impunité pour les pires prédateurs, systématiquement soutenus à la fois par une justice politisée, infectée par l’extrême gauche et par un pouvoir politique qui préfère laisser sévir des barbares du quotidien que de se faire traiter de “raciste”.
La réforme de la justice et de l’Etat ne se produira pas. ARGOS appelle donc tous les jeunes désireux de ne plus rester attentistes à nous rejoindre pour reprendre en main leur avenir. L’État n’a plus pour rôle de défendre les personnes innocentes et honnêtes, mais de faire en sorte que les prédateurs soient relâchés le plus vite possible. Mégane, Enzo, Lola et tous les autres nous rappellent qu’il n’y plus rien à attendre de cet État qui laisse mourir des jeunes Français et laisse des barbares en liberté. Alors, puisque l’État va toujours plus loin dans la démission et la soumission aux criminels, les Français doivent apprendre à ne plus compter sur ce système corrompu. Face à l’inaction de l’État, prépare-toi ! Face à l’inaction de l’État, auto-défense !
Bien sûr cette action n’a pas été du goût du Ministre de l’Intérieur qui a immédiatement fait intervenir les Forces de l’Ordre pour empêcher ces intolérables “discours de haine et de racisme contraires à la République” (sic).
Le préfet de la Manche, quant à lui, “salue la rapidité d’intervention des équipes du commissariat de Cherbourg, appuyées par un escadron de gendarmerie du Calvados, pour mettre fin à une action porteuse d’un discours haineux ce samedi midi.”
Un de nos lecteurs a écrit sur X (ex-Twitter) cette question teintée d’humour noir : “Pourquoi Darmanin et la justice n’ont-t-ils pas réagi contre le viol de Cherbourg ? Parce qu’il sont trop occupés à la dissolution de Civitas”.
Un tweet provoque la polémique sur internet. Il dénonce la pose de barrières dans le lycée Jean Mermoz à Montpellier. Des barrières rendant inaccessibles le film miroir sur les vitres à l’entrée et qui permettait aux élèves de replacer leur voile en sortant du lycée. Une plainte a été déposée pour menaces de mort.
Le tweet a été vu plus de 380 000 fois et partagé à 650 reprises. Un post sur le réseau X ( ex-Twitter) dénonçant la pose de barrières devant un film réfléchissant devant lequel les jeunes filles replaçaient leur voile, tchador ou autre abaya dans l’enceinte du Lycée Mermoz a provoqué une vague de réactions sur internet. Des réactions incitant à la haine et à la violence.
Certaines élèves avaient tendance à se revoiler à l’intérieur en passant devant cette vitre réfléchissante. Pour éviter que cela se reproduise, on a mis des barrières.Proviseur
Lycée Mermoz Montpellier
Menaces de mort
La décision, relayée par un tweet a provoqué une vague de réactions sur la toile et surtout des menaces contre le personnel et en particulier les CPE (conseillers principaux d’éducations) du lycée. Le proviseur a porté plainte jeudi 7 septembre pour “menaces de mort et atteinte aux biens dangereux pour la personne à l’encontre d’un personnel de service public”.
Contexte sensible
La veille, le chef d’établissement avait effectué une alerte Pharos, un site internet gouvernemental destiné à signaler des contenus et des comportements en ligne illicites.
Cette polémique se produit dans le contexte de la rentrée scolaire et la décision du ministre de l’Education nationale d’interdire le port de l’abaya au sein des établissements scolaires.