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  • L'Italie n'a pas peur de son Histoire : elle vient d'éditer un timbre à la mémoire de Giovanni Gentile

    Publié par Guy de Laferrière le 17 avril 2024

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    Giovanni Gentile (1875-1944), figure  de la vie intellectuelle italienne de la première moitié du vingtième siècle, se décrivait lui-même comme le « philosophe du fascisme ». Il a en grande partie rédigé pour Benito Mussolini le livre La Doctrine du fascisme en 1932.

    Durant le ventennio fasciste (1922-1945), il occupa de nombreuses responsabilités dont celle de ministre de l'Éducation. 

    Resté fidèle jusqu'au bout à l'idéal fasciste et à la République sociale, il fut assassiné à Florence le 15 avril 1944 par des terroristes communistes.

    Aujourd'hui, en publiant ce timbre, l'Italie honore ce grand personnage de son Histoire.

    S N

  • Flamme olympique

    Publié par Guy de Laferrière le 16 avril 2024

    Thomas Joly, Président du Parti de la France : « La flamme olympique a été embrasée et débute son périple qui va la mener de l'Acropole jusqu'à Paris. Nul doute que climato-tarés, enragés pro-Palos et autres illuminés vont tenter de l'éteindre pendant son parcours. Espérons que les coups de matraques pleuvront. »
     
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  • Faillite de la France : c’est pour bientôt !

    Publié par Guy de Laferrière le 16 avril 2024

     

    – Déficit public inférieur à 3 % du PIB,
    – Dette publique inférieure à 60 % du PIB.
    Ce sont là des critères de bon sens. Si plusieurs amis décident de faire bourse commune, la prudence élémentaire leur impose de vérifier, tant que dure leur association, que chacun d’eux :
    – contrôle ses dépenses en fonction de ce qu’il gagne (critère de déficit),
    – n’est pas endetté au-delà d’un certain seuil en fonction de ce qu’il possède (critère de dette).
    Le critère de dette est indispensable pour empêcher une accumulation excessive de déficits.
    Or les critères de Maastricht n’ont pas freiné la folie dépensière de nos dirigeants.
    Qu’on en juge par l’évolution de la dette publique de la France :
    1978 : 21 % du PIB – 75 Mds €
    1988 : 34 % – 300 Mds €
    1998 : 60 % – 800 Mds €
    2008 : 70 % – 1 400 Mds €
    2018 : 100 % – 2 300 Mds €
    2023 : 112 % – 3 100 Mds €

    Dans ce palmarès de cancres, la palme revient à Emmanuel Macron avec un alourdissement de notre dette de 1 000 milliards d’euros depuis le début de ses mandats. Bravo l’artiste !
    Depuis 1974, la France n’a connu que des budgets en déficit qui, année après année, sont venus gonfler la dette. De plus, ces déficits n’ont pas servi à financer des investissements porteurs d’avenir, mais essentiellement à couvrir les dépenses courantes.
    Au-delà des chiffres, examinons la signification concrète des notions de déficit et de dette.
    Le déficit mesure le volume d’impôts supplémentaires qu’il aurait fallu prélever pour assurer l’équilibre des comptes publics. Le déficit est donc un impôt différé, reporté sur l’avenir.
    La dette est le reflet du cumul des déficits au cours des années. La dette représente donc la somme des impôts reportés sur les générations futures.
    Dans une démocratie, les impôts exigés des citoyens sont votés par leurs représentants élus.
    Or, par la dette, les générations futures héritent d’un cumul d’impôts impayés par leurs aînés. Ce sont des impôts que les générations futures auront à subir sans les avoir votés.
    Les déficits – et leur conséquence, la dette – sont donc des dénis de démocratie.
    Mais on peut encore s’attendre à pire.
    Certains économistes (notamment les économistes atterrés, mais pas qu’eux !) estiment que le montant de la dette n’est pas un problème car, selon eux, il est gagé sur l’ensemble des patrimoines français, État et particuliers confondus. En cas de difficulté pour honorer la dette, l’État pourra donc mettre à contribution le patrimoine des citoyens.
    Cela veut dire qu’en cas de difficulté financière, l’État pourra nationaliser ou, en d’autres termes, spolier tout ou partie des patrimoines privés.
    Or le respect de la propriété privée fait partie des droits fondamentaux énoncés dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen depuis 1789.
    Une telle mesure serait identique aux spoliations décidées par les Soviets après la 1ère guerre mondiale. La France, pays déjà le plus marxiste d’Europe, deviendra le premier pays soviétisé. Bel avenir en perspective ! Merci, M. Macron, vous resterez dans l’Histoire !

    Auteur

    Source : les4verites

  • Bordeaux : après lui avoir volé son portable, ils l’ont aspergé d’ammoniaque et gravement brûlé au visage. Il risque de perdre partiellement la vue.

    Publié par Guy de Laferrière le 16 avril 2024

    Bordeaux : un jeune homme aspergé d'ammoniaque et gravement brûlé au visage pour un portable

    Pour un portable, il risque de perdre partiellement la vue. Samedi 16 mars 2024 à Bordeaux, un homme âgé d’une vingtaine d’années a été gravement brûlé au visage après avoir été aspergé d’ammoniaque.

    Certainement était-il en train de rentrer chez lui après une soirée entre amis quand deux individus lui ont braqué son téléphone, vers 5h30 du matin, au niveau de la porte de Bourgogne.

    La victime est traumatisée

    Comble de l’horreur, l’un des agresseurs lui a alors jeté à la figure ce liquide toxique, hautement corrosif, qui peut provoquer des lésions irréversibles pour la peau ou les yeux.

    actu.fr via fdesouche

  • Prix du Global Citizen Award 2024 à Meloni : une démolition contrôlée

    Publié par Guy de Laferrière le 16 avril 2024

    Giorgia Meloni, le premier ministre italien
    Giorgia Meloni, le premier ministre italien

    Le Premier ministre italien Giorgia Meloni va remporter le Global Citizen Award 2024. Une ascension mondialiste qui étonne lorsqu’on connait le récipiendaire, la souverainiste présidente du mouvement identitaire Fratelli d’Italia. Histoire d’une démolition contrôlée.

    « Il semble que Giorgia Meloni remportera un prix : le Global Citizen Award 2024 » lit-on sur le blog italien Blondet & friends, dont voici l’analyse complète :

    Giorgia Meloni remportera un prix : le Global Citizen Award 2024

    « Cette reconnaissance lui sera conférée, avec une cérémonie digne de ce nom certainement, en septembre prochain par l’Atlantic Council, l’un des innombrables think tanks qui veillent aux intérêts américains en favorisant la « coopération » entre les deux rives de l’Atlantique, etc.

    « L’Atlantic Council se présente comme une organisation « à but non lucratif » et politiquement « indépendante », mais parmi ceux qui chassent l’argent pour organiser des réunions et récompenser des melons, on trouve une vingtaine de gouvernements, des oligarques ukrainiens et libanais, des « philanthropes » de tout ordre et degré, des entreprises dotées d’un pouvoir énorme telles que Goldman Sachs, Pfizer et Facebook.

    « Au fond, il s’agit d’une branche de l’OTAN, d’un « centre d’études » spécialisé dans les questions militaires qui gravite dans l’orbite de l’Association du Traité Atlantique, un organisme supranational qui regroupe les cercles d’amis des Américains disséminés dans toute l’Europe. Le Global Citizen Award décerné par ces messieurs est donc une sorte de Nobel de l’atlantisme dans sa dimension géopolitique et militaire : parmi les lauréats des années passées, Schwab, Draghi, Trudeau et Zelensky.

    « Giorgia Meloni serait donc sur le point de couronner sa parabole de premier ordre de servilité et de soumission envers le monstre étoilé, un domaine dans lequel elle a su faire mieux que nombre de ses prédécesseurs de l’autre camp politique.

    « La gloire internationale tant attendue arrive cependant alors que se déroule en Italie la démolition contrôlée de sa figure, réalisée précisément par ces cercles qui représentent une émanation de ses amis américains.

    Un prix qui couronne sa servilité et sa soumission à l’oncle américain

    « L’ascension de Giorgia Meloni au panthéon de la post-politique s’est mûrie au cours des trois années de pandémie : d’une part, elle a été la seule force politique majeure à ne participer à aucun des rassemblements gouvernementaux qui se sont succédé après le controversé Élections de 2018 (les gouvernements Conte I et II et celui dirigé par Drago) ; d’autre part, son personnage a été promu par les agences médiatiques (avec la contribution décisive des « ennemis ») comme une alternative « crédible » à Salvini, dont l’électorat « social » a diligemment migré vers le parti de Meloni. Dans le mélonisme électoral qui bat son plein lors des consultations de 2022, convergent divers courants de « populisme », canalisés à juste titre par les propriétaires du barrage : hostilité à l’immigration, protection de la famille « traditionnelle » (le slogan « Je suis Giorgia » vraiment divisé), un scepticisme modéré à l’égard des vaccins et de la pandémie.

    « Bien que Fratelli d’Italia ait représenté la principale opposition parlementaire au gouvernement Draghi, c’est ce dernier qui a scellé, avec son imprimatur, l’entrée de Meloni au Palazzo Chigi : une relation fructueuse s’était établie entre les deux, marquée par l’estime mutuelle, comme entre un Maître et un disciple dévoué et diligent. L’Agenda aurait été le plus sacré des livres sacrés pour Giorgia.

    « Plus zelenskiienne que Zelensky, plus bidenienne que Biden et plus vonderleyenienne que von der Leyen, Giorgia Meloni a fait de son mieux pour honorer le Dragon, l’Agenda et tout le reste, mais elle ne s’est pas montrée à la hauteur. En faisant le point, on pourrait dire qu’elle a commis la même erreur qui a été fatale à Renzi (lui-même lauréat du Global Citizen Award en 2016) : à un moment donné, elle s’est montée à la tête en se sentant investie du Pouvoir avec un grand P plutôt que du « pouvoir », trompant elle-même en pensant être devenue quelque chose de plus qu’une marionnette interchangeable et qu’elle pouvait au moins régner sur le chaos italien, avec l’esprit d’un administrateur colonial et l’arrogance d’un vice-roi… Et ainsi, elle a fini par se faire de nombreux ennemis parmi ceux qui déjà administraient la colonie au nom du Maître étoilé, parmi les cliques et les francs-maçons, parmi les boyards et les vieillards, parmi les pillards et les espions, dans les broussailles et les sous-sols de la République. C’est de ces profondeurs sombres qu’a commencé l’attaque contre Meloni, et il est à exclure que cela se soit produit sans le feu vert des amis habituels d’outre-mer.

    Giorgia Meloni, une marionnette au service de  l’Agenda 2030

    « La « mise à mort » médiatique de sa figure de femme d’un seul morceau a été consommée à travers le pilori auquel a été soumise sa famille. L’histoire du mari qui la trompe, qui remonte à l’automne dernier, avec les vidéos astucieusement diffusées par Striscia la Notizia, est un petit chef-d’œuvre de démolition contrôlée : ils ont même réussi à bouleverser sa vie privée.

    « Périodiquement, apparaît donc dans l’actualité le regretté Francesco Meloni, le père du président qui a quitté sa famille dans les années 1980 pour aller vivre en Espagne, où il a été arrêté en 1995 pour trafic de haschich et condamné à neuf ans de prison. Du “petit poisson” apparu dans les premières reconstitutions de l’histoire, Meloni senior devient “un homme du clan siennois” d’après le témoignage de Nunzio Perrella, ancien membre de la Camorra et ancien collaborateur de justice qui s’est exprimé sur Report, le journal de Sigfrido Ranucci, diffusé, en janvier dernier.

    « Sa sœur et son beau-frère, promus de manière inattendue par Meloni à la tête du parti et du gouvernement, ont été transformés en bandes dessinées (…) Ce sera l’héritage du mélonisme gouvernemental.

    « Selon l’opinion populaire, Giorgia Meloni aurait été plusieurs fois mise au pas par Sergio Mattarella, garant suprême de la soumission nationale aux potentats extérieurs. Voulant également donner du crédit à l’histoire du “conflit institutionnel”, celui-ci aurait explosé lorsque la majorité a présenté son projet de réforme institutionnelle, cette “première” bâclée qui aurait dû “armer” le pouvoir de Meloni dans un accès d’autoritarisme. Le « pouvoir de Meloni », cependant, a la même consistance que le brouillard, et cela depuis toujours.

    « Pour nos amis américains, britanniques, allemands, français et israéliens, l’un vaut l’autre : l’important est de suivre l’Agenda et non de prendre des initiatives. Le Global Citizen Award sera pour Giorgia Meloni une récompense décernée à l’ensemble de sa carrière. »

    Une carrière qui l’a portée, alors souverainiste, au fait du pouvoir et, finalement, à la totale soumission au mondialiste  Oncle américain. Décidemment, la droite italienne se défait pas de son atlantisme, hérité de l’après-guerre, de la lutte anti-communiste pendant la guerre froide, des années de plomb. Pourtant aujourd’hui l’ennemi des intérêts italiens, de la nation italienne,  est l’ami d’hier… mais Meloni ne l’a pas compris.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info