Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 11

  • Cornebarrieu (31) : 3 migrants tentent de s’évader d’un centre de rétention lors d’un incendie provoqué par les occupants des lieux, l’un d’entre eux y parvient

    Publié par Guy de Laferrière le 09 avril 2024

    Un feu a éclaté dans la nuit, vers 4 heures, au centre de rétention administratif de Cornebarrieu, au bout des pistes de l’aéroport de Blagnac, près de Toulouse. Cet incendie qui pourrait être parti d’un feu de matelas, et de vêtements, a provoqué d’importants dégâts.

    Les pompiers sont intervenus pour stopper les flammes et ventiler les lieux. Une partie du centre serait lourdement impactée. L’évaluation des dégâts est en cours. Ils seraient moins importants que ceux évoqués en fin de nuit.

    La police aux frontières gère cet établissement qui accueille des personnes en situation irrégulière sur le territoire français, en attente de la finalisation d’une procédure d’expulsion. Des étrangers parfois interpellés loin de Toulouse.

    Selon les premières informations, il n’y aurait pas de blessé grave mais en revanche au moins trois individus auraient tenté de profiter de l’incident pour s’échapper. Après vérifications, un seul est parvenu à s’échapper. 

    La Dépêche via fdesouche

  • Parlez-vous le Aya Nakamura ? Si la réponse est non, voilà pour vous aider :

    Publié par Guy de Laferrière le 09 avril 2024

    Image

    lafautearousseau a adoré ce "commentaire" posté sur tweeter par Mackowiak Rey :

    Image

     

    Source : lafautearousseau

  • La Russie a envoyé au président français Macron un ensemble de soldats et de voitures jouets avec ce message

    Publié par Guy de Laferrière le 09 avril 2024

    La garde nationale Russe a apporté un colis à l’ambassade de France, avec des petites figurines de soldats et de petites voitures avec ce message :

    « voici pour Emmanuel Macron pour apprendre à jouer à la guerre et à se débarrasser de son complexe de Napoléon ».

     

     

     

  • Immigration, mai 68… Le vrai bilan de Georges Pompidou

    Publié par Guy de Laferrière le 08 avril 2024

    Immigration, mai 68… Le vrai bilan de Georges Pompidou

    Il y a cinquante ans, le 2 avril 1974, le président Georges Pompidou mourait. C’est l’occasion d’une séquence nostalgie sur la France d’avant. France Télévisions vient de lui consacrer un beau reportage et l’ambitieux Davis Lisnard publie un livre sur Les leçons de Pompidou. Pour Polémia, Jean-Yves Le Gallou revient sur le bilan de la présidence de cette personnalité politique française majeure.

    Pompidou, la France du mérite

    De souche paysanne, fils et petit-fils d’instituteur, élève de l’ENS, menant une brillante carrière à Paris, Georges Pompidou, c’est la France du mérite. C’est aussi une France gauloise où « il faut cesser d’emmerder les Français ». C’est enfin une France industrieuse qui se développe lorsqu’il est premier ministre de 1962 à 1968 et qui se lance dans l’énergie nucléaire sous son septennat interrompu.

    Georges Pompidou jouit aussi d’une réputation flatteuse à droite et dans les milieux conservateurs qui y voient le dernier président avant la descente sur le toboggan de la décadence où ses successeurs entrainent la France. Un livre a beaucoup contribué à cette image : Le nœud gordien. Un livre posthume publié quelques semaines après sa mort mais écrit immédiatement après mai 1968. Pompidou y dit d’une plume nerveuse ce qu’il faudrait faire… et qu’il se gardera bien d’entreprendre lorsqu’il gouvernera depuis l’Élysée !

    Le bilan négatif de Pompidou sur l’immigration

    Son bilan comme président mérite d’être revisité. C’est le Premier ministre qu’il choisit – Jacques Chaban-Delmas – qui ouvre la séquence progressiste de « la nouvelle société ».

    C’est l’université et l’école qu’il laisse prendre la plus grande pente, faute d’affronter les vainqueurs de mai 1968.

    C’est la réforme de la formation professionnelle qui offre une manne financière aux grands syndicats monopolistiques.

    C’est l’immigration (de travail) qu’il encourage massivement à raison de 200 000 entrées par an pour « tenir les salaires ».

    C’est la loi « antiraciste » et liberticide Pleven de 1972, première atteinte majeure à la loi sur la liberté de la presse de 1881.

    C’est la réforme du code de la nationalité (Loi Mazeaud de 1973) qui élargit imprudemment les conditions d’accès à la nationalité française.

    C’est l’entrée de la Grande-Bretagne dans la Communauté européenne qui la transforme en zone de libre-échange.

    C’est la promotion du non-art contemporain et le saccage du centre de Paris avec le centre Pompidou à Beaubourg.

    Le pire reste à venir : en 1971, il accepte sans broncher que le Conseil constitutionnel s’attribue le droit de censurer les lois sur le fond et par seulement sur la forme. Une faiblesse qui est à la base du gouvernement des juges dont la France paie chaque jour les conséquences.

    Ceux qui admirent Georges Pompidou l’apprécient pour ses écrits. Ils ont tort : c’est sur ses actes qu’on juge un chef d’État. Avant Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron, Pompidou est bien le premier des « sept chevaliers du déclin ».

    Jean-Yves Le Gallou
    31/03/2024

     

    Source : polemia

  • Éducation nationale : groupes de niveau ou groupes de besoins ?

    Publié par Guy de Laferrière le 08 avril 2024

     

    Éducation nationale : groupes de niveau ou groupes de besoins ?

    Gabriel Attal, ministre de l’Éducation nationale, avait annoncé à grands coups de clairon l’instauration de « groupes de niveau » au collège en français et en mathématiques, pour prétendument relever le niveau de tous (?) les élèves et faire du brevet dans un premier temps, puis du bac, des diplômes revalorisés. Et chacun de se réjouir de mesures qui semblaient aller enfin dans le bon sens ! Certes ! De loin, le tableau fait de l’effet ! De près… les reliefs sont beaucoup moins flatteurs !

    Qu’en est-il ? Qu’en sera-t-il ?

    Un arrêté a été pris le 15 mars 2024, qui modifie l’arrêté du 19 mai 2015 relatif à l’organisation des enseignements dans les classes de collège et dispose que

    « les enseignements communs de français et de mathématiques, sur tout l’horaire, sont organisés en groupes pour l’ensemble des classes et des niveaux du collège ».

    Autrement dit, et contrairement à ce qu’il serait possible de penser, ce ne sont pas des groupes constitués en plus des heures de cours pour pallier les difficultés propres à certains élèves ou pour conforter leurs acquis, mais des groupes-classes à effectifs réduits ; il s’agit donc de classes dédoublées en maths et en français.

    Il est ainsi précisé :

    « Par dérogation et afin de garantir la cohérence des progressions pédagogiques des différents groupes, les élèves peuvent être, pour une ou plusieurs périodes, une à dix semaines dans l’année, regroupés conformément à leur classe de référence pour ces enseignements. »

    En application de cet arrêté, publié au JO le 17 mars 2024, le ministère de l’Éducation nationale a produit, le 18 mars 2024, la note détaillant l’instauration, à partir de la rentrée 2024, de « groupes » afin d’élever le niveau de tous (?) les élèves en mathématiques et en français au collège, fixant les attendus de ce que G. Attal appelait les « groupes de niveau » et qui sont devenus les « groupes pour répondre aux besoins des élèves […], le nombre d’une quinzaine d’élèves pouvant, à cet égard, constituer un objectif pertinent ».

    Groupes de niveau ou groupes de besoins ?

    On pourrait penser a priori qu’entre « groupe de niveau » et « groupe de besoins » la différence est bien mince : la notion de besoin se rapportant à la personne et celle de niveau à l’objectif poursuivi, mais les deux paraissant parfaitement imbriqués.
    En fait, la différence de terminologie masque une réalité beaucoup plus complexe.

    Il ne faut jamais perdre de vue que deux systèmes éducatifs fonctionnement en parallèle.

    1. Pour nos enfants, où la mission première de l’école est désormais définie par l’article 3 de la loi de refondation de l’école du 8 juillet 2013 : « … la nation fixe comme mission première à l’école de faire partager les valeurs de la République », parmi lesquelles « l’égale dignité des êtres humains », l’égalité homme-femme, la solidarité et la laïcité qui repose sur le respect des valeurs communes et la liberté de conscience, quand l’article 8 de cette même loi dispose qu’il faut « … à l’acquisition de connaissances et instruments du savoir, substituer l’objectif de sens moral et critique ».
    Exit toutes les disciplines d’enseignement : lettres, maths, sciences, histoire, géographie…

    Nous sommes donc fixés, bien que cette triste réalité ne soit pas du tout ancrée dans les esprits, tant elle n’a plus rien à voir avec l’idée que l’on est en droit de se faire d’une école et de ce que nous avons connu, tant aussi les hommes politiques nous enfument en permanence à un point tel que l’enfumage est devenu une forme de gouvernement pour nous faire avaler sans sourciller les poisons destinés à faire sombrer définitivement le système éducatif de nos enfants tout en nous laissant croire qu’ils font tout pour le sauver.

    Rappelons à cet égard que toute l’organisation « scolaire » (sic) de nos enfants a, de ce fait, été chamboulée pour en faire un simple lieu de vie et d’endoctrinement :

    • les 80 inspections générales qui chapeautaient les différentes disciplines d’enseignement ont été supprimées, remplacées par une seule, forcément généraliste ;
    • les manuels sont remplacés par le vademecum « La laïcité à l’école », véritable bible de référence, et par d’autres documents destinés à appréhender les valeurs de la République ;
    • les professeurs sont recrutés à partir de l’objectif désormais dévolu à l’« école » (sic) de « faire partager les valeurs de la République », devenu première compétence commune du « référentiel des compétences des métiers du professorat et de l’éducation » et constituant une nouvelle épreuve au concours de recrutement depuis 2022.

    Par ailleurs, les professeurs en poste sont « biberonnés » aux valeurs de la République (directives, stages, documents de référence…).

    2. En revanche, le « Référentiel pour l’éducation prioritaire » en faveur des élèves issus de l’immigration résultant de la circulaire n° 2014-77 du 4-6-2014 se démarque fondamentalement de la « refondation de l’école » pour nos enfants. On y lit notamment :

    « Un enseignement structuré de la langue orale est mis en place dès l’école maternelle… »
    « Les mathématiques font l’objet d’un travail soutenu… »
    « Les élèves sont confrontés aux dimensions culturelles et historiques des savoirs enseignés pour les doter d’une culture qui leur donne des références indispensables pour situer les savoirs. »
    « Mettre en œuvre des stratégies éprouvées dans les enseignements »
    « L’accompagnement du travail personnel est élèves est organisé… »
    « L’évaluation des élèves […] repose sur des objectifs exigeants. »
    « Des brevets blancs sont préparés et organisés deux fois dans l’année de troisième. »
    « … le diplôme national du brevet [donne] lieu à une cérémonie de remise organisée par l’Éducation nationale… »

    Bref, tout ce qui caractérise une véritable école !

    La morale de l’histoire…

    Dans ces conditions, il est évident que la nécessité de créer des « groupes de niveau » en maths et en français pour nos enfants serait nécessaire dans un système scolaire qui serait toujours destiné à les instruire, mais, dans la mesure où leur programme de référence est désormais basé sur l’acquisition des « valeurs de la République », il n’y a pas de niveau à atteindre.

    Dans cette optique, il est plus judicieux pour le gouvernement de parler de « groupes de besoins » afin de pouvoir les exclure du dispositif : dans la logique « scolaire » (sic) dans laquelle ceux qui nous gouvernent abrutissent nos enfants, ceux-ci n’ont pas besoin d’intégrer un groupe !

    C’est ainsi que, bien qu’un grand nombre de nos enfants ait des lacunes considérables dans ces disciplines – et pour cause ! –, cette exclusion du dispositif les rendra forcément inaptes à passer avec succès les épreuves d’un brevet revalorisé tel que le prévoit le ministre de l’Éducation nationale, ce qui leur barrera par là même le passage en seconde, tel que le prévoit également le ministère, et ils ne seront pas davantage concernés par les redoublements ; cela n’aurait aucun sens.

    Ceux qui ont « besoin » d’intégrer un « groupe de besoins » pour se hisser à un niveau déterminé sont les seuls élèves issus de l’immigration, scolarisés dans les établissements où est dispensée une véritable scolarité correspondant au « Référentiel pour l’éducation prioritaire », « groupes de besoins » qui, en réalité, constituent le prolongement du dédoublement des classes déjà effectuées à l’école primaire à destination de ces populations.
    Mais, pour faire cette politique, il faut du personnel supplémentaire.
    Où le prendre, alors même qu’il y a déjà pénurie de personnel ?

    Le « pacte enseignant » en embuscade

    Le « pacte enseignant » sorti du chapeau de Pap Ndiaye a déjà tout prévu.
    Il s’agit d’un accord prétendument conclu sur la base du volontariat entre le personnel enseignant et l’administration pour assurer certaines missions.
    Or il est prévu que certaines de ces missions soient obligatoirement couvertes et que « des planchers [soient] définis »dixit le ministère : il s’agit donc, en réalité, d’un volontariat obligé pour assumer certaines missions définies par ce pacte. De quelles missions s’agit-il ?

    • D’une part, de missions d’accompagnement, missions nouvelles assumées par un engagement annuel, pour assurer la prise en charge des « projets d’innovation pédagogique » (sic). En langage clair, ce sont les activités destinées à nos enfants, en remplacement des cours.
    • D’autre part, de missions d’enseignement destinées à s’investir davantage en complément des obligations réglementaires de service.
      Cela, c’est pour les élèves issus de l’immigration.

    Et pour pallier les difficultés de recrutement, le ministère a prévu la possibilité de faire appel à des « assistants d’éducation » – personnel non qualifié – qui seront nécessairement destinés à encadrer nos enfants, et les vrais professeurs seront alors tenus de faire des missions d’enseignement dans les structures réservées aux populations issues de l’immigration pour les préparer au brevet, puis au bac, diplômes desquels nos enfants seront naturellement exclus.

    Conclusion

    Un enfumage qui fait malheureusement preuve de sa redoutable efficacité, la manipulation gouvernementale consistant à laisser croire que les mesures positives prises en faveur du système scolaire concernent tous les élèves alors qu’elles sont destinées uniquement aux élèves issus de l’immigration dans les structures d’excellence qui leur sont réservées, et c’est désormais la honteuse et habituelle mascarade de ceux qui nous gouvernent.

    Et pour parfaire l’enfumage, Belloubet ose déclarer : « Il n’y a pas de tri social des élèves » ! Ce qui pourrait laisser supposer que ce système est prioritairement destiné à nos enfants mais que le gouvernement en fera également bénéficier les populations de l’immigration, alors que non seulement il y a « tri social » mais, par surcroît, au détriment de nos enfants.

    Une étape de plus pour précipiter nos enfants dans le gouffre de l’ignorance et de la servitude planifiée au profit de populations allogènes, et assurer ainsi le grand remplacement des élites.

    Claude Meunier-Berthelot
    03/04/2024

     

    Source : polemia