Publié par Guy de Laferrière le 06 avril 2024
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Publié par Guy de Laferrière le 06 avril 2024
Publié par Guy de Laferrière le 05 avril 2024
À travers la France, Créteil souffre de son image. Pour combler, tant bien que mal, les postes vacants, l’académie revoit tous les ans son exigence à la baisse. Pour preuve, le dernier candidat reçu en 2023 a obtenu une moyenne de 4,05 sur 20. « J’ai eu 5/20 en didactique, qui est le cœur du métier. Ils m’ont prise et je n’étais pas dans les dernières, détaille Gwenaëlle, qui a découvert son classement entre joie et surprise. Les seuls refusés, ce sont ceux qui ont eu un zéro éliminatoire. » L’académie est même ciblée par des candidats moins à l’aise avec les intenses révisions que requièrent ce concours.
C’est pour cette raison que Dylan, jeune étudiant à l’Institut de Nanterre (Hauts-de-Seine), choisit cette zone pour le concours de 2024. « Le concours, ce sera tranquille, se satisfait-il. Si je dois avoir 5/20 de partout, c’est bon je l’aurai. » Une situation que l’on retrouve partout dans l’académie. À Villemomble (Seine-Saint-Denis), Sarah enseigne en binôme avec une lauréate du concours 2023, qu’elle estime peu fiable. « Elle a pris une classe alors qu’elle a eu 2/20 en français, peste-t-elle. Comment peut-on enseigner si on n’est pas capable de bien conjuguer un verbe ? »
Publié par Guy de Laferrière le 05 avril 2024
De l'Observatoire de l'immigration et de la démographie :
Importer massivement des pauvres et très pauvres pour qu'ils servent de main d'oeuvre à très/très bon marché, et pour gonfler ainsi les profits de la partie pourrie du patronat, qui ne rêve que d'importer plus (de main d'oeuvre à la limite de l'esclavage salarié) pour gagner plus...
SYSTEME POURRI !
BEURK !
Publié par Guy de Laferrière le 05 avril 2024
Maxime Le Texier, élu d’opposition appartenant au groupe Alternative municipaliste citoyenne (AMC) revient sur une phrase dite par Jean-Jacques Bolzan à Jamal El Arch, lui aussi élu AMC, lors de la discussion sur l’attribution d’une subvention au “Championnat du monde de cassoulet.
Jean-Jacques Bolzan, “adjoint au maire en charge du Bien manger” (sic) aurait déclaré lors d’une précédente réunion : « Attention monsieur El Arch, dans le cassoulet il y a de la couenne ! »
Pour Maxime Le Texier, cette phrase a un « caractère discriminatoire », elle est « le symbole d’un phénomène croissant de nos jours, lié à la progression grandissante des thèmes et des idéologies d’extrême droite, celui du racisme ordinaire et décomplexé. »
Le mieux est d’écouter ce qui nous paraît lunaire mais qui existe vraiment :
La réponse de Jean-Jacques Bolzan, l’adjoint incriminé, ressemble à un ironique tour de cochon fait aux complices de l’islamisme politique :
« Je persiste à dire que, oui, dans le cassoulet il y a de la couenne et ce n’est pas parce qu’il y a monsieur El Arch ou quiconque. Ce n’est pas moi qui ai inventé le cassoulet, il date de la guerre de 100 ans. On ne va pas changer les ingrédients maintenant ».
Bon, quand même, nous n’allons pas, sur MPI, en faire un plat, car ce n’est vraiment pas la fin des haricots !
Sources : BV / Conseil municipal de Toulouse
Rastignac
Source : medias-presse.info
Publié par Guy de Laferrière le 04 avril 2024
Trois jeunes franciliens comparaissaient mardi devant le tribunal correctionnel de Paris pour avoir utilisé une carte bancaire appartenant à l’association humanitaire lors d’achats aux Galeries Lafayette (IXe), jusqu’à ce qu’un vendeur donne l’alerte.
1 500 euros pour un survêtement de la marque Céline, 360 euros pour un parfum Louis Vuitton ou encore 129 euros de cigarettes au bureau de tabac… Voilà les étonnantes mentions apparues sur le relevé de compte de la trésorière de l’association Médecins du monde le 20 février. Ce sont en fait les achats qu’ont effectués trois amis, âgés de 21, 22 et 24 ans, avec la carte professionnelle de l’association humanitaire, avant d’être pris sur le fait.
Le jour des faits, les trois jeunes prévenus, qui vivent en Île-de-France, se retrouvent dans le IXe arrondissement de Paris. Munis d’une carte bleue dont ils connaissent le code, ils flânent dans les Galeries Lafayette, et réalisent quelques achats onéreux. Alors qu’ils tentent de procéder à un nouveau paiement, la carte ne passe pas. Rapidement, le vendeur d’une enseigne de luxe comprend qu’elle n’appartient pas à cette bande à l’allure adolescente. Les trois amis sont interpellés et placés en garde à vue. Les policiers retrouvent 2 200 euros en liquide sur Inès, une des personnes mises en cause.