Publié par Guy Jovelin le 15 janvier 2025
démographie
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Baisse de la démographie en France...
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L'immigration et le logement social en France :
Publié par Guy de Laferrière le 05 avril 2024
De l'Observatoire de l'immigration et de la démographie :
" L'immigration et le logement social en France : données exclusives issues de notre étude conjointe avec la @Fondapol. 57% des immigrés originaires d'Afrique sahélienne (Mali, Niger...) vivent dans un logement social et 63% de leurs descendants – soit un taux 6 fois + élevé que les Français sans ascendance migratoire. C'est également le cas de la moitié des immigrés venus d'Algérie ou d'Afrique guinéenne et centrale et de 44% des immigrés marocains ou tunisiens, contre seulement 8% des immigrés chinois."Importer massivement des pauvres et très pauvres pour qu'ils servent de main d'oeuvre à très/très bon marché, et pour gonfler ainsi les profits de la partie pourrie du patronat, qui ne rêve que d'importer plus (de main d'oeuvre à la limite de l'esclavage salarié) pour gagner plus...
SYSTEME POURRI !
BEURK !
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L'Observatoire de l'immigration et de la démographie communique :
Publié par Guy de Laferrière le 17 juillet 2023
L'Observatoire de l'immigration et de la démographie communique :
"Les enfants d'immigrés : de + en + d'origine africaine et de - en - européenne. Chez les enfants d'immigrés de - de 18 ans, 83% sont d'origine non-européenne/65% d'origine africaine. Rappel : les immigrés représentent 10% de la population et leurs enfants 12%. Source : INSEE."Source : lafautearousseau
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Algérie : Du « royaume Arabe » à la départementalisation jacobine
Publié par Guy de Laferrière le 12 janvier 2023
Bernard Lugan
L'Afrique réelle cliquez ici
Dans les années 1950, juste avant les indépendances, le monde en perdition n’était pas l’Afrique, mais l’Asie qui paraissait alors condamnée par de terrifiantes famines et de sanglants conflits : guerre civile chinoise, guerres de Corée, guerres d’Indochine et guerres indo-pakistanaises. En comparaison, durant la décennie 1950-1960, les habitants de l'Afrique mangeaient à leur faim, étaient gratuitement soignés et pouvaient se déplacer le long de routes ou de pistes entretenues sans risquer de se faire attaquer et rançonner.
Ce temps lointain était celui des colonies, époque dont il est impossible de parler d’une manière objective et au sujet de laquelle il est obligatoire de dire que ce fut l’enfer sur terre…
Or, soixante-dix ans plus tard, le contraste est saisissant avec des dizaines de milliers de migrants qui se livrent au bon vouloir de gangs qui les lancent dans de mortelles traversées en direction de la « terre promise » européenne. Les crises alimentaires sont permanentes, les infrastructures de santé ont disparu, l'insécurité est généralisée et la pauvreté atteint des niveaux sidérants. Quotidiennement, les journaux et les divers organes d'information font état de famines, d'épidémies, de massacres qui montrent que le continent africain s’enfonce chaque jour un peu plus dans un néant dans lequel surnagent quelques îlots pétroliers.Que s’est-il donc passé pour que, malgré ses immenses richesses naturelles et en dépit des océans d'aides aveuglément déversées par les pays dits riches, l'Afrique connaisse un tel naufrage, ne parvenant même plus à nourrir sa population ?
Et que l’on ne vienne pas nous parler des aléas climatiques car le continent possède certaines des terres les plus fertiles de la planète sur lesquelles jusqu'à trois récoltes annuelles sont possibles. De plus, l'agriculture africaine n'est pas paralysée par un long hiver, par un tapis neigeux ou par les glaces. Avec ses de 9.000.000 km2, le Sahara représente certes environ 25% de la superficie du continent, mais proportionnellement moins que la toundra eurasienne ou nord-américaine où l'on ne parle pourtant pas de malédiction.
Le problème est que le continent africain s’auto-suicide avec sa démographie, car, chaque année, l’écart se creuse entre le nombre de bouches à nourrir et les productions alimentaires. La catastrophe est donc programmée. Un exemple : au Sahel, les 10 à 20 millions d'habitants d'avant la colonisation sont aujourd'hui 180 millions. Voilà qui explique pourquoi la subtile alchimie de ce fragile milieu de 3 millions de km2 a été détruite. Au même moment, les 40 millions de Sibériens sont à l'aise sur plus de 13 millions de km2 d’une nature hostile.
La réalité est que les Africains n'étant pas des Européens pauvres à la peau noire, parce que le corps social africain n’est pas celui de l’Europe, ou celui de l’Asie, nos modèles politiques n'y ont pas réussi.
Or, si la greffe européenne n'a pas pris sur le porte-greffe africain, c’est parce que, comme le dit le proverbe congolais : « Ce n’est pas parce qu’il pousse au bord du marigot que le manguier devient crocodile. »
Source : synthesenationale
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Hongrie : Viktor Orban a lancé une politique nataliste à grand frais pour doper la démographie de souche
Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2021
Derrière ses murs de barbelés de la frontière serbo-hongroise, qui depuis 2015 coupent aux migrants la route vers l’Union européenne, le pays multiplie les incitations à investir dans la layette. Les jeunes mariés peuvent prétendre au « chok ». Ce système de prêt à taux réduit de 10 millions de forints (soit 30 000 euros) pour l’achat d’un logement neuf devient de plus en plus avantageux à mesure que la famille s’agrandit. Au troisième bébé, les mensualités sont automatiquement remboursées. Les mères de quatre enfants ou plus se voient exonérées d’impôt sur le revenu, et les grandes tribus ne payent plus ni cantine ni manuels scolaires. « Si on fait un petit dernier, je l’appellerai Chokie… » blague ce quinquagénaire, photographe à Budapest, à la tête d’une famille recomposée. (…)