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démographie

  • L'immigration et le logement social en France : 

    Publié par Guy de Laferrière le 05 avril 2024

    lafautearousseau

    De l'Observatoire de l'immigration et de la démographie :

    L'immigration et le logement social en France : données exclusives issues de notre étude conjointe avec la @Fondapol. 57% des immigrés originaires d'Afrique sahélienne (Mali, Niger...) vivent dans un logement social et 63% de leurs descendants – soit un taux 6 fois + élevé que les Français sans ascendance migratoire. C'est également le cas de la moitié des immigrés venus d'Algérie ou d'Afrique guinéenne et centrale et de 44% des immigrés marocains ou tunisiens, contre seulement 8% des immigrés chinois."
     
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    Importer massivement des pauvres et très pauvres pour qu'ils servent de main d'oeuvre à très/très bon marché, et pour gonfler ainsi les profits de la partie pourrie du patronat, qui ne rêve que d'importer plus (de main d'oeuvre à la limite de l'esclavage salarié) pour gagner plus...

     

    SYSTEME POURRI !

     

    BEURK !

  •  L'Observatoire de l'immigration et de la démographie communique :

    Publié par Guy de Laferrière le 17 juillet 2023

     L'Observatoire de l'immigration et de la démographie communique :

    Image

    Source : lafautearousseau

  • Algérie : Du « royaume Arabe » à la départementalisation jacobine

    Publié par Guy de Laferrière le 12 janvier 2023

    ENTRETIEN AVEC BERNARD LUGAN« À l’exception du Maroc, toute l’Afrique ...

    Bernard Lugan

    L'Afrique réelle cliquez ici

    Dans les années 1950, juste avant les indépendances, le monde en perdition n’était pas l’Afrique, mais l’Asie qui paraissait alors condamnée par de terrifiantes famines et de sanglants conflits : guerre civile chinoise,  guerres de Corée, guerres d’Indochine et guerres indo-pakistanaises. En comparaison, durant la décennie 1950-1960, les habitants de l'Afrique mangeaient à leur faim, étaient gratuitement soignés et pouvaient se déplacer le long de routes ou de pistes entretenues  sans risquer de se faire attaquer et rançonner.

    Ce temps lointain était celui des colonies, époque dont il est impossible de parler d’une manière objective et au sujet de laquelle il est obligatoire de dire que ce fut l’enfer sur terre…
     
    Or, soixante-dix ans plus tard, le contraste est saisissant avec des dizaines de milliers de migrants qui se livrent au bon vouloir de gangs qui les lancent dans de mortelles traversées en direction de la « terre promise » européenne. Les crises alimentaires sont  permanentes, les infrastructures de santé ont disparu, l'insécurité est généralisée et la pauvreté atteint des niveaux sidérants. Quotidiennement, les journaux et les divers organes d'information font état de famines, d'épidémies, de massacres qui montrent que le continent africain s’enfonce chaque jour un peu plus dans un néant dans lequel surnagent quelques îlots pétroliers. 

    Que s’est-il donc passé pour que, malgré ses immenses richesses naturelles et en dépit des océans d'aides aveuglément déversées par les pays dits riches, l'Afrique connaisse un tel naufrage, ne parvenant même plus à nourrir sa population ?

    Et que l’on ne vienne pas nous parler des aléas climatiques car le continent possède certaines des terres les plus fertiles de la planète sur lesquelles jusqu'à trois récoltes annuelles sont possibles. De plus, l'agriculture africaine n'est pas paralysée par un long hiver, par un tapis neigeux ou par les glaces. Avec ses de 9.000.000 km2, le Sahara représente certes environ 25% de la superficie du continent, mais proportionnellement moins que la toundra eurasienne ou nord-américaine où l'on ne parle pourtant pas de malédiction. 

    Le problème est que le continent africain s’auto-suicide avec sa démographie, car, chaque année, l’écart se creuse entre le nombre de bouches à nourrir et les productions alimentaires. La catastrophe est donc programmée. Un exemple : au Sahel, les 10 à 20 millions d'habitants d'avant la colonisation sont aujourd'hui 180 millions. Voilà qui explique pourquoi la subtile alchimie de ce fragile milieu de 3 millions de km2 a été détruite. Au même moment, les 40 millions de Sibériens sont à l'aise sur plus de 13 millions de km2  d’une nature hostile. 

    La réalité est que les Africains n'étant pas des Européens pauvres à la peau noire,  parce que le corps social africain n’est pas celui de l’Europe, ou celui de l’Asie, nos modèles politiques n'y ont pas réussi.

    Or, si la greffe européenne n'a pas pris sur le porte-greffe africain, c’est parce que, comme le dit le proverbe congolais : « Ce n’est pas parce qu’il pousse au bord du marigot que le manguier devient crocodile. »

     

    Source : synthesenationale

  • Hongrie : Viktor Orban a lancé une politique nataliste à grand frais pour doper la démographie de souche

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2021

    Voyage dans la Hongrie de Viktor Orban : familles, je vous paie…

    Derrière ses murs de barbelés de la frontière serbo-hongroise, qui depuis 2015 coupent aux migrants la route vers l’Union européenne, le pays multiplie les incitations à investir dans la layette. Les jeunes mariés peuvent prétendre au « chok ». Ce système de prêt à taux réduit de 10 millions de forints (soit 30 000 euros) pour l’achat d’un logement neuf devient de plus en plus avantageux à mesure que la famille s’agrandit. Au troisième bébé, les mensualités sont automatiquement remboursées. Les mères de quatre enfants ou plus se voient exonérées d’impôt sur le revenu, et les grandes tribus ne payent plus ni cantine ni manuels scolaires. « Si on fait un petit dernier, je l’appellerai Chokie… » blague ce quinquagénaire, photographe à Budapest, à la tête d’une famille recomposée. (…)

    www.leparisien.fr via fdesouche

  • Démographie et immigration : mieux vaut être le Japon que l’Espagne !

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2021

    polemia

    Démographie et immigration : mieux vaut être le Japon que l’Espagne !

     

    Par le Conseil national de la résistance européenne, présidé par Renaud Camus ♦ La question démographique est sensible. En effet, la baisse de la natalité en-dessous d’un certain seuil entraîne inévitablement de graves problèmes structurels. Mais le recours de certains pays à l’immigration extra-européenne pour pallier à ces problèmes est un remède qui est largement pire que le mal ! Sur ce sujet, voici un communiqué du Conseil national de la résistance européenne.
    Polémia

    Espagne et changement de peuple

    Un gouvernement espagnol s’était déjà signalé il y a un quart de siècle en mettant en avant l’idée hallucinante que les retraites n’étaient pas un problème, que si l’on manquait d’Espagnols actifs pour les payer aux Espagnols retraités il suffisait de remplacer les premiers par des Marocains, des Sahraouis, des Algériens, des Mauritaniens, tout ce qui voudrait bien se présenter, et il n’en manquerait pas. C’était exprimer en acte, avec une candeur désarmante, l’idée centrale du remplacisme global davocratique, c’est-à-dire de l’antiracisme génocidaire : à savoir que les peuples se valent sur quelque territoire que ce soit, et que si l’on n’a pas assez d’Espagnols en Espagne, il suffit de mettre à la place des Marocains, c’est pareil. C’était là renverser toute la pensée occidentale depuis des siècles, mais aussi bien toute la pensée universelle depuis toujours : l’homme devenait une matière absolument interchangeable, où que ce soit.

    En 2021 un autre gouvernement espagnol est tout à fait fidèle au même principe négationniste-génocidaire : les villages de l’intérieur de l’Espagne se dépeuplent, qu’à cela ne tienne, il n’y a qu’à y installer des Africains. L’aberration est double : que la population espagnole décroisse un peu est certainement une excellente chose dont devraient s’inspirer tous les autres peuples de la Terre, étant donné l’état de la planète, dont presque tous les maux sont dus à la surpopulation. Et c’est pour pallier ce mal imaginaire, qui est en fait un bienfait, que le gouvernement remplaciste espagnol entend procéder en Espagne à une substitution ethnique qui non seulement fera perdre à ce pays l’avantage d’une décroissance modérée, exemple à suivre pour le reste du monde, mais abolira en la population sa culture, son histoire, son identité, tout ce qu’elle a voulu être et désiré éviter à tout prix depuis qu’elle est espagnole.

    Conseil national de la résistance européenne
    06/07/2021

    Source : CNRE.eu