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  • Viktor Orban et sa mission de paix 3.0 : Kiev, Moscou et Pékin

    Publié par Guy de Laferrière le 11 juillet 2024

    Viktor Orban et sa mission de paix 3.0 : Kiev, Moscou et Pékin
    Viktor Orban et sa mission de paix 3.0 : Kiev, Moscou et Pékin

    Viktor Orban poursuit sa mission de paix 3.0. Le Premier ministre hongrois a été accueilli par Xi Jinping à Pékin. Cette visite fait suite à des visites en Russie et en Ukraine et vise à parvenir à une cessation du conflit. Après la Chine, Orbán s’envolera pour Washington pour le sommet de l’OTAN.

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orban est un « ambassadeur » de la paix. Après s’être rendu à Moscou et à Kiev pour discuter des perspectives d’une solution pacifique en Ukraine, il a entamé une visite surprise en Chine le 8 juillet dernier, à la barbe des représentants de l’Union Européenne.

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orban est un « ambassadeur » de la paix

    Une « Mission de paix 3.0 », c’est ainsi qu’Orbán a légendé une photo publiée lundi matin sur la plateforme de médias sociaux X de lui-même après sa descente de l’avion à Pékin. Le Premier ministre hongrois a été accueilli par la vice-ministre chinoise des Affaires étrangères Hua Chunying et d’autres responsables.

    Selon la chaîne de télévision publique CCTV, lors de la réunion bilatérale avec Xi Jinping, le président chinois a déclaré au dirigeant hongrois que les puissances mondiales devraient aider la Russie et l’Ukraine à relancer les pourparlers de paix directs.

    « La communauté internationale doit créer les conditions et fournir une assistance afin que les deux parties puissent reprendre le dialogue et les négociations directes », a déclaré Xi à Orbán, ajoutant : « Ce n’est que lorsque toutes les grandes puissances exerceront une énergie positive plutôt que négative que l’aube d’un cessez-le-feu dans ce conflit pourra se produire ».

    Xi à Orbán : la communauté internationale doit créer les conditions pour reprendre le dialogue de paix entre la Russie et l’Ukraine

    A l’occasion de cette visite, le président chinois a salué l’Union européenne comme un « partenariat stratégique » exemplaire, invitant la Hongrie à jouer « un rôle plus important » dans le « développement » des relations entre Pékin et Bruxelles.

    Pékin et Budapest sont sur la même longueur d’onde sur la question ukrainienne, soutenant une résolution pacifique du conflit tout en restant proches du Kremlin.

    Après sa rencontre avec le président chinois, Viktor Orban a affirmé sur son compte X : « Le président Xi m’a clairement indiqué aujourd’hui que la Chine poursuivra ses efforts en vue de créer les conditions de la paix. Nous ne sommes pas seuls ! La mission de paix se poursuit… »

    La visite d’Orbán fait suite à des voyages similaires la semaine dernière à Moscou le 5 juillet, et à Kiev le 3 juillet, où il a proposé que l’Ukraine envisage un accord de cessez-le-feu immédiat avec la Russie. Le dirigeant ukrainien a rejeté cette idée, estimant que Moscou en profiterait pour se renforcer.

    Orbán en Chine : la Hongrie peut parler aux deux côtés du conflit ukrainien

    La visite du Premier ministre hongrois à Moscou a suscité la condamnation de Kiev et des dirigeants et institutions européens. « Le nombre de pays capables de parler aux deux parties en guerre est en diminution, a déclaré Orbán. La Hongrie est en train de devenir peu à peu le seul pays d’Europe qui peut parler à tout le monde ». « La guerre ne tombe pas du ciel. La guerre est le résultat de décisions prises par des personnes précises… La Chine a un plan de paix. Les États-Unis mènent une politique de guerre. L’Europe, au lieu d’avoir une approche stratégique autonome , copie simplement la position américaine. »

    Ces visites décidées sans consultation avec les technocrates bruxellois, hostiles à toutes discussions de paix, ont provoqué la colère des partenaires européens,

    Le 1er juillet, la Hongrie a assumé la présidence tournante de l’UE. Pour le Président russe Vladimir Poutine, Viktor Orbán s’est rendu à Moscou en tant que plus haut représentant du Conseil européen. Une version démentie par de hauts responsables bruxellois qui ont précisé que le Premier ministre hongrois n’a aucun mandat pour négocier au nom de l’Union.

    Union Européenne : la colère du parti de la guerre

    Les technocrates bruxellois sont du parti de la guerre : ainsi considèrent-ils Orbán comme le dirigeant européen qui a entretenu les relations les plus chaleureuses avec Poutine, mais aussi comme celui qui a constamment bloqué leurs efforts visant à soutenir Kiev envers et contre-tout réalisme et à imposer des sanctions à Moscou.

    Viktor Orbán est du parti de la paix : aussi soutient-il depuis longtemps la cessation des hostilités en Ukraine. Une posture critiquée par les alliés de l’UE et de l’OTAN, qui ont dénoncé les actions de la Russie comme une violation du droit international et une menace pour la sécurité des pays d’Europe de l’Est.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Les relations particulières entre Attal, Chenu et Tanguy

    Publié par Guy de Laferrière le 11 juillet 2024

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    Nous avons évoqué ce matin les révélations du journal Libération sur les dîners secrets entre des figures de la Macronie et Marine Le Pen et Jordan Bardella, révélations qui laissent entendre des connivences d’une ampleur insoupçonnée jusqu’ici entre le RN et l’entourage de Macron.

    Connivences multiples sur un ton grivois

    Dans un registre indirectement lié, le compte X/Twitter de Zoé Sagan, très suivi pour ses sujets consacrés aux mœurs de personnalités de la jet-set, des médias et de la politique, avait sorti de l’oubli quelques extraits d’articles passés inaperçus sur les relations particulières entre Gabriel Attal, Sébastien Chenu et Jean-Philippe Tanguy, tous trois notoirement homosexuels. Entretemps, le compte X/Twitter de Zoé Sagan a été une nouvelle fois censuré.

    Les relations particulières entre Attal, Chenu et Tanguy

    Les relations particulières entre Attal, Chenu et Tanguy

    Le résultat du second tour des élections législatives anticipées nous aura au moins évité que Sébastien Chenu et Jean-Philippe Tanguy deviennent ministres…

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Quelques réflexions personnelles post-électorales...

    Publié par Guy de Laferrière le 10 juillet 2024

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    Il est des moments, dans l’existence, où il faut se décider : quelle ligne de conduite adopter face à des évènements que l’on ne maitrise pas ? Autrement dit, pour un mâle blanc, hétérosexuel, largement de plus de cinquante ans, d’élocution francophone, que faire dans un monde qui ne convient pas, que ce soit dans le domaine sociétal comme dans le secteur politique ? Soyons encore plus direct : quelle attitude adopter dans un pays où une Assemblée nationale est dominée en nombre de sièges – mais pas en nombre de voix ! -, par les Rouges/Roses du NFP ? Sans omettre  les ploutocrates mondialistes « d’Ensemble » et de LR réunis ? (« Aie l’air d’un con », oui !) Sans oublier non plus des revenants, des « fantômes de la République », tel un grassouillet  François Hollande. Lequel, toute honte bue, considérant sans doute ses retraites de maire, de conseiller général, de député de la Corrèze et de président de la République comme trop maigres, « repique au truc » ?

    Se rebeller, s’insurger, partir, combattre pour mieux être écrasé par la soldatesque aux ordres des oligarques ? Ne nous y trompons pas, pas un militaire patriote, pas un seul, ne prendrait le risque de s’opposer au système par un pronunciamiento. Même la Bolivie, pays producteur typique de cette spécialité politique exotique, semble y avoir renoncé, c’est dire…

    Alors, que faire, subir en silence, en « fermant sa gueule » et  en serrant les poings, attendant la dégringolade finale, comme l’orchestre du Titanic, qui fit vibrer ses instruments jusqu’au bout du naufrage ?

    Changer de nationalité ? Pourquoi pas. Encore faut-il en avoir les moyens, et l’acheter dans des micro-États. Tout le monde n’a pas une valise bourrée de billets de banque à déposer sur le bureau des Grimaldi !

    Resterait l’exil intérieur, un repli sur soi, une négation du monde qui nous entoure. Difficile à envisager tant les liens sociaux sont évidents, nécessaires à notre existence même. Alors je reviens sur cette idée de nationalité de rechange. J’ai eu la chance d’avoir été nommé le 30 septembre 2001 vice-consul de Patagonie en Seine-et-Marne par Jean Raspail, immense écrivain disparu il y a quatre ans, auteur notamment de l’éblouissant livre « Le Camp  des Saints ».

    Alors oui, quitter mentalement ce pays qui a vu naître Jean de la Fontaine, Alexandre Dumas, Auguste Rodin, Georges Bizet, Honoré d’Estienne d’Orves, Jeanne, la Sainte de la patrie, Louis XVI un roi martyr, un célèbre Maréchal qui avait fait « don de sa personne à la France », ou encore les patriotes fusillés de l’Algérie française, est un déchirement.

    Mais qu’est donc devenu ce pays, celui de mon enfance, que je ne reconnais plus ? Mon XVIIIe arrondissement de paris est une véritable « Tour de Babel » ! Des Bambaras aux Pendjabis, en passant par des Fangs, des Roms, des Maghrébins ou des Tamouls, tout un kaléidoscope ethnique semble s’être déversé sans retenue sur la France, « Mère des arts, des armes  et des lois », comme l’écrivait Joachim du Bellay au XVIe siècle. Un pays de « footeux » millionnaires, qui plus est donneurs de leçons - reconnaissables lors des rencontres internationales uniquement grâce à la couleur de leur maillot -, ou encore de médaillés de la légion d’honneur, décorations obtenues pour avoir bien ciré les pompes du potentat du moment… Et que penser de tous ces « jeunes » dealers qui colonisent, ici ou là,  nos « zones de non droit » et autres « quartiers difficiles », et qui sortent le « surin » pour un oui ou pour un non , en toute impunité ?

    Alors oui, je vais me réfugier dans les plis du drapeau tricolore bleu, blanc, vert - celui de Sa Majesté Antoine-Orélie 1er, roi d’Araucanie et de Patagonie -, qui recouvrira mon cercueil lorsque l’heure ultime de ma présence terrestre sera venue.

    Ce pays qui fut, un temps, le phare du monde, ne m’intéresse plus depuis qu’il est entre les mains de petits hommes gris, sectaires, jaloux, et imbus de leur personne. En fait, ce sont de misérables lombrics ! (Et encore, ces derniers, les vrais, ont-ils une évidente utilité…) L’inéluctable « Grand remplacement » sauf redressement démographique, m’affecte terriblement. Sans oublier les effets délétères du Wokisme importé des États-Unis, et l’inlassable action subversive  des termites de l’islamo-gauchisme adoubés par l’inénarrable « Merluchon » !

    Alors oui, que Muskar XII, roi de la  Syldavie créée par le grand Hergé dont le portrait orne mon bureau, et Sa majesté Antoine-Orélie 1er, veillent sur moi . Ce sont bien les seuls rares et dignes chefs d’État qui ont droit à mon profond respect.

     « Liberté, équité, civilité » !

     

    Source : synthesenationale