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  • Coalition des volontaires : on ne change pas une équipe qui perd

    Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2025

    Auteur : 
    L’aveugle et le boiteux…

    J’ai regardé attentivement pour vous la conférence de presse des présidents Macron et Zelensky suite à la réunion de la coalition des volontaires organisée le 4 septembre à Paris.

    Je ne voudrais pas avoir l’air d’enfoncer des portes ouvertes, mais quand certains rabâchent des mensonges et des âneries pour qu’elles deviennent des vérités, il convient de répéter la vérité afin que leurs inepties demeurent des mensonges.

    Ainsi, Emmanuel Macron nous dit :

    « Le camp de la paix est à Washington, Kiev, et dans toutes les capitales d’Europe et chez tous les alliés de cette coalition des volontaires ».

    Il est bon de voir que Macron valide la nouvelle posture de Washington qui a considérablement évolué depuis l’arrivée de Donald Trump, il y a moins d’un an, à la Maison Blanche.

    Il y a encore moins d’un an en effet, les contacts entre les États-Unis et la Russie étaient rompus. Entre février 2022 et janvier 2025, pratiquement aucun contact entre la Russie et les États-Unis au niveau ministériel n’a eu lieu. Pire, quand le « camp de la paix » s’est réuni à Bürgenstock en Suisse en juin 2024, la Russie n’avait même pas été conviée. Et moi qui croyais naïvement que pour faire la paix il fallait être deux.

    Ce que Macron oublie dans sa dialectique orwellienne, c’est que précisément le fameux « camp de la paix » n’a eu de cesse que de jeter de l’huile sur le feu de ce conflit. Ainsi, personne n’a oublié que le Premier ministre britannique Boris Johnson fit tout pour faire capoter l’accord de paix négocié à Istanbul en avril 2022 et sur le point d’être signé par Moscou et Kiev.

    Combien de malheurs auraient pu être évités si une puissance étrangère n’était pas venue faire du sabotage dans un conflit qui, à l’évidence, ne la regardait pas ? Combien de malheur et combien de territoires perdus pour l’Ukraine aurait été évités.

    Il faut également revenir sur le terme de « guerre d’agression ».

    Ce sont les États européens et américains qui ont agressé l’Ukraine en répandant le ferment de la déstabilisation en 2014. La Russie n’a fait que réagir notamment pour protéger des populations agressées, ayant ainsi le droit international de son côté. J’ajoute que c’est « le camp de la paix », toujours lui, qui a saboté les Accords de Minsk, avouant toute honte bue qu’il s’agissait d’une manœuvre dilatoire. On notera au passage que c’est aujourd’hui Macron qui accuse la Russie de manœuvres dilatoires. Pardon encore une fois de répéter des choses que le lecteur éclairé sait déjà, mais la pratique de l’inversion accusatoire par les gouvernements occidentaux nous y contraint.

    Macron a raison de rappeler que les faits sont têtus car la Russie n’a eu de cesse de chercher des solutions pour éviter le conflit, rendu inévitable par l’intransigeance des occidentaux et notamment des États-Unis. Il eût suffi à l’époque de garanties solides de non adhésion de l’Ukraine à l’OTAN (ce qui aujourd’hui n’est plus guère d’actualité) et de protections efficaces des populations du Donbass pour que Moscou renonce à son intervention.

    Ensuite, je ne sais pas si c’est l’effet des substances, mais Macron devrait tout de même faire un peu attention.

    Car si l’armée russe avait effectivement perdu 1 million d’hommes pour conquérir 1% du territoire, on se demande bien comment elle ferait pour avancer comme elle avance aujourd’hui.

    Personne hélas ne peut contester qu’il y a eu trop de pertes de part et d’autre, mais il me semble qu’à ce niveau-là de l’État, un minimum de mesure s’impose. Bon il est vrai que la conférence ce de presse réunissait exclusivement des journalistes amis, mais tout de même…

    Enfin, et pour conclure, on notera que la réunion de Paris n’a abouti strictement à rien.

    Car il est bien beau de statuer sur ce que l’on va faire après le cessez-le-feu, mais faudrait-il qu’il y ait un cessez-le-feu. Or le feu ne pourra cesser qu’aux conditions de celui qui a l’avantage sur le terrain.

    Et sur le terrain, c’est la Russie qui a l’avantage.

    De surcroît, sans vouloir faire de peine à personne, je doute qu’une coalition composée entre autre, de la Belgique, du Luxembourg ou de la Nouvelle-Zélande soit suffisante pour faire peur à Poutine.

    Je m’en voudrais de ne pas aborder brièvement la question de savoir ce qu’il convient de faire si Vladimir Poutine n’obtempère pas devant les injonctions des charlots. Ils ont prévu de nouvelles sanctions. C’est vrai que ça a tellement bien marché jusque-là qu’il serait dommage de ne pas appliquer une formule aussi fructueuse.

    De la même manière qu’on s’évertue à appliquer des solutions qui ne marchent jamais, on ne change pas une équipe qui perd.

    Jacques Frantz

     

    Source : medias-presse.info

  • Christine Lagarde est allée pavoiser à Kiev

    Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2025

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    Jérémy Bouhy

    Pure créature de l’oligarchie bancaire et des réseaux atlantistes, non élue et inconnue du grand public, l’androgyne Christine Lagarde est allée pavoiser à Kiev, sourire hautain et mine conquérante, tel un Seigneur visitant ses terres…
    La guerre en Ukraine est un drame et une abomination, pour les ukrainiens et pour le monde ; elle a été voulue, pensée et provoquée depuis les salons de Davos par une fange de libéraux occidentaux, les mêmes qui ont organisé le chaos migratoire pour détruire les peuples et les Nations européennes.
    Ces ennemis de la paix sont la lie de l’humanité

     

  • Trump veut troquer des armes à l’Ukraine contre les terres rares du pays

    Publié par Guy Jovelin le 08 février 2025

    Trump veut troquer des armes à l'Ukraine contre les terres rares du pays

    Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, a souligné que les Américains avaient les yeux rivés sur les richesses naturelles de l’Ukraine depuis un certain temps déjà.

    « Kiev est prêt à vendre l’Ukraine »

    Maria Zakharova a commenté la déclaration du président américain Donald Trump selon laquelle les États-Unis sont intéressés par l’acquisition des terres rares d’Ukraine et cherchent à obtenir des garanties à ce sujet de la part de Kiev.

    « Apparemment, le président américain a vu que Kiev était prêt à vendre l’Ukraine pour conserver le soutien militaire et financier des États-Unis et a apparemment décidé d’aborder ce conflit d’un point de vue commercial », a déclaré Mme Zakharova lors d’une conférence de presse.

    « Avec l’aide du régime corrompu de Kiev, ils ont réussi à mettre la main notamment sur des terres agricoles, fertiles, sans trop d’efforts. Maintenant qu’ils ont mis la main sur ce sol fertile, les sponsors du régime de Kiev cherchent ce qui reste. Cette fois, ils se sont tournés vers ce qui se trouve sous la terre », a-t-elle déclaré.

    Uranium, titane, lithium, etc

    Maria Zakharova a rappelé que Zelensky avait exprimé cette idée dans son soi-disant « plan de victoire » en octobre 2024, lorsqu’il avait proposé aux « partenaires » de conclure un accord avec l’Ukraine « sur la protection conjointe des ressources critiques de l’Ukraine, les investissements conjoints et l’utilisation du potentiel économique ukrainien ».

    « Que veulent-ils dire quand ils parlent des ressources critiques du pays ? Bien sûr, il s’agit des terres rares – uranium, titane, lithium, etc. Le 4 février, Zelensky s’est empressé d’assurer à Washington qu’il était prêt à exploiter conjointement ces minéraux et a remercié les États-Unis pour leurs efforts de soutien à l’Ukraine », a noté Zakharova.

    Une « compensation » de la part de l’Ukraine en échange du soutien de Washington

    Tout cela rejoint les propos d’Alain Escada dans sa vidéo sur les financements américains et la subversion. Le président américain Donald Trump a déclaré qu’il souhaitait que l’Ukraine fournisse aux États-Unis des minéraux de terres rares en guise de paiement pour son soutien financier aux efforts de guerre du pays contre la Russie.

    S’adressant aux journalistes à la Maison Blanche, Trump a déclaré que l’Ukraine était disposée à le faire, ajoutant qu’il souhaitait une « compensation » de la part de l’Ukraine en échange du soutien de Washington.

    « Nous disons à l’Ukraine qu’elle possède des terres rares de grande valeur », a déclaré M. Trump. « Nous cherchons à conclure un accord avec l’Ukraine en échange de ses terres rares et d’autres choses. »

    Les terres rares de grande valeur

    Les terres rares sont un groupe de 17 métaux utilisés pour fabriquer des aimants qui transforment l’énergie en mouvement pour les véhicules électriques, les téléphones portables et autres appareils électroniques.

    L’US Geological Survey considère que 50 minéraux sont essentiels à l’économie et à la défense nationale du pays, notamment plusieurs types de terres rares, de nickel et de lithium.

    L’Ukraine possède d’importants gisements d’uranium, de lithium et de titane, même si aucun n’est considéré comme faisant partie des cinq plus grands gisements mondiaux en termes de volume. La Chine est le premier producteur mondial de terres rares et de nombreux autres minéraux essentiels.

    Plusieurs médias ukrainiens ont rapporté lundi que le soi-disant plan de victoire que le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy a élaboré et partagé avec les dirigeants américains l’année dernière incluait une discussion sur le partage de ces minéraux avec les alliés.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Kiev et Moscou confirment la fin du transit de gaz russe vers l’Europe via l’Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2025

    Kiev et Moscou ont confirmé dans deux communiqués séparés que les livraisons de gaz russe à l’Europe via l’Ukraine avaient définitivement cessé ce mercredi matin, après l’expiration d’un contrat quinquennal signé entre les deux parties fin 2019.

    « Nous avons arrêté le transit du gaz russe, c’est un événement historique. La Russie perd des marchés, elle va subir des pertes financières », s’est félicité le ministre ukrainien de l’Energie, Guerman Galouchtchenko, cité par ses services. (…)

    « Depuis 8h00 (05h00 GMT), le gaz russe n’a pas été fourni pour le transit à travers l’Ukraine », a indiqué de son côté Gazprom, le géant gazier russe. « En raison du refus répété et explicite de la partie ukrainienne de prolonger cet accord, Gazprom a été privé de la possibilité technique et juridique de fournir du gaz pour le transit à travers l’Ukraine à partir du 1er janvier », a déploré l’entreprise étatique russe.

    Des plaintes de pays d’Europe de l’est

    D’après le ministre ukrainien Guerman Galouchtchenko, « l’Ukraine a informé ses partenaires internationaux » de l’arrêt, prévu depuis plusieurs mois. Ces dernières semaines, la Hongrie et la Slovaquie se sont plaintes de voir le robinet coupé le 31 décembre, sans réelles alternatives immédiates crédibles.

    Le Premier ministre slovaque Robert Fico, resté proche de Vladimir Poutine et dont le pays est très dépendant de l’approvisionnement en gaz russe, s’était rendu à Moscou le 22 décembre pour tenter de trouver une solution dans l’urgence.

    Ce déplacement surprise avait provoqué la colère de Volodymyr Zelensky, qui a accusé Robert Fico de vouloir « aider Poutine ». En outre, le géant russe Gazprom doit cesser de livrer du gaz à la Moldavie également à compter de mercredi, dans le contexte d’un différend financier avec cette ex-république soviétique qui vient de réélire une présidente pro-européenne.

    Lire l’article entier sur bfmtv.com.

     
     
  • Kiev et les missiles à longue portée : les raisons triviales de cette autorisation américaine

    Publié par Guy de Laferrière le 19 novembre 2024

    L'Ukraine a reçu l'autorisation des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France de frapper le territoire russe avec des missiles à longue portée
    L’Ukraine a reçu l’autorisation des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France de frapper le territoire russe avec des missiles à longue portée

    Les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France ont autorisé l’Ukraine à frapper la Russie avec leurs missiles à longue portée. Les raisons triviales de cette autorisation américaine : est-ce une dernière tentative de rendre impossible la recherche de la paix par la future administration Trump ? Continuer à blanchir de l’argent ? Ramener l’Allemagne au bercail ?

    Le complexe militaro-industriel américain veut déclencher une troisième guerre mondiale avant l’investiture de Donald Trump pour plusieurs raisons

    « Le complexe militaro-industriel semble vouloir s’assurer de déclencher la troisième guerre mondiale avant que mon père n’ait eu la chance de créer la paix et de sauver des vies », a déclaré le fils du 47e Président des États-Unis, Donald Trump Jr., sur son compte de réseau social X, en commentant l’autorisation du président américain Joe Biden de frapper profondément en Russie avec l’utilisation de missiles américains à longue portée. « Que la vie soit damnée !!! Des imbéciles ! », a ajouté Donald Trump Jr.

     

    Le New York Times a rapporté le 17 novembre que le président américain Joe Biden avait autorisé l’utilisation de missiles à longue portée fournis par les États-Unis, connus sous le nom de Army Tactical Missile Systems, ou ATACMS, pour frapper l’intérieur de la Russie. Pour l’instant cette information diffusée par les médias n’a pas eu de confirmation officielle.

    Plus tard dans la journée, le quotidien français Le Figaro a rapporté que la France et le Royaume-Uni avaient suivi l’exemple de Biden et avaient également  autorisé Kiev à utiliser leurs armes, SCALP/Storm Shadow pour frapper à l’intérieur de la Russie. Depuis Le Figaro a retiré cette information. Cela signifierait-il que les deux dirigeants, Emmanuel Macron et Keir Starmer, ne sont plus si sûrs d’eux et d’une non-réponse russe sur leur territoire, préférant ainsi rétropédaler ?

    Quoi qu’il en soit, cette décision de Biden peut avoir plusieurs raisons : ramener l’Allemagne au bercail qu’elle semble vouloir quitter ; continuer à blanchir de l’argent avec cette guerre de basse intensité ; mettre des bâtons dans les roues de la future administration Trump qui parle de paix

    Ramener l’Allemagne au bercail qu’elle semble vouloir quitter

    Ramener l’Allemagne au bercail : il n’est pas anodin ni fruit du hasard que cette décision de l’administration Biden soit intervenue deux jours après l’appel téléphonique, vendredi dernier, entre Scholz et Poutine au cours duquel ce dernier a réitéré son ouverture aux négociations. Selon Axios, leur utilisation serait limitée à la seule région de Koursk, mais selon le Washington Post, cette limitation serait temporaire, ce qui signifie que la portée des cibles « pourrait s’étendre ».

    Le feu vert aurait été donné en réponse à l’arrivée de soldats nord-coréens en Russie, prétexte hautement ridicule : faut-il rappeler que Koursk est en territoire russe ? Que le contingent nord-Coréen ne dépasse pas 10 000 hommes ? Et que les Russes sont maitres d’opérer des manœuvres avec des armées alliées chez eux ?

    Continuer à blanchir de l’argent

    Continuer à blanchir de l’argent : comme le souligne le fils de Trump « le complexe militaro-industriel semble vouloir s’assurer de déclencher la troisième guerre mondiale ». L’oligarchie hyper-atlantique qui a dirigé le monde ces dernières décennies sait que l’élection de The Donald peut éroder son pouvoir, et elle réagit.

    C’est également l’opinion du futur procureur général nommé par Trump, Matt Gaetz qui dit ce que tous les autres n’osent pas dire : la guerre en Ukraine sert à « blanchir de l’argent » :

    « Je pense que la raison pour laquelle nous sommes aussi impliqués en Ukraine, c’est parce que l’Afghanistan s’est arrêté. Si nous avions encore l’Afghanistan pour blanchir de l’argent, nous n’aurions probablement pas besoin de ce type d’implication excessive en Ukraine. Mais je pense que nous pouvons regarder l’Afghanistan et ce qui se passe ici et dire que ce vers quoi tendent beaucoup de ces entreprises de défense, c’est vers une guerre prolongée à faible rendement. S’il y a un moyen d’étirer les choses, de les transformer en une guerre de 20 ou 30 ans où il y a beaucoup d’argent qui circule, où il y a des gens qui ne rendent pas de comptes, (regardez l’énorme trou du budget annuel du Pentagone) où beaucoup d’armes sont achetées et où tous les stocks doivent être rechargés, nous devons dépenser plus d’argent. »

     

    Les guerres américaines sont à la recherche d’un blanchiment d’argent à long terme sans comptes à rendre. Robert Kennedy, autre futur membre de l’administration Trump, fait le même constat sur X : « Les hommes anonymes portant des cordons qui dirigent actuellement la politique étrangère américaine veulent apparemment déclencher la troisième guerre mondiale avant de quitter la Maison Blanche. »

    The anonymous men in lanyards who are currently running US foreign policy apparently want to start
    World War III before they leave the White House.

     

    Mettre des bâtons dans les roues de la future administration Trump

    Mettre des bâtons dans les roues de la future administration Trump : sur ce prétendu feu vert du président Joe Biden à la transition vers la troisième guerre mondiale, il fait lire les considérations du média ukrainien Strana qui, après avoir rappelé qu’une telle escalade ne changerait pas le sort de la guerre en faveur des Ukrainiens, souligne cependant comment Poutine a déclaré publiquement à plusieurs reprises qu’il s’agirait d’une déclaration de guerre de l’OTAN contre Moscou, ajoutant que la Russie serait obligée de réagir :

    « Mais même si cela n’arrive pas, il sera certainement plus difficile de s’entendre sur une fin rapide de la guerre, car le niveau des hostilités entre l’Occident et la Fédération de Russie connaîtra une augmentation significative ».

    Strana poursuit :

    « Et c’est probablement le but principal de ce lieu. Poursuivre« parti de la guerre » occidental dirigé par Biden, toujours au pouvoir aux États-Unis, tente de rendre extrêmement difficile la conclusion d’un accord pour mettre fin à la guerre que, selon les médias, Trump est prêt à rechercher après avoir assumé les fonctions de président des États-Unis. L’approbation des attaques de missiles est l’une des dernières opportunités pour le « parti de la guerre » de saboter cet accord. »

    En outre, « si la Russie devait réagir par une réponse militaire contre les pays occidentaux, en particulier contre les États-Unis, ce serait là encore une bonne option pour le « parti de la guerre », car, à tout le moins, cela conduirait Trump à complètement retirer de la table la question d’éventuels accords avec la Fédération de Russie et commencer son ordre du jour par une confrontation militaire. »

    « De plus, si l’ampleur du conflit entre la Fédération de Russie et l’OTAN s’aggrave, cela pourrait devenir une raison pour arrêter complètement le transfert du pouvoir à Trump, en le gardant entre les mains du parti démocrate. De plus, pour l’establishment de Washington, les nominations annoncées par Trump se présentent comme un véritable désastre. »

    « Le principal problème est que le passage de la confrontation entre la Russie et l’OTAN à la phase militaire peut très facilement se transformer en une confrontation nucléaire et provoquer une guerre mondiale qui entraînerait une destruction mutuelle. À ce moment-là, le nom du président des États-Unis n’aurait plus d’importance. »

    Ainsi, la recommandation d’il y a un mois de la commission américaine du renseignement et du Pentagone de ne pas donner le feu vert à Kiev pour le lancement de missiles à longue portée à sauter. Non pour aider Kiev dont la victoire est impossible mais pour ces raisons dénoncées plus haut, triviales, mesquines, corrompues.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info