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  • Kiev et Moscou confirment la fin du transit de gaz russe vers l’Europe via l’Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2025

    Kiev et Moscou ont confirmé dans deux communiqués séparés que les livraisons de gaz russe à l’Europe via l’Ukraine avaient définitivement cessé ce mercredi matin, après l’expiration d’un contrat quinquennal signé entre les deux parties fin 2019.

    « Nous avons arrêté le transit du gaz russe, c’est un événement historique. La Russie perd des marchés, elle va subir des pertes financières », s’est félicité le ministre ukrainien de l’Energie, Guerman Galouchtchenko, cité par ses services. (…)

    « Depuis 8h00 (05h00 GMT), le gaz russe n’a pas été fourni pour le transit à travers l’Ukraine », a indiqué de son côté Gazprom, le géant gazier russe. « En raison du refus répété et explicite de la partie ukrainienne de prolonger cet accord, Gazprom a été privé de la possibilité technique et juridique de fournir du gaz pour le transit à travers l’Ukraine à partir du 1er janvier », a déploré l’entreprise étatique russe.

    Des plaintes de pays d’Europe de l’est

    D’après le ministre ukrainien Guerman Galouchtchenko, « l’Ukraine a informé ses partenaires internationaux » de l’arrêt, prévu depuis plusieurs mois. Ces dernières semaines, la Hongrie et la Slovaquie se sont plaintes de voir le robinet coupé le 31 décembre, sans réelles alternatives immédiates crédibles.

    Le Premier ministre slovaque Robert Fico, resté proche de Vladimir Poutine et dont le pays est très dépendant de l’approvisionnement en gaz russe, s’était rendu à Moscou le 22 décembre pour tenter de trouver une solution dans l’urgence.

    Ce déplacement surprise avait provoqué la colère de Volodymyr Zelensky, qui a accusé Robert Fico de vouloir « aider Poutine ». En outre, le géant russe Gazprom doit cesser de livrer du gaz à la Moldavie également à compter de mercredi, dans le contexte d’un différend financier avec cette ex-république soviétique qui vient de réélire une présidente pro-européenne.

    Lire l’article entier sur bfmtv.com.

     
     
  • Viktor Orban et sa mission de paix 3.0 : Kiev, Moscou et Pékin

    Publié par Guy de Laferrière le 11 juillet 2024

    Viktor Orban et sa mission de paix 3.0 : Kiev, Moscou et Pékin
    Viktor Orban et sa mission de paix 3.0 : Kiev, Moscou et Pékin

    Viktor Orban poursuit sa mission de paix 3.0. Le Premier ministre hongrois a été accueilli par Xi Jinping à Pékin. Cette visite fait suite à des visites en Russie et en Ukraine et vise à parvenir à une cessation du conflit. Après la Chine, Orbán s’envolera pour Washington pour le sommet de l’OTAN.

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orban est un « ambassadeur » de la paix. Après s’être rendu à Moscou et à Kiev pour discuter des perspectives d’une solution pacifique en Ukraine, il a entamé une visite surprise en Chine le 8 juillet dernier, à la barbe des représentants de l’Union Européenne.

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orban est un « ambassadeur » de la paix

    Une « Mission de paix 3.0 », c’est ainsi qu’Orbán a légendé une photo publiée lundi matin sur la plateforme de médias sociaux X de lui-même après sa descente de l’avion à Pékin. Le Premier ministre hongrois a été accueilli par la vice-ministre chinoise des Affaires étrangères Hua Chunying et d’autres responsables.

    Selon la chaîne de télévision publique CCTV, lors de la réunion bilatérale avec Xi Jinping, le président chinois a déclaré au dirigeant hongrois que les puissances mondiales devraient aider la Russie et l’Ukraine à relancer les pourparlers de paix directs.

    « La communauté internationale doit créer les conditions et fournir une assistance afin que les deux parties puissent reprendre le dialogue et les négociations directes », a déclaré Xi à Orbán, ajoutant : « Ce n’est que lorsque toutes les grandes puissances exerceront une énergie positive plutôt que négative que l’aube d’un cessez-le-feu dans ce conflit pourra se produire ».

    Xi à Orbán : la communauté internationale doit créer les conditions pour reprendre le dialogue de paix entre la Russie et l’Ukraine

    A l’occasion de cette visite, le président chinois a salué l’Union européenne comme un « partenariat stratégique » exemplaire, invitant la Hongrie à jouer « un rôle plus important » dans le « développement » des relations entre Pékin et Bruxelles.

    Pékin et Budapest sont sur la même longueur d’onde sur la question ukrainienne, soutenant une résolution pacifique du conflit tout en restant proches du Kremlin.

    Après sa rencontre avec le président chinois, Viktor Orban a affirmé sur son compte X : « Le président Xi m’a clairement indiqué aujourd’hui que la Chine poursuivra ses efforts en vue de créer les conditions de la paix. Nous ne sommes pas seuls ! La mission de paix se poursuit… »

    La visite d’Orbán fait suite à des voyages similaires la semaine dernière à Moscou le 5 juillet, et à Kiev le 3 juillet, où il a proposé que l’Ukraine envisage un accord de cessez-le-feu immédiat avec la Russie. Le dirigeant ukrainien a rejeté cette idée, estimant que Moscou en profiterait pour se renforcer.

    Orbán en Chine : la Hongrie peut parler aux deux côtés du conflit ukrainien

    La visite du Premier ministre hongrois à Moscou a suscité la condamnation de Kiev et des dirigeants et institutions européens. « Le nombre de pays capables de parler aux deux parties en guerre est en diminution, a déclaré Orbán. La Hongrie est en train de devenir peu à peu le seul pays d’Europe qui peut parler à tout le monde ». « La guerre ne tombe pas du ciel. La guerre est le résultat de décisions prises par des personnes précises… La Chine a un plan de paix. Les États-Unis mènent une politique de guerre. L’Europe, au lieu d’avoir une approche stratégique autonome , copie simplement la position américaine. »

    Ces visites décidées sans consultation avec les technocrates bruxellois, hostiles à toutes discussions de paix, ont provoqué la colère des partenaires européens,

    Le 1er juillet, la Hongrie a assumé la présidence tournante de l’UE. Pour le Président russe Vladimir Poutine, Viktor Orbán s’est rendu à Moscou en tant que plus haut représentant du Conseil européen. Une version démentie par de hauts responsables bruxellois qui ont précisé que le Premier ministre hongrois n’a aucun mandat pour négocier au nom de l’Union.

    Union Européenne : la colère du parti de la guerre

    Les technocrates bruxellois sont du parti de la guerre : ainsi considèrent-ils Orbán comme le dirigeant européen qui a entretenu les relations les plus chaleureuses avec Poutine, mais aussi comme celui qui a constamment bloqué leurs efforts visant à soutenir Kiev envers et contre-tout réalisme et à imposer des sanctions à Moscou.

    Viktor Orbán est du parti de la paix : aussi soutient-il depuis longtemps la cessation des hostilités en Ukraine. Une posture critiquée par les alliés de l’UE et de l’OTAN, qui ont dénoncé les actions de la Russie comme une violation du droit international et une menace pour la sécurité des pays d’Europe de l’Est.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Attentat à Moscou.

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mars 2024

    Thomas Joly

    Gardons-nous de toute réaction précipitée sur le terrible attentat qui vient de se dérouler à Moscou. Tous les cas de figure sont possibles, toutes les manipulations également. Une pensée pour ces civils abattus par de lâches terroristes qui ne méritent que de pourrir en enfer.
     
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  • Moscou va déployer des armes nucléaires tactiques en Biélorussie

    Publié par Guy de Laferrière le 28 mars 2023

     

    La Russie stationnera des armes nucléaires tactiques en Biélorussie sans transférer le contrôle de ses armes à Minsk, a annoncé le président russe Vladimir Poutine. Cette décision a été justifiée par le fait qu’elle ne violerait pas les accords de non-prolifération nucléaire et serait comparable aux États-Unis stationnant leurs armes en Europe.

    La construction d’une installation de stockage d’armes nucléaires tactiques sera achevée d’ici le 1er juillet, selon le président Poutine, et Moscou commencera à former des équipages pour faire fonctionner les armes à partir de la semaine prochaine. Par ailleurs, la Russie enverra un petit nombre de systèmes de missiles tactiques Iskander au Bélarus, qui peuvent être utilisés pour lancer des armes nucléaires. Toutefois, le président russe n’a pas précisé quand les armes elles-mêmes seraient envoyées.

    La Biélorussie partage une frontière avec l’Ukraine et les pays membres de l’OTAN tels que la Pologne, la Lituanie et la Lettonie. Cette annonce a suscité des inquiétudes quant à la sécurité régionale, notamment au sein de l’OTAN. Les États-Unis ont déclaré qu’ils ne croyaient pas que la Russie se préparait à utiliser les armes nucléaires après l’annonce.

     

    Le Média en 4-4-2.

     
  • Les retards du Grand Paris s’accumulent, Moscou lance son super-métro

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Lancés en même temps, le Grand Paris et le grand Moscou connaissent des destins différents. En effet, si les retards s’accumulent sur le grand Paris – on parle désormais d’une extension du RER E pas opérationnelle avant 2025, et encore de 10 à 16h, pratique pour une ligne permettant des déplacements pendulaires de travailleurs, et d’un supermétro francilien achevé en 2032 au mieux, la “grande ligne circulaire” de la banlieue de Moscou vient d’être inaugurée, en avance sur les prévisions, et sans sacrifier à l’esthétique.

    Les Jeux Olympiques 2024 approchant, les athlètes et le public risquent de se déplacer en bus, et de bien apprécier le rétroacronyme de la RATP (rentre avec tes pieds) les jours de grève.

    Peut-être, pour éviter la honte internationale à l’état chimiquement pur, devrait-on confier l’achèvement des projets de transport du Grand Paris aux Russes ?