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Le Parti de la France - Page 177

  • Rassemblement pour Thomas interdit à Lyon

    Publié par Guy de Laferrière le 23 novembre 2023

    Rassemblement pour Thomas interdit à Lyon

    La préfecture du Rhône vient d’interdire la manifestation organisée pour Thomas à Lyon. De nombreux Français voulaient rendre un hommage à la victime de la racaille à Crépol…

    Mais la République française a ses priorités. Elle marche contre l’antisémitisme à la suite de quelques graffitis, et surtout pour témoigner son soutien à Israël. Mais elle n’a pas d’oreille pour la grande majorité des Français.

     

    Source : medias-presse.info

  • Assassinat odieux du jeune Thomas à Crépol

    Publié par Guy de Laferrière le 22 novembre 2023

    Thomas Joly

    Le plus révoltant dans l'assassinat odieux du jeune Thomas à Crépol c'est que les auteurs - surtout s'ils sont mineurs - seront condamnés à des peines dérisoires par nos juges rouges. Dans une société saine, ils seraient exécutés en place publique et leurs familles chassées du pays.

    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
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  • Argentine : Javier Milei, un nouveau Trump ou un Bolsonaro danseur de Tango ?

    Publié par Guy de Laferrière le 21 novembre 2023

    21 Novembre 2023, 06:02am | Publié par Thomas Joly

    L’heure serait-elle au « dégagisme » ? Après l’arrivée au pouvoir de Robert Fico en Slovaquie, allié stratégique de Victor Orban en Hongrie, la défaite au Libéria de l’ancien footballeur Georges Weah  - pourtant très populaire -, face à Joseph Boakai ancien vice-président , le succès incroyable du trouble-fête Javier Milei à Buenos-Aires, inaugure-t-elle une ère nouvelle ? Celle où les pachydermes des  clivages politiques traditionnels – gauche/droite -  les verrait  reconduits, les uns après les autres, dans leurs zoos respectifs ? La troisième voie empruntée par beaucoup de leurs outsiders n’est pas forcément la bonne, on le voit en France avec  le fameux «  en même temps »  de Macron, qui a ses limites. Le candidat  anti-système  argentin, se revendiquant même comme « anarcho-capitaliste », a pris la tronçonneuse comme emblème, tout un symbole ! Il est  considéré comme étant « climatoscpetique » - ce qui, à mes yeux,  est un compliment -, et a affirmé sa volonté de couper dans les dépenses publiques jugées inutiles. Mais l’Argentine n’est pas la France. Voici un pays au peuple très fier, qui fut la 5 ème économie mondiale au temps du Péronisme , quoiqu’on en pense et qu’on en  dise .

    Un déclin irréversible ?

     Il  est sur la pente glissante du déclin, en train de dévisser, comme notre chère France macronienne  qui est, elle aussi, sur le toboggan…Ce grand pays d’Amérique latine , aux paysages immensément variés – des forêts du nord, aux terres gelées du Sud, en passant par les Andes  - hier infranchissables,  et l’immense océan  vert qu’est la Pampa -, a connu moult bouleversements politiques. Du péronisme - un nationalisme social très prononcé, coloré de césarisme -, aux rituels duels conservateurs/ sociaux-démocrates,  en passant par la dictature militaire, ce pays semble être arrivé au bout de toutes les expériences  politiques possibles. Aux années Kirchner – Nestor et sa femme, Cristina, une longue parenthèse d’une quinzaine d’années, marquée par une effrayante corruption –, a succédé la  sempiternelle alternative gauche/droite, avec Mauricio Macri, ancien maire de la capitale (conservateur), et Alberto Fernandez (social-démocrate) entrant chacun à leur tour, à  la Casa rosada.

    Milei, le bulldozer

    Javier Milei 53 ans, bien élu, apparait comme un véritable bulldozer, un « renverseur de tables », un empêcheur de tourner en rond. C’est dire si la nation de Perón, de Fangio et du tango, en a assez des jeux politiciens néfastes, conduisant le pays  au tombeau. Un pays qui n’offre plus à sa jeunesse que l’espoir d’une incertaine émigration, 68 % de la tranche d’âge des 18 à 29 ans exprimant ce choix ! Une invraisemblable inflation de 142 % - !!!!-, une monnaie, le peso, totalement décrédibilisée au point que le nouveau venu n’écarte pas la solution du Dollar, comme d’autres pays latino-américains l’ont tenté. Buenos-Aires nous fait penser  à Barcelone ou à Paris, avec ses beaux immeubles haussmanniens,  trop concurrencés à mon goût, par l’architecture standard  mondialisée, qui fait que de Singapour à Houston,  en passant par Londres, on retrouve les mêmes buildings de verre, d’acier et de béton. Milei passe pour un Trump argentin, d’ailleurs le challenger de Jo Biden ne s’y est pas…  « trumpé », en le félicitant chaudement pour son incroyable victoire : 55,6 % des suffrages contre 44,3 % à Sergio Massa, son concurrent de centre-gauche, pourtant arrivé en tête au premier tour. Un score qui place le nouveau président de la Nation – on ne dit pas là-bas président de la République – à la première place sur le podium des président les mieux élus, depuis la chute du régime des généraux. La politique de Massa n’a pas évité à l’Argentine de dévisser, avec une dette colossale, et un prêt du FMI de 44 milliards  de dollars à rembourser au prix de sacrifices énormes.  Avec un salaire  mensuel moyen de 378 euros, et des familles qui ont recours au troc pour survivre, on commence à toucher le fond. Classé comme « libertarien », c’est à dire comme un apôtre d’une liberté totale, allant bien au-delà du simple  libéralisme -  quoique hostile à l’avortement-, cet économiste  iconoclaste remettra-t-il le train argentin sur les rails de l’abondance, alors que quatre citoyens sur dix sont frappés par une hideuse pauvreté ? Echappera-t-il au côté un peu « clownesque » de sa campagne ? C’est le souhait que l’on peut formuler pour ce pays latin, « blanc » à 80 %, comme l’Uruguay voisin.  « Aujourd’hui commencent la fin de la décadence (…) et la reconstruction de l’Argentine », a déclaré Milei devant des milliers de partisans réunis à son quartier-général de campagne, dans la capitale. Puisse-t-il être entendu…

    Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France

  • Au pouvoir, le Parti de la France mettra au pas ces hordes d'afro-maghrébins enragés en attendant leur remigration prioritaire.

    Publié par Guy de Laferrière le 20 novembre 2023

    Un groupe de « chances pour la France », venant d'un quartier colonisé de Romans-sur-Isère dans la Drôme, a organisé une expédition punitive à l'arme blanche lors d'une fête entre amis à Crépol, un petit village de 500 habitants.
    Thomas, un jeune rugbyman de 16 ans, est décédé à la suite de cette attaque au couteau. 17 autres personnes ont été blessées dont 2 très grièvement.
    Non contents de semer le chaos dans leurs citées islamisées, voilà que nos futurs ingénieurs en fusion nucléaire vont directement massacrer des Français dans nos campagnes.
    Au pouvoir, le Parti de la France mettra au pas ces hordes d'afro-maghrébins enragés en attendant leur remigration prioritaire.
     
    Maxime Leroy - Délégué général adjoint du Parti de la France
     
    Peut être une image de 1 personne, barbe, ambulance et texte
     
     
     
     
     
     
     
  • référendum sur l'immigration

    Publié par Guy de Laferrière le 20 novembre 2023

     
    Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’Thomas Joly @ThomasJoly732 Devant la forte probabilité d'un défoulement général du peuple français en cas de référendum sur l'immigration, quelle que soit la question, #EmmanuelMacron ne tente même pas le coup. Ça la foutrait mal que 80 % des électeurs expriment leur ras-le-bol des immigrés. 12:41 18 nov. 23’