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Le Parti de la France - Page 256

  • La France rapatrie 10 femmes et 25 enfants des camps de prisonniers jihadistes en Syrie ; 132 enfants et 55 femmes ont ainsi été rapatriés lors de 4 opérations depuis un an

    Publié par Guy de Laferrière le 04 juillet 2023

    Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères a annoncé avoir procédé au rapatriement de 10 femmes et 25 enfants des camps de prisonniers jihadistes en Syrie.

    La France a procédé mardi au rapatriement de 25 enfants et de 10 femmes qui étaient détenus dans des camps du nord-est de la Syrie, a fait savoir le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué, ajoutant remercier l’administration du nord-est syrien pour sa coopération.

    […]

     

    BFMTV via fdesouche

  • Vladimir Poutine s’entretient avec Mahmoud Abbas… la Russie renforce ses liens avec la Palestine et s’éloigne d’Israël

    Publié par Guy de Laferrière le 04 juillet 2023

    Les deux parties ont exprimé leur volonté de poursuivre le développement progressif des relations russo-palestiniennes traditionnellement amicales. La Russie a réaffirmé sa position de principe en faveur d’une solution juste et durable au conflit palestino-israélien sur la base juridique internationale existante.

    M. Poutine a réaffirmé le “soutien indéfectible de la Russie au peuple palestinien dans la réalisation de ses aspirations à la liberté et à l’indépendance, avec l’établissement d’un État indépendant avec Jérusalem-Est comme capitale”.

    Le président russe a également félicité Mahmoud Abbas et tous les Palestiniens pour l’Aïd al-Adha. Il a été convenu de poursuivre les contacts entre les deux parties.

    Quand la Russie rappelle Israël à l’ordre

  • 3 juillet 1940 : la trahison gaullo-britannique à Mers el-Kebir

    Publié par Guy de Laferrière le 03 juillet 2023

     
    L’armistice franco-allemand du 18 juin 1940 consacre l’échec de nos armées sur terre ; notre flotte, une des plus puissantes qui n’avait pas été vaincue, est libre. Ni l’amiral Darlan, ni le général Weygand n’ont l’intention « …de livrer à l’ennemi une unité quelconque de notre flotte de guerre » et même de Gaulle le dira, le 16 juin à Churchill en ces termes  « La flotte ne sera jamais livrée, d’ailleurs, c’est le fief de Darlan ; un féodal ne livre pas son fief. Pétain lui-même n’y consentirait pas ».

    Les Anglais, de leur côté, désirent que notre flotte, riche en unités lourdes et légères, se rende dans leurs ports. Hitler ne demande pas livraison de notre flotte (le projet d’armistice ne le prévoyant d’ailleurs pas), pas plus que de nos colonies, sachant qu’il n’est pas dans nos intentions d’accepter de telles exigences.

    Mieux abrité que Gibraltar, le port de Mers el-Kébir possède une des rades les plus belles et les plus sûres de l’Algérie. Les clauses de l’armistice ont été scrupuleusement observées, et dans le délai qui avait été fixé. Sur nos bâtiments, les culasses des pièces ont été démontées ; il en a été de même dans les batteries de côtes et de D.C.A. Dans les hangars d’aviation, les mesures de démobilisation ont été prises ; on a vidé les réservoirs de leur essence, démonté les canons des chasseurs et les mitrailleuses de tous les appareils ; les munitions ont été rassemblées et mises en dépôt.

    L’agression britannique

    Le 27 juin 1940, Churchill, en dépit des assurances données par le gouvernement Français, décide, dans le plus grand secret, de mettre « hors d’état de nuire » la marine française. Cette opération aura pour nom Catapult.

    Vers 7 heures du matin, un torpilleur anglais, le Foxhound, se présente devant Mers El-Kébir. Un premier message annonce qu’il a à son bord un officier britannique, chargé d’apporter au commandant en chef de la flotte de l’Atlantique une communication de la plus haute importance. Mais une véritable force navale l’accompagne : le Hood, bâtiment de 42000 tonnes, le plus grand cuirassé du monde, armé de pièces de 380 ; le Vaillant, la Résolution, armés également de pièces de 380 ; l’Ark-Royal, le plus rapide des porte-avions anglais, tous escortés de bâtiments légers et de torpilleurs.

    Un officier d’état-major français est envoyé par l’amiral Gensoul à la rencontre de l’officier britannique, le commandant Holland. Celui-ci est porteur d’un document qu’on peut résumer ainsi :

    « La flotte de l’Atlantique est invitée à rallier la flotte britannique, ou à défaut, un port de l’Amérique, avec équipages réduits. En cas de refus de cette offre, elle devra se saborder, sinon, par ordre du gouvernement de Sa Majesté, la flotte britannique usera de la force. »

    L’amiral Gensoul réaffirma au parlementaire britannique que les craintes de voir les bâtiments français tomber aux mains des Allemands et des Italiens étaient injustifiées : « La marine française n’a pas l’habitude de manquer à sa parole ! », s’exclama-t-il.

    Plus tard, il affirmera qu’il ne pouvait accepter « un ultimatum se terminant par : « ou vous coulez vos bateaux ou je vous coule. C’est exactement : la bourse ou la vie… quelquefois, on donne sa bourse pour sauver sa vie. Dans la Marine, nous n’avons pas cette habitude-là »

    Dès 14h, heure approximative de l’expiration de l’ultimatum, les avions de l’Ark Royal volant sur l’eau déposent des mines magnétiques, à l’entrée du port et de la rade de Mers El-Kébir. L’escadre française est pratiquement bloquée.

    A 16h56, la flotte anglaise commence le feu. Abritée derrière l’éperon rocheux du fort de Mers El-Kébir, elle tire à cadence accélérée sur nos bâtiments qui cherchent à sortir de la rade. Les consignes s’exécutent partout avec ordre, à Oran comme à Kébir. Après 12 ou 15 minutes de « tir au gîte », les batteries côtières du Santon et de Canastel répondent au feu des Anglais ; le Strasbourg sort des passes. Le bilan s’établit ainsi : le croiseur Bretagne, atteint, explose, coule en sept minutes et disparaît sous l’eau : 150 hommes seulement sur 1300 fuient la mort, soit à la nage, soit en chaloupes. Le croiseur Dunkerque, n’ayant pu prendre la mer, à cause d’une avarie à son gouvernail, reçoit un obus qui tue 150 marins, plus de 100 mécaniciens et chauffeurs, 2 ingénieurs… Le bâtiment est hors de combat. Le croiseur Provence, touché, peut par ses propres moyens, aller s’échouer sur la côte de Kébir : il y a 4 morts. Le contre-torpilleur Mogador X61, incendié par l’arrière, s’échoue et compte 14 morts. Le Rigaut de Genouilli est atteint, seul le Commandant Teste, non cuirassé, amarré à la jetée en construction, est intact. Le Strasbourg fonce vers la haute mer, part vers Alger, puis Toulon.

    Et partout ces mêmes visions apocalyptiques ;  parmi les carcasses d’acier éventrées, calcinées, retentissaient les cris déchirants de centaines et de centaines de marins agonisants, mutilés, brûlés ou suffoquant au milieu d’une fumée âcre et d’un mazout noirâtre qui étouffent leurs dernières plaintes.

    Le drame n’est pas terminé pour autant. La haine ancestrale de nos « alliés » allait se concrétiser ce 6 juillet 1940. A 6h30, par trois fois en vagues successives, des avions britanniques survolent la rade, à basse altitude, déposent des mines magnétiques entre le Dunkerque et la passe, prennent le navire comme cible. Torpilles et bombes atteignent le bâtiment qui s’enfonce et échoue sur le fond, en donnant de la bande. Les trois chalutiers ou remorqueurs, coopérant à l’évacuation des morts du 3 juillet, sont coulés à leur tour. La D.C.A  côtière, les batteries du Santon, Bel Horizon et Lamoune, les mitrailleuses installées sur la côte, au stade de la Marsa et à l’usine électrique répondent. Le drame, c’est que cette attaque fera encore 205 tués et 250 blessés atteints gravement.

    Au total, la marine française déplore plus de 1927 morts ou disparus et plusieurs centaines de blessés dont la plupart gravement brûlés. Deux avions anglais sont abattus.

    Les marins anglais ont tué en une semaine plus de marins français que la Flotte allemande pendant toute la seconde guerre mondiale. Nous ne sommes pas loin des 2403 morts du drame de Pearl Harbor, qui décida de l’entrée en guerre des Etats-Unis d’Amérique, à ceci près que les Japonais étaient leurs ennemis, alors que les Anglais étaient censés être nos alliés. C’est là un crime inqualifiable… impardonnable. Une trahison, mais pas la seule de cette affaire.

    La trahison gaulliste

    Le 8 juillet, De Gaulle, parlant au micro de la BBC, déclare :

    « En vertu d’un engagement déshonorant, le gouvernement qui fut à Bordeaux avait consenti à livrer nos navires à la discrétion de l’ennemi… J’aime mieux savoir que le « Dunkerque » notre beau, notre cher, notre puissant « Dunkerque » échoué devant Mers El-Kébir, que de le voir un jour, monté par les Allemands, bombarder les ports anglais, ou bien Alger, Casablanca, Dakar. » … et pas le moindre mot de compassion envers les victimes de cette tragédie.

    Contrevérité dans la bouche du prétendu « général » français : Alger, Casablanca, Dakar, donc les clés de l’Empire, allaient être utilisées contre les alliés britanniques.

    Mers El-Kébir explique en grande partie l’attitude de bon nombre de nos gouvernants de Vichy durant le conflit comme elle explique aussi celle des autorités civiles et militaires d’Algérie en 1942-1943 et d’une population acquise au Maréchal Pétain.

    L’Afrique du Nord, malgré son traumatisme, rentrera en guerre en 1942 et sera avec son « armée d’Afrique », l’une des composantes de la victoire alliée. Elle conservera, néanmoins, son hostilité à de Gaulle, devenu président du Comité de la Libération. Il se souviendra toujours de ce sentiment d’inimitié à son égard et, dès 1958, remis au pouvoir par ceux-là mêmes qui l’avaient blâmé, leur fera supporter amèrement le poids de sa rancune… Enième de ses trahisons !

    Jose Castano

    Source : Le blog de Jose castano

  • Esclavagisme, repentance et ethno-masochisme du roi des Pays-Bas

    Publié par Guy de Laferrière le 03 juillet 2023

    La repentance du roi des Pays-Bas
    La repentance du roi des Pays-Bas

    Samedi, le roi des Pays-Bas Willem-Alexander, très impliqué dans le club Bilderberg, a fait acte de repentance lors d’une cérémonie commémorant les 150 ans de l’affranchissement des esclaves dans les anciennes colonies, en présence d’immigrés et de descendants de personnes du Suriname et des îles caribéennes d’Aruba, Bonaire et Curaçao.

    Les commémorations – appelées “Keti Koti” (“briser les chaînes” en sranantongo, l’une des langues du Suriname) – marquant la fin de l’esclavage dans les colonies néerlandaises ont lieu chaque année à Amsterdam.

    En décembre, le gouvernement des Pays-Bas avait déjà présenté des excuses officielles pour le passé esclavagiste de ce pays.

    Le discours du roi des Pays-Bas prononcé depuis l’Oosterpark d’Amsterdam a été retransmis en direct à la télévision nationale.

    Depuis l’émergence du mouvement Black Lives Matter financé par George Soros, les Pays-Bas se sont lancés dans une repentance publique sur son passé colonial qui en a fait l’un des pays les plus riches du monde.

    Selon un rapport commandé par le ministère néerlandais de l’Intérieur et publié en juin, entre 1675 et 1770, les colonies ont rapporté à la famille royale l’équivalent de 545 millions d’euros, à une époque où l’esclavage était très répandu.

    Mais certains milieux immigrés, peu concernés par le sujet, estiment que leur couleur de peau devrait maintenant leur donner droit à des “indemnités”…

    Quant à certains autres esclavagistes, personne n’en parle.

     

     

    Source : medias-presse.info

  • Une nouvelle Loi de programmation militaire permettant à l’Etat de réquisitionner tout ce qu’il veut

    Publié par Guy de Laferrière le 03 juillet 2023

    medias-presse.info

    Projet de loi de programmation militaire
    Projet de loi de programmation militaire

    Le texte de l’article 23 du projet de Loi de Programmation Militaire qui doit bientôt être votée permettra au gouvernement, dans des conditions extensibles à la demande dont la rédaction est particulièrement floue, de réquisitionner tout ce qu’il veut tant en ce qui concerne les personnes que les biens.

    Article 23 PLPM 2023 :

    En cas de menace pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, la protection de la population, l’intégrité du territoire, la permanence des institutions de la République ou (cas nouveau) de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’Etat en matière de défense, qu’elle soit actuelle ou si elle n’est pas immédiate, seulement prévisible, l’article L. 2212-1 nouveau du code de la défense permettra (s’il est définitivement adopté) au Président de la République, via un décret en conseil des ministres, d’ordonner la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour parer à cette menace ou d’habiliter l’autorité administrative ou militaire à procéder à ces mesures.

    Le fait de refuser de déférer à la demande de recensement des personnes, biens et services ou à la convocation à des essais ou à des exercices ou encore de refuser le blocage des biens sera pénalement sanctionné par un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende, suite à l’adoption de l’amendement du Gouvernement par le Sénat. Le projet de loi est toujours en cours de discussion.

    Députés et sénateurs se réuniront le 6 juillet 2023 en commission mixte paritaire, pour tenter de s’accorder sur une version finale du projet de loi. Le gouvernement espère promulguer le texte autour du 14 juillet.

    Source : Projet de loi relatif à la programmation militaire pour les années 2024 à 2030 et portant diverses dispositions intéressant la défense