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Le Parti de la France - Page 281

  • Le chef de Daech ne serait ni musulman ni arabe : Simon Elliot, alias Al-Baghdadi, agent du Mossad de père et mère juifs

    Publié par Guy de Laferrière le 24 mai 2023

    Baghdadi est le khalife à la tête des milices qui se sont nommées elles-mêmes EIIL (État Islamique en Irak et au Levant) rebaptisées depuis EI (État Islamique). Outre les atrocités commises par ces véritables armées du diable, une nouvelle information vient apporter plus de clarté à la situation, surtout concernant son chef, Abou Bakr Al Baghdadi, selon un texte publié par le Groupe d’information libanais El Manar.

    Les réseaux sociaux font tourner une information importante d’origine iranienne qui a été en mesure de révéler l’identité réelle du chef de l’État islamique (Daech).

    Le vrai nom de Abou Bakr Al-Baghdadi est « Simon (Shimon) Elliott », de père et mère juifs. Le prétendu « Eliott » a été recruté par le Mossad israélien pour une année au cours de laquelle il a été formé à l’espionnage et sur le terrain pour conduire une stratégie destructrice des sociétés arabes et islamiques. Son faux nom : Ibrahim ibn Awad ibn Ibrahim Al Badri Arradoui Al Hoseini.

    Ces informations ont été attribuées à Edward Snowden et publiées par les journaux et autres sites Web : le chef de l’ « État islamique », Abou Bakr Al-Baghdadi, a coopéré avec les services secrets américains, britanniques et israéliens afin de créer une organisation terroriste capable d’attirer des extrémistes du monde entier en un seul endroit. (Source : Radio-ajyal.com) et une autre source, le site Egy-press, corrobore ces propos.

    Le plan est de rentrer dans le cœur militaire et civil des pays qui sont déclarés comme une menace pour Israël afin de les détruire pour faciliter, par la suite, la prise de pouvoir de l’État sioniste sur toute la zone du Moyen-Orient afin d’établir le Grand Israël. Une source des médias iraniens a été en mesure de détecter et de prouver l’identité du chef de l’État islamique (Daesh).

    Le soi-disant calife « Eliot » a été entrainé par le Mossad israélien durant une année au cours de laquelle il avait combattu, suivi des nombreux exercices militaires et passé de nombreux de tests même sur le terrain pour pouvoir conduire une action dévastatrice sur la vie et la pensée arabe et islamique.

    Les fuites de Snowden auraient confirmé son rôle d’agent secret publiées par de nombreux journaux et sites Web. Le chef de Daech Abou Bakr Al-Baghdadi, aurait été en coopération avec la CIA et les services secrets britanniques dans le but de créer une organisation terroriste capable d’attirer des extrémistes du monde entier pour les coordonner en un seul endroit.

    Après avoir dévasté les alentours d’Israël, cela va maintenant permettre aux Américains et aux Israéliens de les montrer du doigt comme terroristes sanguinaires à abattre au plus vite pour défendre l’État sioniste, alors qu’ils les avait laissé proliférer et agir en toute impunité depuis plus de deux mois déjà. Un projet qu’ils avaient préparé, sans doute, depuis le fameux Printemps arabe, avec la déstabilisation de l’Irak, du Soudan, de la Tunisie, de l’Égypte, de la Libye, de la Syrie et du Mali (entre autres).

    Après avoir réuni un grand nombre des fanatiques du monde en un seul endroit, une véritable armée du diable s’est formée, composée de sanguinaires égorgeurs sans aucune pitié pour leurs victimes qu’ils assassinent à tour de bras et de sang-froid, n’hésitant pas à filmer leurs atrocités et à les relayer sur les réseaux sociaux. Pour en arriver à ce niveau d’inhumanité, il faut être complètement drogué et embrigadé, conditionné au sang et à l’horreur.

    source : L’Expert via lesmoutonsrebelles

  • Réunion du club Bilderberg à Lisbonne : dix représentants français présents, dont Gabriel Attal et Édouard Philippe

    Publié par Guy de Laferrière le 24 mai 2023

    Du 18 au 21 mai 2023, les réunions du club paramaçonnique et mondialiste Bilderberg se sont tenues à Lisbonne. Parmi les 129 participants, dix représentants français ont pris part à ce rendez-vous annuel privé.

    Le groupe Bilderberg, aussi appelé conférence de Bilderberg ou club Bilderberg, est un rassemblement annuel et informel d’environ cent trente personnes, essentiellement des Américains et des Européens, composé en majorité de personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias.


    Voici une liste des dix représentants français qui ont participé aux réunions du club Bilderberg à Lisbonne :

    • Gabriel Attal : ministre délégué chargé des comptes publics, homme politique du parti Renaissance.
    • Patricia Barbizet : présidente de Témaris & associés, membre du comité directeur du club Bilderberg.
    • Valérie Baudson : directrice d’Amundi, financière.
    • Clément Beaune : ministre des Transports, haut fonctionnaire et homme politique du parti Renaissance.
    • Thomas Buberl : directeur d’AXA, banquier et assureur germano-franco-suisse.
    • Henri de Castries : ex-PDG d’AXA, président du comité directeur du club Bilderberg.
    • Bernard Émié : directeur de la DGSE, haut fonctionnaire.
    • Antoine Gosset-Grainville : inspecteur des finances issu de l’ÉNA, président du conseil d’administration d’AXA et du Fonds stratégique d’investissement.
    • Édouard Philippe : maire du Havre, fondateur et président du parti politique Horizons, ancien Premier ministre de la république française.
    • Patrick Pouyanné : PDG de TotalEnergie.

    Ces dix représentants français ont pris part aux discussions sur des sujets tels que l’intelligence artificielle, le système bancaire, la Chine, la transition énergétique, l’Europe, les défis fiscaux, l’Inde, la politique industrielle et commerciale, l’OTAN, la Russie, les menaces transnationales, l’Ukraine et l’hégémonie américaine.

    Le Bilderberg est un club paramaçonnique et mondialiste dont l’existence a longtemps été niée par les médias, qui accusaient de complotisme ceux qui dénonçaient ses réunions secrètes.

     

    Source

  • Bretagne : les coiffeurs en guerre contre les barber shops, ces salons de coiffure low-cost qui prolifèrent depuis quelques années et employent fréquemment des travailleurs clandestins

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mai 2023

    Des barber shops aux prix cassés, ouverts jusque tard la nuit et où les visages des employés changent régulièrement : c’est la cible de la convention signée lundi 22 mai 2023 entre la Direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (Dreets) et des représentants de l’Union nationale des entreprises de coiffure (Unec) à Cesson-Sévigné.

    Les griefs reprochés à ces salons low-cost sont nombreux, à commencer par le statut des gérants et des employés. Alors qu’un Brevet professionnel (BP) est exigé par la loi pour pouvoir s’installer, il y a une prolifération, depuis une quinzaine d’années, des coiffeurs/barbiers qui s’installent sans diplôme, avec des prix de plus en plus bas », indique Jean-Yves Scotto di Cesare et Fabrice Jégo, membres de l’Unec.

    Ouest France

    « La loi prévoit pourtant qu’aux heures d’ouverture, il faut une personne titulaire du brevet professionnel », ajoute Fabrice Jego, coiffeur à Plouay (56) et membre de l’Unec. Nous manipulons des produits dangereux, des rasoirs, des coupe-coupe… On peut blesser des clients. » (…) il y a quelques mois, la police aux frontières a mis le doigt sur un important réseau de travail dissimulé. “Les personnes sans papiers étaient payées 600 euros par mois en liquide”

    Le Télégramme

    Ce Ploubezrien n’est pas près d’oublier son rendez-vous chez le coiffeur, à Lannion (22), ce jeudi. « Mon salon habituel était fermé, j’ai décidé d’en essayer un nouveau, au centre-ville ». Confiant, le client est pris en charge par un jeune coiffeur « qui ne parlait pas un mot de français », précise-t-il. Shampoing, coupe, rafraîchissement, tout se passe normalement jusqu’au moment où le professionnel lui passe une grande quantité de gel dans les cheveux. « Il m’a dit quelque chose, m’a aspergé avec un produit et a sorti son briquet. Puis il a mis le feu ».

    Le Télégramme

    Jean-Baptiste a porté plainte en sortant de l’hôpital. Certificat médical à l’appui avec 7 jours d’interruption temporaire de travail. L’enquête des policiers de Lannion a permis de mettre en lumière des manquements graves. « Le patron du salon était mécanicien, mais en aucun cas titulaire d’un brevet de coiffure », pointait en 2020 le commandant du commissariat de Lannion.

    Le Trégor

  • Paris : le mendiant sort « une grenade » pour contraindre les clients d’un restaurant à lui faire l’aumône

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mai 2023

    « Si on est obligé d’en arriver là pour me donner de l’argent… » C’est ce qu’aurait dit un mendiant ce lundi soir dans un restaurant de Paris (XIXe) après avoir dégoupillé une grenade. L’arme était factice mais les clients n’en savaient rien. Le démuni a été interpellé moins d’une heure plus tard par un équipage du commissariat du XIXe.

    Le démuni se présente vers 23 heures dans ce restaurant. Il fait le tour des clients et leur demande des sous. « Personne ne le calculait, nous raconte ce mardi après-midi un témoin de la scène. Un des clients est venu le voir pour lui demander gentiment de partir ». L’homme sort une grenade, la manipule et la dégoupille avant de la remettre en place. Il soulève ensuite son tee-shirt en laissant apparaître la crosse d’une arme à feu au niveau de son pantalon. 

    Le Parisien via fdesouche

  • Bordeaux : armé d’une lame de 10 cm, un vendeur à la sauvette menace les clients d’un café ; 4 mois de prison ferme et une interdiction du territoire (ITF) de 3 ans

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mai 2023

    L’homme n’a pas supporté que des clients attablés en terrasse d’un café du centre-ville de Bordeaux refusent de lui acheter une rallonge électrique. Il a brandi une lame de 10 centimètres avant de prendre la fuite. Il était jugé en comparution immédiate, ce 22 mai

    (…) « Ce jour-là, je n’étais pas dans mon état normal, assure le prévenu, qui vit à la rue. J’avais pris du diazépam [un anxiolytique, NDLR] et de la coke. Mais je n’ai pas sorti mon couteau et j’ai été insulté. »

    Le tribunal n’a pas cru sa version. Il a été condamné à quatre mois de prison ferme, une interdiction du territoire de trois ans et a été maintenu en détention. Douze mois ferme avaient été requis.

    Sud Ouest via fdesouche