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agressions - Page 4

  • Selon Macron, la hausse des agression prend sa source… dans les réseaux sociaux 

    Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2021

    Selon Macron, la hausse des agression prend sa source… dans les réseaux sociaux 

    Bernard Antony commente les deux longues pages d’entretien donnés au Figaro par Emmanuel Macron :

    L’homme est fidèle à lui-même dans l’art d’asséner des évidences, des lieux communs, des truismes. Il fait en fait penser à Chirac qui était un champion dans le froncement des sourcils, l’expression de l’indignation, le « comment est-ce possible ? » exclamatoire lorsque on lui demandait de s’expliquer sur un état de fait déplorable ou scandaleux ; tenant pourtant d’évidence à l’incurie gouvernementale ou à des décisions aberrantes.

    Ainsi, questionné sur l’augmentation, depuis quatre ans, de la violence, bref sur ce que Mr Darmanin a qualifié de « menace d’ensauvagement », répond t-il que ce mot a d’abord été utilisé par l’extrême droite (sic !). Le qualificatif « d’extrême droite » n’étant sans doute pas laudatif dans sa bouche, cela tient de la réprimande.

    Darmanin n’a pas dû apprécier !

    Macron précise que « les agressions ont doublé en quinze ans », élégante manière de rappeler la responsabilité de ses prédécesseurs. Mais il formule le constat que « les policiers, gendarmes, sapeurs-pompiers, élus sont les principales victimes de la progression de la violence dans notre société. »

    Décidément, Mr Macron est un grand expert en observation d’évidences !

    Et il réitère son auto-exonération de responsabilités en répondant à la question sur « ce mal qui ronge le pays » qu’il n’est pas propre à la France. Ce qui est faux ! car il y a beaucoup de nations où en Europe et de par le monde qui ne sont pas gagnées par l’ensauvagement : par exemple la Pologne, la Hongrie, le Japon, Taïwan…

    Et d’asséner que « ce mal s’est sans doute accéléré sous l’effet d’une désinhibition provoquée par les réseaux sociaux et la culture de l’anonymat ».

    Ceux qui observent quelque corrélation entre l’augmentation de l’insécurité et l’immigration sont sans doute des esprits chagrins influencés par « l’extrême-droite ».

    Mr Macron, lui, qui ne veut pas parler d’ensauvagement, ne veut pas davantage évoquer l’immigration, et encore moins, eu égard à ses chiffres énormes, ce que nous avons qualifié de « tsunamigration », dans les causes de l’augmentation des violences.

    Mais, on doit tout de même l’admirer lorsqu’il émet la très pertinente, la très originale, la très émouvante considération selon laquelle « tous ont le droit de prétendre à une vie calme, où qu’ils habitent » et qu’il confie fièrement : « Je me bats pour le droit à une vie paisible ».

    Mais la vérité, Monsieur Macron, c’est que vous ne battez pas pour  que les Français, aient une vie paisible ! Car si tel était votre souci, vous prendriez les mesures qui s’imposent pour en finir avec la tsunamigration qui n’est pas la seule cause de l’insécurité galopante mais qui en est, et vous le savez bien, une source essentielle.

    Venons-en à la question qui lui est posée sur les condamnations de cinq d’entre eux, dérisoires pour la gravité des faits, et les relaxes pour les huit autres, des auteurs de l’abominable attentat de Viry-Châtillon.

    Condescendant, Micro Néron exprime qu’il a eu une pensée pour les victimes et leurs familles… Cela va sans doute aller droit au cœur de la gardienne de la paix sortie atrocement brûlée du véhicule incendié et lapidée par des salopards criminels de la racaille des assaillants.

    Certes, séparation des pouvoirs oblige, Mr Macron ne doit pas commenter une décision de justice.

    Mais sa fonction est de veiller à ce que la justice en France ne soit pas trop souvent rendue par des « juges » idéologues. Sa fonction lui permet de décider d’en finir avec l’Ecole Nationale de la Magistrature, et de la remplacer par un autre mode de recrutement et de formation des juges.

    L’islam et L’islamisme

    Il y avait 5000 salafistes et frères musulmans en France il y a vingt ans. Le Figaro interroge Macron sur le fait qu’ils sont aujourd’hui plusieurs dizaines de milliers. Et les années Macron sont des années de grosse augmentation.

    Naturellement, il répond par l’ineptie ritournelle qu’il ne faut pas confondre islam et islamisme.

    Comme si l’islamisme ne se propageait pas sur le terreau de l’islam ? Comme si l’islamisme était autre chose qu’un islam au pied de la lettre ? Comme si l’islam « mains rouges » ne s’engouffrait pas massivement derrière l’islam « patte blanche » ? Comme si l’islam salafiste et les frères musulmans ne constituaient pas une vaste proportion de l’islam réel ? Mr Macron ne se lasse pas du déni de réalité !

    Ni du mensonge, car il ment lorsqu’on l’interroge sur la consigne donnée par des préfets d’appliquer le couvre-feu avec une grande souplesse pour les musulmans en ce mois de ramadan. Il ose répondre que « le couvre-feu s’applique sur l’ensemble du territoire et pour tout le monde, sans distinction ».

    Oui Micro-Néron est vraiment un gros menteur : on nous a transmis la directive de la préfète du Tarn autorisant les musulmans à circuler jusqu’à 22 heures et son ordre en conséquence aux forces de police. Et ce pour toute la durée du ramadan. Il n’y a pas eu semblable disposition pour les offices catholiques de la seule Veillée Pascale !

    On l’interroge enfin sur l’Algérie. Et sur ce douloureux sujet une fois encore il se moque des Français.

    Il invoque les « mémoires fracturées ». Mais qui donc plus que lui, parlant de la colonisation, comme d’un « crime contre l’humanité » a-t-il autant contribué à piétiner la mémoire française ?

    Sous son expression de « mémoire fracturée » Macron met simultanément « celle des pieds-noirs, des harkis, celle des appelés du contingent, celle des militaires français, celle des Algériens venus ensuite en France, celle des enfants de cette migration, celle des binationaux. » Et il ajoute l’énormité que voici : « Toutes ces mémoires cohabitent sur notre sol et vivent dans un même pays dont elles partagent le projet national. Il faut la réconciliation ».

    Outre le fait de son expression gauche selon laquelle des mémoires cohabitent, observons qu’il parle de mémoires de français (pieds-noirs, harkis, soldats français) et de mémoires d’Algériens. Et il ose proférer l’énormité qu’ « elles partagent le projet national ». Mais quel projet national ? Le Français ? l’Algérien ? Ou en même temps l’un et l’autre. Vraiment, de quoi cause t-il ? Quel est ce salmigondis ?

    Et il se félicite de ce que sa volonté de réconcilier les mémoires soit très largement partagée, notamment par le président Tebboune; ajoutant « Il est vrai qu’il doit compter avec quelques résistances ». Ses questionneurs de supputer : « comme ce ministre, qui a déclaré que la France était l’ennemi traditionnel et éternel des Algériens ?» (Hachemi Djaâboub, ministre du travail, le 8 avril)

    Mais que font alors en France ces Algériens qui pensent cela, sinon l’occuper, la soumettre ?

    Et que devrait faire un gouvernement français de pareils ennemis, sinon les expulser ? Mais ce n’est pas sur Mr Macron qu’il faut compter pour commencer l’œuvre de libération de notre France.

     

    Source : lesalonbeige

  • Montpellier : cambriolages et agressions, les raids nocturnes de mineurs non accompagnés

    Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2020

    Par  le 30/05/2020

    […]

    Toutes les nuits, des MNA et des anciens MNA, de jeunes majeurs qui sont SDF, effectuent des raids : ils donnent de violents coups de pied dans des portes de magasins, au hasard. Quand elles cèdent, ils volent tout ce qui peut se revendre, ainsi que du numéraire. Ils escaladent des immeubles pour emporter des biens, dont des vélos.

    Ils opèrent aussi le jour, comme jeudi : ils ont fait une razzia dans une boutique où ils sont repartis avec 400€ d’habits. Sur le trajet, ils ont agressé des clientes qui faisaient la queue chez un glacier place Jean-Jaurès, pour leur arracher leur portable et une chaîne en or autour du cou.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Metropolitain via fdesouche

  • Un collectif de féministes qui dénonce les agressions commises par les étrangers violemment expulsé de la manif «Nous toutes»

    Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2019

    C’est assez troublant. Le nouveau collectif féministe Némésis a été expulsé par d’autres manifestants présents visiblement mécontents du message que ces dernières voulaient faire passer. Les vrais problèmes n’ont pas encore le droit d'être cités dans le combat féministe, mais gageons que ce collectif fera enfin et vraiment bouger les choses pour garantir le respect et le droit des femmes.

    Nemesis Nemesis@NemesisNemesi18
     

    Vous pensiez que la manif était le dernier endroit où des femmes se feraient agresser? C'est hélas ce qui se passe lorsque vous défendez un féminisme non-conforme anti-immigration. En moins de 15min nos militantes ont été violemment expulsées par des manifestants.

    Voir l'image sur Twitter
    Nemesis Nemesis@NemesisNemesi18
     

    Une courte vidéo de notre passage à la manif

    Vidéo intégrée

    Adoxa.info via lesobservateurs

    Nos remerciements à Victoria Valentini

  • 2813 agressions de sapeurs-pompiers en 2017 contre 899 en 2008

    Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2019

    Auteur : Michel Janva

    2813 agressions de sapeurs-pompiers en 2017 contre 899 en 2008

    L’Express s’est penché sur l’explosion de ces violences à l’encontre des soldats du feu. Extrait :

    Evidemment, il s’agit encore des quartiers de la “diversité”. L’immigration, cette chance pour la France…

     

    Source : lesalonbeige

  • Prisons françaises : les islamistes font la loi !

    Publié par Guy Jovelin le 08 mars 2019

    Rédigé par notre équipe le 07 mars 2019.

    Vent de panique, mouvement de stupeur, on ne sait pas trop comment qualifier le énième rappel à la réalité que vient de se prendre le Gouvernement. Il y aurait des islamistes dans les prisons françaises et ces derniers auraient des envies de meurtres sur le personnel pénitentiaire ! La double agression à la prison d’Alençon – Condé-sur-Sarthe (Orne), ce mardi 5 mars, a finalement débouché sur la mort d’une islamiste, mais son mari d’agresseur va continuer de couler des jours heureux en prison au milieu de codétenus prêts à se radicaliser et de surveillants à poignarder. Bienvenue dans les prisons françaises !  

    La rédaction de 24 heures actu serait presque stupéfaite des événements qui se sont déroulés à la prison d’Alençon – Condé-sur-Sarthe. Un détenu radicalisé aurait été découvert au milieu de ses codétenus. Un détenu « marié religieusement » qui aurait profité de la visite de sa compagne pour se procurer des armes contendantes et les planter dans le corps de deux de ses gardiens. Une scène qui dérange par une violence qu’on aurait pu croire réservée aux seules rues de France où la plupart des islamistes courent toujours, un projet d’attentat en tête.

    La prison, un lieu difficile où (sur)vivre pour le personnel pénitentiaire

    Il y a dans nos rues énormément d’islamistes, de radicalisés, d’admirateurs de l’Etat islamique, appelez-les comme vous voudrez. Il y en a aussi quelques uns en prison. La faute à un juge qui a un peu trop suivi la loi à la lettre. Celui qui a condamné Michaël Chiolo à 30 ans de réclusion criminelle pour avoir torturé et massacré un homme de 89 ans ne se doutait peut-être pas que l’assassin n’en avait pas terminé avec sa folie meurtrière. Ce que tous les acteurs du procès savaient pourtant est que ce Chiolo était à l’époque très religieux. Un chapelet à la main, il tournait son regard vers La Mecque… A croire qu’il n’a pas reçu la foi la plus tranquille car malgré sa religiosité, il a arraché la vie à un quasi-nonagénaire dans des conditions monstrueuses.

    Arrivé en prison, il s’est fait des amis dont un certain Cherif Chekatt, le futur auteur de l’attentat meurtrier de Strasbourg (novembre 2018). Deux compères islamistes qui ont continué d’échanger une fois Chekatt libéré et donc libre de tuer dans les rues de France. Un destin qu’aurait pu avoir Chiolo, mais la volonté de tuer au nom d’Allah était trop forte alors sa compagne lui a ramené du matériel pour qu’il puisse faire périr deux gardiens de prison. Ils ne seront « que » blessés et auront le droit à un traumatisme psychologique à vie. Un islamiste prosélyte (redondance) libre de ses mouvements au milieu de tous les autres détenus, à qui ont donne un droit de visite maritale, c’est beaucoup de libertés pour un homme assoiffé de sang !

    Et là notre chère ministre de la Justice débarque et se rend compte qu’il y a peut-être des « failles » et qu’une « inspection » doit faire la lumière sur toute cette affaire. Belloubet fait semblant de ne pas voir un passé pas si lointain. L’année dernière, un autre détenu islamiste avait tenté de tuer trois gardiens. Malgré les mouvements de colère des personnels de la pénitentiaire, rien n’a changé et rien ne changera non plus cette fois. Les surveillants sont condamnés à jouer le rôle de cibles pour des islamistes qui ne peuvent pas attendre leur prochaine sortie pour s’adonner à leurs envies de meurtre. Pas étonnant que les candidats à cette fonction ne se bousculent pas. Etre payé moins de 1 500 euros par mois pour éviter les coûts de couteau, autant ne pas traverser la rue comme l’exige l’autre.

     

    Source : 24heuresactu