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agressions - Page 2

  • Nantes (44) : Après les agressions et viols commis par des Soudanais, la communauté soudanaise et la municipalité organisent demain un festival pour « éviter les amalgames », danses et cuisine au programme

    Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2022

     

    Après l’agression du week-end dernier sur l’esplanade des Machines de l’Ile, la communauté soudanaise veut éviter les amalgames et organise ce samedi le 1er festival de la culture soudanaise. Ca se passe au centre socio-culturel du Sillon de Bretagne.

    Ouest France via fdesouche

  • Bordeaux : à cause de l’insécurité, ces habitants voient leur quartier submergé par les ordures… Les éboueurs ne passent plus après avoir été la cible de menaces et d’agressions

    Publié par Guy Jovelin le 01 août 2022

    Depuis juin 2021, les éboueurs ne passent plus dans plusieurs rues du quartier Bacalan à Bordeaux après avoir été menacés par arme à feu par un riverain. Une situation intenable…

    C’est un problème qui ne date pas d’hier. Depuis juin 2021, des habitants du quartier Bacalan à Bordeaux (Gironde) se plaignent de l’insalubrité de leur zone de résidence. Les éboueurs n’effectuent plus de collecte en porte-à-porte et les alentours des bacs placés aux entrées du quartier se transforment vite en décharges à ciel ouvert.

    Historique des faits

    En cause, une agression survenue l’été dernier dans la Cité Peyronneaud, une des quatre impasses qui longent l’avenue de Labarde. Les éboueurs n’ont pas pu opérer leur tournée habituelle en raison d’un stationnement gênant.

    (…) « Ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase », explique Vincent Maurin, maire adjoint du quartier Bordeaux Maritime. Les éboueurs ont fait valoir leur droit de retrait en précisant qu’ils ne reviendraient pas dans ces rues tant que les problèmes d’incivilité ne seraient pas réglés, et que des infrastructures permettant de faire demi-tour en bout d’impasse ne seront pas installées.

    Il y a un réel problème de fond, comme dans beaucoup de rues de Bordeaux. Il faut penser à la sécurité des riverains, en n’effectuant plus de marche arrière, mais aussi à celle des agents. Certains veulent aller dans ces quartiers, parce qu’ils savent très bien que les ordures doivent être ramassées, mais on ne peut pas mettre de voiture de police derrière chaque camion.

    Sylvain Verney Secrétaire général Force Ouvrière de Bordeaux Métropole

    Des riverains désabusés

    Alain Grandury habite dans le quartier depuis vingt ans. Sa maison, située au fond de la Cité Peyronneaud, est la plus proche de l’amoncellement d’ordures. Il raconte : « Mes deux chiens me ramènent 5 à 6 rats par jour. » À quelques années de la retraite, il est consterné face à la situation qui ne fait « que se détériorer » depuis quelques années. « Dans trois ans, je quitte le pays et je vends ma maison. Elle est estimée à 480 000 €, mais avec la dégradation du quartier, je ne pourrais jamais la vendre à ce prix-là. »

    (…) Actu.fr via fdesouche

  • Grenoble : Agressions, vols, menaces… Le ras-le-bol des épiciers de Championnet

    Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2022

    Chaque soir ou presque, à l’heure où la piscine Jean-Bron ferme ses portes, la supérette du quartier Championnet est prise d’assaut par des groupes de jeunes qui volent et n’hésitent pas à se montrer menaçants et violents envers les gérants.

    Carla et Michel Dupont ont décidé de perdre 300 euros de chiffres d’affaires chaque jour. Parce que le couple qui tient le Carrefour Express de la place Championnet, à Grenoble, a décidé de fermer à 18 h 30 au lieu de 21 heures, tous les jours, jusqu’à la fin de l’été.

    « Ce sont pourtant les heures où nous faisons le gros de notre chiffre d’affaires quotidien. C’est le moment où les gens rentrent du travail et s’arrêtent faire quelques courses pour le soir », détaille la gérante. Une décision prise à la fin de la semaine dernière après un énième vol doublé […]

    (…) Le Dauphiné via fdesouche

  • Avignon (84) : il « offre » son appartement à des sans-abri qui « bredouillent un français érodé », les autres copropriétaires à bout : agressions, menaces, tentatives d’effractions, bagarres

    Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2022

    Photo : Deux des occupant de l’appartement

    Depuis près d’un an, des SDF ont investi un immeuble rénové, en plein cœur d’Avignon… avec la bénédiction d’un des copropriétaires. Transformant la charmante bâtisse en lieu de villégiature pour quiconque est en mesure de fournir deux cigarettes ou une canette de bière.

    […]

     

    Un geste louable, à première vue, mais aux conséquences peu appréciées par les locataires et propriétaires des autres appartements de cet immeuble dominant la place des Carmes. Agressions, menaces, tentatives d’effractions, bagarres, tapages nocturnes, squat et détériorations des communs… la liste des préjudices qu’ils dressent est déjà longue. Et le résultat sans appel : en l’espace de 10 mois, tous les locataires, présents à cette période, ont fui l’immeuble. « La police est intervenue une bonne vingtaine de fois. Nous en sommes à trois plaintes et quatre mains courantes », soupire Jean-Yves, retraité et propriétaire d’un logement sur le même palier.

    Plusieurs des copropriétaires rassemblés devant l’immeuble. Alors que deux des occupants de l’appartement « loué en sous-main entre sans-abri » les regardent depuis le troisième étage.  Photo Le DL /Christophe AGOSTINIS
    Unis, des copropriétaires envisagent des poursuites en justice. Photo Le DL/Christophe AGOSTINIS

    Pour les questions… il faudra cependant attendre. Noureddine, le « teneur des clefs » comme le surnomment plusieurs riverains du quartier, entendez par là le locataire “officiel”, ne semble d’abord pas enclin à parler. Tout comme un autre homme, qui sans un mot, récupère l’une des portes de l’appartement pour l’appuyer sur celle de l’entrée. En guise de serrure…

    […]

     

    Deux des occupants, qui à l’instar du troisième se disent « sans abri et de passage depuis moins d’un mois », bredouillent un français érodé. Noureddine assure également être en possession d’un bail signé, mais confirme ne pas payer le moindre loyer. « Je pense que le propriétaire est fou», répète en boucle, hilare, celui qui entend désormais rester dans l’appartement. « Pour nous, c’est un miracle, c’est comme gagner au loto. » 

    […]

     

    Le Dauphiné via fdesouche

  • Agressions, menaces, dégradations : un habitant de Tours-Nord fait vivre un enfer à ses voisins. “Il menace de nous égorger”

    Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2022

    Depuis quatre ans, un jeune adulte placé sous curatelle mène la vie dure à ses voisins, dans un immeuble de Tours-Nord. L’agression d’un résident a été la goutte de trop pour les habitants, qui ont contacté France Bleu Touraine, pour parler de leur quotidien.

    “En fait, il dicte sa loi et nous, on longe les murs quand on le croise,” c’est ainsi qu’Amandine résume son quotidien et celui de ses voisins. Depuis quatre ans, un habitant d’une résidence de Tours-Nord mène la vie dure à tout l’immeuble. “C’est par phase en fait, il est sous traitement parce qu’il souffre de problèmes psychologiques et quand il ne prend pas ses médicaments, il est ingérable. On peut ne pas l’entendre pendant plusieurs jours et quand il a des excès de colères, là, c’est invivable.”

    (…)

    “Le mois dernier, il a agressé un de mes voisins, explique Catherine, qui habite sur le même palier que lui. Il lui a mis un coup de boule, sans aucune raison. Il nous menace de mort régulièrement aussi, du style, ‘je vais te crever’, ‘je vais t’égorger’, ‘je vais te tuer’. Lundi dernier, j’étais sur la balcon avec mon ami et il hurlait au téléphone. On lui juste demander de parler moins fort, et là, il nous balance une bouteille en verre, qui explose à quelques centimètres de ma tête. Ce qui fait qu’à un moment donné, on ne se sent plus en sécurité quoi. On appelle la police tous les quatre matins mais elle aussi en a marre de se déplacer pour lui et elle ne vient presque plus maintenant. Moi, j’ai peur qu’à force d’appeler le 17, il se venge et que ça finisse très mal.”

    (…)

    Le jeune homme, que nous appellerons Rémi, est placé sous curatelle, une mesure judiciaire censée protéger la personne majeure et son patrimoine. Il est suivi par l’Udaf (Union départementale des associations familiales), qui l’accompagne dans les évènements importants de sa vie, comme un emprunt, une location ou un achat immobilier. Amandine a essayé de les contacter pour trouver une solution. “Elle nous répond que c’est lui la victime, qu’il a des problèmes. Je l’entends. Mais qu’ils viennent vivre dans l’immeuble et ils verront bien si nous ne sommes pas victimes, nous aussi. Le dernier contact avec l’Udaf remonte à l’été 2021, l’association nous a écrit pour nous dire qu’elle tentait de lui trouver un autre logement. Depuis, plus de nouvelles.”

    (…) France Bleu via fdesouche