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agressions

  • Près de 1000 agressions par jour en moyenne

    Publié par Guy de Laferrière le 09 janvier 2024

    Près de 1000 agressions par jour en moyenne539137-230x180.jpg

    La rance est toujours orange mécanique… Le service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI), rattaché au ministre de l’Intérieur, esquisse les contours de la violence dans sa « note de conjecture » de janvier 2024. Quasiment tous les indicateurs des violences sont en hausse :

    • les coups et blessures volontaires atteignent le record de 362 000 faits en 2023.
    • Près de 1000 agressions par jour en moyenne.

    Il s’agit uniquement des actes signalés aux autorités de police et transmis à la justice, sachant que toutes les victimes ne portent pas plainte.

    Depuis 2017, la progression des coups et blessures volontaires a atteint 63 %, de 222 000 par an, contre 362 000 aujourd’hui.

    Les violences sexuelles grimpent de 7 % pour dépasser les 87 000 faits signalés, soit une moyenne de 240 faits par jour.

    • Les vols avec armes (armes à feu, armes blanches ou par destination) stagnent autour de 6 500 affaires par an.
    • Les vols violents sans arme diminuent de 9 %, avec 52 000 faits recensés, soit un peu plus de 140 faits par jour.
    • Les vols sans violence poursuivent leur baisse tendancielle, avec environ 632 000 infractions recensées en 2023, soit une baisse de 3 %.
    • On compte un millier d’homicides par an, en incluant les coups et blessures volontaires suivis de mort. Selon le criminologue Alain Bauer, les homicides sont passés de 803 en 2014 (avant les attentats de 2015 et 2016) à 1 033 aujourd’hui, soit une hausse de 28 %.

    Source : lesalonbeige

  • “Il y avait des vols et des agressions” : pourquoi le magasin Action du centre commercial de l’Hippodrome, à Toulouse, ferme définitivement

    Publié par Guy de Laferrière le 01 août 2023

    Depuis plusieurs semaines, le magasin de hard-discount du centre commercial de l’Hippodrome, à Toulouse, était fermé “exceptionnellement “. Finalement, c’est une fermeture définitive. 

    (…) Ce lundi, les lumières du magasin étaient allumées. Le rideau de fer était tiré. Une affiche précise que le commerce est fermé, sans donner d’explications. Les rares clients de la galerie marchande à ciel ouvert, une fois arrivés devant, pestent. « Ce n’est pas normal. Action doit communiquer. On s’est déplacés pour rien. Le minimum serait d’informer sa clientèle sur Internet », s’agace une Toulousaine.

    Interrogés sur la fermeture définitive d’Action, des agents de sécurité de l’ensemble commercial assurent que les semaines qui ont précédé la fermeture exceptionnelle, le personnel du magasin a été victime d’agressions et que plusieurs vols ont été commis. Selon eux, ces raisons ont poussé le géant du hard-discount à plier boutique à Bagatelle.

    Ces dernières années, Action portait seul le centre commercial. Les autres locomotives ayant toutes déserté une à une (Décatlon, Casion, Optical Center, Chaussea…, NDLR).

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • Insultes, menaces, agressions, tirs de mortiers… : à La Salvetat-Saint-Gilles (31), près de Toulouse, des riverains excédés subissent la loi de jeunes mineurs

    Publié par Guy de Laferrière le 20 novembre 2022

    À La Salvetat-Saint-Gilles, dans l’Ouest toulousain, des riverains excédés subissent la loi de jeunes mineurs en perte de repères.

    Insultes, menaces, voitures vandalisées, agressions physiques…, la liste noire des nuisances et des délits s’alourdit aux yeux de ces riverains excédés. Depuis un an et demi, les résidents du boulevard Albert Camus, à La Salvetat-Saint-Gilles, petite localité de l’ouest toulousain, n’en finissent plus d’égrainer les événements qui pourrissent leur quotidien. Il y a Julien, la trentaine, (les prénoms ont été changés) qui préfère passer par le garage de son immeuble, avant de sortir, « pour éviter la confrontation directe avec les jeunes et les insultes homophobes », Yvonne qui n’ose plus fumer sa cigarette sur son balcon, « depuis qu’ils balancent des fusées d’artifice sur les terrasses, j’ai peur d’en recevoir une… » et Arthur qui a carrément déménagé, victime d’une violente agression. Sorties de terre en 2008, ces résidences coquettes de deux étages, non loin du collège, s’ouvrent sur de vastes terrains vagues.

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • Bordeaux : à cause de l’insécurité, ces habitants voient leur quartier submergé par les ordures… Les éboueurs ne passent plus après avoir été la cible de menaces et d’agressions

    Publié par Guy Jovelin le 01 août 2022

    Depuis juin 2021, les éboueurs ne passent plus dans plusieurs rues du quartier Bacalan à Bordeaux après avoir été menacés par arme à feu par un riverain. Une situation intenable…

    C’est un problème qui ne date pas d’hier. Depuis juin 2021, des habitants du quartier Bacalan à Bordeaux (Gironde) se plaignent de l’insalubrité de leur zone de résidence. Les éboueurs n’effectuent plus de collecte en porte-à-porte et les alentours des bacs placés aux entrées du quartier se transforment vite en décharges à ciel ouvert.

    Historique des faits

    En cause, une agression survenue l’été dernier dans la Cité Peyronneaud, une des quatre impasses qui longent l’avenue de Labarde. Les éboueurs n’ont pas pu opérer leur tournée habituelle en raison d’un stationnement gênant.

    (…) « Ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase », explique Vincent Maurin, maire adjoint du quartier Bordeaux Maritime. Les éboueurs ont fait valoir leur droit de retrait en précisant qu’ils ne reviendraient pas dans ces rues tant que les problèmes d’incivilité ne seraient pas réglés, et que des infrastructures permettant de faire demi-tour en bout d’impasse ne seront pas installées.

    Il y a un réel problème de fond, comme dans beaucoup de rues de Bordeaux. Il faut penser à la sécurité des riverains, en n’effectuant plus de marche arrière, mais aussi à celle des agents. Certains veulent aller dans ces quartiers, parce qu’ils savent très bien que les ordures doivent être ramassées, mais on ne peut pas mettre de voiture de police derrière chaque camion.

    Sylvain Verney Secrétaire général Force Ouvrière de Bordeaux Métropole

    Des riverains désabusés

    Alain Grandury habite dans le quartier depuis vingt ans. Sa maison, située au fond de la Cité Peyronneaud, est la plus proche de l’amoncellement d’ordures. Il raconte : « Mes deux chiens me ramènent 5 à 6 rats par jour. » À quelques années de la retraite, il est consterné face à la situation qui ne fait « que se détériorer » depuis quelques années. « Dans trois ans, je quitte le pays et je vends ma maison. Elle est estimée à 480 000 €, mais avec la dégradation du quartier, je ne pourrais jamais la vendre à ce prix-là. »

    (…) Actu.fr via fdesouche

  • Grenoble : Agressions, vols, menaces… Le ras-le-bol des épiciers de Championnet

    Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2022

    Chaque soir ou presque, à l’heure où la piscine Jean-Bron ferme ses portes, la supérette du quartier Championnet est prise d’assaut par des groupes de jeunes qui volent et n’hésitent pas à se montrer menaçants et violents envers les gérants.

    Carla et Michel Dupont ont décidé de perdre 300 euros de chiffres d’affaires chaque jour. Parce que le couple qui tient le Carrefour Express de la place Championnet, à Grenoble, a décidé de fermer à 18 h 30 au lieu de 21 heures, tous les jours, jusqu’à la fin de l’été.

    « Ce sont pourtant les heures où nous faisons le gros de notre chiffre d’affaires quotidien. C’est le moment où les gens rentrent du travail et s’arrêtent faire quelques courses pour le soir », détaille la gérante. Une décision prise à la fin de la semaine dernière après un énième vol doublé […]

    (…) Le Dauphiné via fdesouche