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assassinat - Page 3

  • Assassinat de Victorine : un homme, présenté par les médias comme un “père de famille”, en garde à vue

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2020

    Assassinat de Victorine : un homme, présenté par les médias comme un “père de famille”, en garde à vue

    Un homme de 25 ans a été interpellé et a avoué le meurtre de Victorine Dartois, 18 ans, dont le corps sans vie avait été retrouvé dans une commune de l’Isère, fin septembre.

    Mercredi matin, il a été transporté par les enquêteurs sur les lieux de la disparition de la jeune femme, près du stade de Villefontaine, pendant près d’1h30, le temps de vérifier certains éléments de ses déclarations. Cet homme est un chauffeur-livreur de 25 ans, jeune père de famille, père d’un garçon de moins d’un an. Il vivait avec sa femme, non loin de chez Victorine, à 800 mètres à vol d’oiseau.

    Une voisine de l’appartement où vit le suspect, témoigne :

    “C’est quelqu’un de très tranquille, très gentil, qui me disait bonjour quand il me voyait. Jamais de regard ou de geste déplacé”. “Il aurait pu s’en prendre à moi, à ma fille, à ma cousine… Franchement, c’est traumatisant. “

    Sic. Cet homme était déjà connu des services de police pour des affaires de stupéfiants, vol et outrage. Et ce sont les hommes du GIGN qui ont procédé à son interpellation hier. Il est décrit comme un « petit délinquant local » par une source proche de l’enquête.

    Les enquêteurs disposaient d’un ADN partiel retrouvé sur les vêtements de Victorine. Ludovic Bertin a avoué avoir participé au meurtre de Victorine Dartois. Le rapport d’autopsie a évoqué « une mort par noyade avec intervention d’un tiers en raison de multiples ecchymoses internes retrouvées sur le corps de la victime ».

     

    Source : lesalonbeige

  • Diversité : Mélanie meurt éventrée par son ex-compagnon, qui la nuit fait un carnage dans la maisonnée

    Publié par Guy Jovelin le 02 février 2020

    Dans l’interminable série « joies du métissage », un exemple de ces jours-ci, avec cet individu qui pouvait sembler aimable et se présentait sur sa chaîne youtube comme « coach en séduction »…

    « C’est un terrible assassinat qui s’est déroulé à Ecquevilly, cette petite commune de près de 5000 habitants dans les Yvelines, dans la nuit de mardi à mercredi. Mickaël P. n’aurait pas supporté que son ex-compagne Mélanie soit désormais en couple avec un autre homme. C’est ce qu’il a déclaré aux enquêteurs. Sa sœur a été gravement blessée, tout comme Brayan, le nouveau compagnon de la défunte.

    L’enquête menée par les gendarmes de la brigade de recherches de Versailles a rapidement permis d’interpeller Mickaël P. mais également de comprendre qu’il avait bien préparé son acte criminel.

    Ce professeur de fitness n’a rien laissé au hasard. L’homme de 38 ans s’est rendu peu avant dans une armurerie et a acheté « un shocker électrique, une réplique de pistolet automatique et un poignard de combat, doté d’une lame de 17 cm », indique une source proche de l’enquête au journal Le Parisien.

    Peu avant 3 heures du matin dans la nuit de mardi à mercredi, il s’est rendu à Ecquevilly, là où son ex-compagne Mélanie avait emménagé l’été dernier. L’homme a pénétré dans le pavillon par effraction puis a fait sauter le disjoncteur électrique.

    Il s’en est alors pris à la sœur de son ex-compagne, Malaury, au rez-de-chaussée, alors qu’elle dormait sur le canapé. La jeune femme de 20 ans a été menottée sur une chaise puis l’agresseur lui a baissé son pantalon ainsi que sa culotte. Mickaël P. aurait à ce moment là changé d’avis sur ses intentions et a violemment poignardé la jeune femme.

    Le tueur s’est ensuite rapidement rendu au premier étage où se trouvaient Mélanie et son compagnon Brayan. Ces derniers venaient d’être alertés par les hurlements de Malaury. L’homme de 30 ans s’est opposé à l’assaillant très sportif et lui a porté des coups de pieds, tentant de se saisir de son arme blanche, en vain. Il a été poignardé à plusieurs reprises et a perdu connaissance.

    Mélanie est parvenue à prendre la fuite mais son ex-compagnon l’a rattrapée dans le garage, où elle a été sauvagement poignardée à de nombreuses reprises. La victime a été éventrée. Le tueur est ensuite monté à bord de la Peugeot 208 de la défunte et a pris la fuite. […] »

    Source et suite actu17 via contre-info

  • Assassinat du général Soleimani : le crime inexpiable de Donald Trump ?

    Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2020

    Iran. Beaucoup de bruit pour rien ?

    Assassinat du général Soleimani : le crime inexpiable de Donald Trump ?

    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ L’assassinat de Qassem Soleimani par l’administration américaine est un événement aux conséquences géopolitiques imprévisibles. Un événement qui a motivé un long article de Michel Geoffroy ce 7 janvier : Assassinat du général Qassem Soleimani : la 4e guerre mondiale a bien commencé !
    Aujourd’hui, c’est un autre contributeur régulier de Polémia, Pierre Boisguilbert, qui partage avec nous son analyse très tranchée de cette situation explosive.
    A noter que Polémia a, par le passé, publié plusieurs articles sur la question iranienne. Signalons notamment :
    – Nucléaire iranien : s’inspirer de la géopolitique de Richelieu (2007)
    – L’option intelligente vis-à-vis de l’Iran ( 2008)
    – Peugeot contraint de renoncer au marché iranien (2012)
    – « Analyse des relations Etats-Unis/ Russie/ Israël » par le Général (2S) Dominique Delawarde (2017)
    – Iran. Beaucoup de bruit pour rien ? (2018)
    Polémia


    En appuyant sur le bouton fatal qui a donné l’ordre à un drone de pulvériser à Bagdad le général iranien Qassem Soleimani et sa suite, le président Trump a pris cette fois une décision solitaire aux conséquences peut-être irréparables.

    En raison de ses fausses justifications, la guerre qui conduisit au printemps 2003 à l’invasion de l’Irak par les USA fut qualifiée de guerre inexpiable, en référence à celle de Carthage contre ses mercenaires révoltés — cadre du Salammbô de Flaubert. Inexpiable également la façon dont le président Saddam Hussein fut assassiné à l’issue d’un procès indigne. On se souvient du Raïs accusant ses juges, à quelques secondes d’une pendaison acceptée avec un courage qui ne pouvait que forcer l’admiration.

    Le chaos irakien

    Saddam lança-t-il une malédiction ? On pourrait le croire. Quand sera écrite l’histoire des guerres islamo-arabiques comme le fut celle des guerres médiques puis puniques, tout dépendra comme toujours du vainqueur qui tiendra la plume. Mais une chose est sûre : la destruction stupide par les Américains de l’Etat irakien continue à ravager le monde arabo-islamique.

    Aujourd’hui, Bagdad demande le départ des anciens « libérateurs » considérés comme des terroristes. Washington, dix-sept ans après et 1000 milliards plus tard, est en train de perdre l’Irak pour avoir assassiné un général iranien. L’arc chiite dont le général Qassem Soleimani était le stratège se trouve provisoirement renforcé par sa mort. Il était le vrai patron de l’Iran, l’homme qui avait imposé le Perse chiite dans le monde arabo-musulman en Syrie, au Liban, au Yémen et en Irak. Il était donc la bête noire de l’Arabie saoudite sunnite et d’Israël. Mais cet ennemi de notre allié américain était aussi celui qui avait sauvé la Syrie des fanatiques de Daesh, en persuadant Vladimir Poutine d’intervenir. Soleimani avait sauvé la région au profit de l’Iran, certes, mais aussi de tous ceux dont l’ennemi principal déclaré était l’Etat islamique.

    Fabrication d’un héros

    Considéré comme terroriste par les États-Unis, Qassem Soleimani a été tué le 3 janvier à Bagdad lors d’une frappe par le président des États-Unis, en représailles à l’attaque du 31 décembre 2019. Lors du même raid meurt aussi Abou Mehdi al-Mouhandis, numéro deux de la coalition de paramilitaires Hachd al-Chaabi et chef des Kataeb Hezbollah, proches de l’Iran. Le même jour, le Guide suprême nomme le général Ismaël Qaani en tant que nouveau commandant en chef de la Force Al-Qods.

    Cet acte que l’on ose qualifier de militaire, mais aussi efficace que sans honneur, confirme que les Américains ne comprennent rien au monde musulman comme au nationalisme des autres. Le régime des mollahs, qui avait dû briser un mouvement de révolte au nom de libertés à conquérir, se trouve conforté dans ses éléments les plus durs. Un peuple divisé se retrouve unanime dans des manifestations d’une ampleur sidérante autour du héros assassiné et dans une haine partagée de l’Amérique. L’Irak sur le point de se révolter contre la domination iranienne par chiites interposés en est maintenant à demander le départ des Américains !

    Menace sur les sites culturels perses

    Et ce n’est que le début du nouveau chaos, qui s’annonce pire que l’ancien, provoqué par Trump. Cela interroge sur les raisons profondes d’un geste de guerre ciblé mais radical. On a du mal à comprendre car on ne sait pas grand-chose des motivations du président américain. D’autant qu’il est suivi de menaces invraisemblables sur 52 sites du patrimoine historique perse reconnus par l’Unesco. Ces menaces sont révélatrices d’une perte de repères, car menacer de se comporter, en pire, comme les Taliban à Bamiyan ou comme Daesh à Palmyre équivaut à se condamner vis-à-vis de tous les pays attachés à leur passé.

    Mais tout est possible, hélas ! car personne, personne, n’avait envisagé un assassinat à un tel niveau de l’Etat iranien… De nombreux journalistes, incrédules, ont attendu la confirmation officielle de cette éradication. Les télévisions du monde entier ont retransmis la peine et la haine de tout un peuple voulant toucher le cercueil au prix de bousculades dont une meurtrière dans sa ville natale de Kerman faisant au moins 35 victimes.

    Renforçant sa popularité par l’envoi de photos prises sur les différents théâtres d’opération où il se trouvait, Soleimani était un héros. Selon un sondage réalisé par le Centre d’étude international et de sécurité de l’université du Maryland en juillet 2017, il était la personnalité publique la plus populaire en Iran, avec 78 % d’opinions favorables ou très favorables. Il avait d’ailleurs été élu homme de l’année par le site iranien d’informations Khabaronline.ir (conservateur modéré). Certes, nombre de ses compatriotes le considéraient comme le pire produit du régime des mollahs. Mais sa liquidation, saluée en Arabie saoudite et en Israël, a changé la donne : le général est devenu l’âme d’un peuple.

    L’embarras de Macron

    Que va-t-il advenir désormais ? L’Iran est dans l’obligation de riposter, même si cet assassinat si bien exécuté montre la supériorité technologique absolue des Américains dans le domaine des drones. Mais n’est pas forcément olympien celui qui se sert de la foudre. L’image de Trump, tueur imprévisible et implacable après l’élimination du prétendu calife de Daech puis maintenant du héros de l’Iran, est confirmée. Ce second coup de maitre inquiète même ceux qui ont toujours défendu le président états-unien contre ceux qui le détestent par sectarisme idéologique, et les alliés qui ont  aligné leur diplomatie sur les errances américaines. Les avertissements de Macron à l’Iran, jugé responsable des escalades de ces derniers mois, sans condamnation d’une riposte disprortionnée et plus qu’aventureuse, sont très inquiétants. Comme le sont les propos lénifiants de Le Drian, notre ministre des Affaires étrangères qui espère toujours une désescalade et ne prend pas en compte l’élément nouveau du « crime inexpiable » qui a réveillé le fanatisme chiite, le nationalisme iranien, et même la plus longue mémoire perse.

    Mais pourquoi diable Trump a-t-il donné cet ordre ? On le saura peut être un jouir en espérant que sera alléguée une raison majeure justifiant l’incompréhensible mais, pour le moment, un héros est assassiné et c’est toute une région qui passe d’un chaos l’autre. Ce chaos qui a depuis longtemps remplacé l’utopique projet démocratique américain pour le monde arabo-musulman. Dans ce contexte, de la mort de Qassem Soleimani peuvent résulter plusieurs guerres. Le risque pris parait cette fois, lui aussi, inexpiable.

     Pierre Boisguilbert
    08/01/2020

    Source : Correspondance  polemia

  • Albi (81) : meurtre de la boulangère de Carmaux, « Mamadi s’est acharné sur Maryline, son ex-compagne »

    Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2019

    Par  le 27/06/2019
     
    Vidéo

    Ce mercredi a débuté le procès de l’assassinat de Maryline Blondeau qui s’est déroulé le 23 juillet 2016 à Carmaux. L’accusé Mamadi Kourouma Camara a reconnu tous les faits qui lui sont reprochés. Il risque la réclusion criminelle à perpétuité.
    […]

    « Nous sommes devant un homme qui s’est acharné sur sa victime » clame le président.

    « Vous dites que Maryline Blondeau ne s’est pas débattue. Quand elle vous a vu avec un couteau dans la main, elle se serait approchée pour vous embrasser en disant « je t’aime », alors qu’elle avait peur de vous et de votre violence. C’est bizarre tout de même » appuie le président. « Cela s’est passé comme cela. Je dis la vérité. » « Pourtant il y avait des coupures sur l’avant-bras gauche, signe que la victime a voulu se défendre » réplique l’avocat général, Alain Berthomieu.

    Passons à la préméditation. « C’est vrai que j’ai pris un couteau chez une copine qui m’hébergeait. Puis je suis parti en boîte de nuit où j’ai beaucoup bu. Après, j’ai pris mon scooter pour l’attendre dans ce hangar. Je ne supportais pas qu’elle me quitte » admet l’accusé. « Pourquoi avez-vous pris ce couteau ? » coupe le président. « Pour la tuer ». Silence dans la salle.

    Maryline Blondeau et l’accusé entretiennent une relation amoureuse qui a duré plusieurs mois. Des débuts idylliques qui lui font quitter son compagnon pour s’installer avec lui. Mais les témoins qui défilent à la barre ont tous le même discours. Elle déchante très vite. La boulangère ne supporte plus ses accès de violence, son penchant aigu pour l’alcool, sa jalousie extrême. Elle commence à avoir peur, très peur. Maryline décide d’arrêter leur aventure. Elle appelle ses copines, demande à un ami de changer ses serrures. Elle avoue même à une amie : « J’ai très peur. Il va finir par me tuer ».

    Une ex-compagne de Mamadi Kourouma Camara entre 2010 et 2012 reconnaît qu’elle aussi « a vécu l’enfer. Il a su me séduire quand j’étais fragile. Je venais de me séparer du père de mes enfants. Il est venu vivre chez moi. Au début, tout se passait bien. Puis il est devenu violent jusqu’à me cracher dessus. J’ai imposé qu’il parte. Il a refusé. Il a fallu l’aide de mes parents pour qu’il fasse ses valises » avoue-t-elle émue. Elle rappelle aussi « que quelques mois plus tard, sa maison a été détruite par un incendie criminel. Je sais que c’est lui, même s’il n’a pas été trouvé de preuves. »

    « Ce n’est pas moi » répond l’accusé.
    […]

    La Dépêche via fdesouche

  • 18 mars 1978 : assassinat de François Duprat

    Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2019

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    Communiqué de presse d'Alexandre Simonnot :

    N’oublions jamais notre camarade de combat François Duprat assassiné il y a aujourd’hui 41 années, le 18 mars 1978.

    Frontiste de la première heure, grand et irremplaçable ami de Jean-Marie Le Pen, militant exemplaire, François Duprat était un brillant intellectuel, libre et éclairé, passionné d’histoire et de politique. Ecrivain hors-pair, travailleur infatigable, il possédait une véritable plume d’acier qui le fit collaborer à la plupart des rédactions des journaux de la Droite Nationale. Il ne cessera pas d’y dénoncer les risques que faisait peser l’immigration sur l’identité des peuples européens.

    François Duprat était un amoureux de la Liberté d’expression, cette liberté qui lui a coûté la vie. Car c’est bien pour avoir osé écrire tant et tant de vérités interdites à exprimer qu’il a été éliminé.

    François Duprat gênait, dérangeait, bousculait avec talent le politiquement correct, le terrorisme intellectuel et le prêt-à-penser. Il écrivait et proclamait tout haut ce que beaucoup pensait tout bas. Il n’avait peur de rien. Il est mort au devoir, au combat, sur la route qui le menait à une école pour accomplir simplement ce qu’il aimait par-dessus tout : enseigner la simple et pure vérité historique.

    Plutôt que d’oser l’affronter sur le terrain des idées et du débat, les misérables lâches, anonymes et vagabonds, qui l’ont exécuté ont placé une bombe dans sa voiture...

    Esprit ouvert, fidèle défenseur de notre identité, François Duprat aurait exécré la liberticide Loi Gayssot qui interdit en France toute véritable Liberté d’expression qui est pourtant un Droit fondamental de notre Pays.

    Que François Duprat repose en paix auprès de tous ces grands intellectuels honnêtes et courageux qui ne faisaient que proclamer, à temps et à contre temps, la Vérité qui seule nous rendra libres.

     

    Source : synthesenationale