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assassinat - Page 3

  • 6 juillet 1962 : l’assassinat sordide de Roger Degueldre par la République, version De Gaulle.

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2022

    Chanson en hommage par Jean-Pax Méfret (1968) :


    Ci-dessous un texte de José Castano à ce sujet :

    « Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM » – R.D –

    C’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 qui, rappelons-le, fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, que De Gaulle prit sa décision de faire fusiller le lieutenant Roger DEGUELDRE qui, fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur! », avait justifié son action dans l’OAS par ces mots : « Mon serment, je l’ai fait sur le cercueil du Colonel Jeanpierre.
    Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure !
     »

    Le lendemain, 6 juillet 1962, à l’aube, au fort d’Ivry, Degueldre se présenta devant le peloton d’exécution en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il avait tout sacrifié et qu’il avait choisi comme linceul.
    Autour de son cou, il avait noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y avait la photo d’un bébé, son fils qu’il n’avait jamais vu. Il avait conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé était venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort.
    « Dites que je suis mort pour la France ! » s’écria-t-il à l’adresse de son défenseur.
    Puis il refusa qu’on lui bande les yeux et, au poteau cria : « Messieurs, Vive la France ! » avant d’entonner la Marseillaise.
    Les soldats qui devaient l’exécuter, émus par son courage, hésitèrent à tirer. La première salve le blessa seulement : Une seule balle l’atteignit sur les douze qui furent tirées : au ventre dirent certains… au bras affirmèrent d’autres.
    Quoiqu’il en soit, le fait certain c’est que Degueldre ne fut pas atteint de manière décisive.

    L’adjudant chargé de donner le coup de grâce se précipita, l’arme à la main, pour accomplir sa sinistre besogne et se rendit compte que le condamné était toujours en vie. Sa tâche ne consistait désormais plus à achever un quasi-mort censé avoir reçu douze bouts de métal… mais bel et bien de tuer un vivant. Et ce sont là deux choses bien différentes… Il en eut si terriblement conscience, que sa main pourtant préparée à cette macabre mission trembla, et que le revolver se déchargea dans le vide.

    Parmi l’assistance, c’était la stupéfaction. Cette situation eut pour effet d’agacer le procureur qui, réveillé un peu tard, n’avait pas eu le temps de prendre son petit déjeuner. Et son estomac gargouillait. Mécontent, il fit signe à l’adjudant de se dépêcher. Pensant ce temps, Degueldre, à demi recroquevillé souffrait. Les coups de feu résonnaient encore à ses oreilles et il se demandait quand son calvaire prendrait fin.

    L’adjudant, toujours tremblant, pointa une nouvelle fois son arme sur la tête de l’officier parachutiste, ferma les yeux et appuya sur la détente. Stupeur ! Rien ne se produisit. L’arme s’était enrayé. Une rumeur monta de l’assistance. Degueldre tourna la tête vers son exécuteur comme pour l’interroger. Aucune haine dans son regard… juste de l’incompréhension.
    Exaspéré par cette situation –unique dans les annales de l’exécution- le procureur ordonna qu’une nouvelle arme soit amenée. Mais personne parmi les militaires présents n’en possédaient. Il fallait courir en chercher une… Et pendant ce temps, Degueldre était toujours vivant… et il souffrait.

    A partir de ce moment là, tous les juristes s’accordent à dire que la sentence ayant été exécutée, puisque le condamné étant encore en vie, il fallait le détacher du poteau et lui donner les soins nécessaires. Autrement dit, on n’avait pas le droit d’achever le blessé. Mais les ordres étaient formels; Il fallait que Degueldre soit tué ! Il incarnait à lui seul, l’OAS, cette puissance qui avait fait trembler les Etats Majors, le FLN et l’Elysée… Il fallait exorciser jusqu’à son souvenir.

    Et pendant que l’on s’affairait à se procurer une arme, celui qui, à cet instant, aurait pu changer le cours des événements ne réagit point. Pétrifié par la scène, glacé d’effroi, le défenseur du condamné demeurait inerte. Pourtant, il lui appartenait de tenter quelque chose, de courir jusqu’au supplicié, de le prendre dans ses bras et de le couvrir de son corps en invoquant la justice, en appelant à l’amour, en exigeant au nom de toutes les traditions humaines et chrétiennes qu’on fît grâce qu condamné. Cela s’était déjà produit dans l’Histoire quand la corde du pendu avait cassé et que la grâce lui avait été accordée. Mais non, l’avocat demeurait prostré, sans voix, mort… alors que Degueldre, lui, était vivant et qu’il le regardait.

    Enfin on remit un pistolet à l’adjudant qui, blanc comme un linge, écoeuré par cette boucherie… mais servile au commandement de tuer, devait en finir puisque tels étaient les ordres et que le défenseur du condamné qui, seul avait qualité pour tenter quelque chose, se taisait.

    Un nouveau coup de feu claqua. Stupeur ! Celui-ci fut tiré, non pas au-dessus de l’oreille comme l’exige le règlement, mais dans l’omoplate… Une douleur atroce irradia le corps du supplicié. Il regarda vers le ciel et ouvrit grand ses yeux. Peut-être perçut-il à cet instant que son calvaire prenait fin. Il était tout illuminé des illusions radieuses de ceux qui vont mourir et il lui sembla entendre, là haut, les voix des martyrs du 5 juillet lui murmurer : « Roger… Roger… dès aujourd’hui tu seras avec nous dans le Paradis ».

    Puis une nouvelle détonation retentit… et ce fut la fin.

    C’est ainsi qu’après Claude PIEGTS et Albert DOVECAR, Sergent au 1er Régiment Etranger de Parachutistes, mourut, assassiné, le lieutenant Roger DEGUELDRE, également du 1er R.E.P, Chevalier de la Légion d’honneur… Et les salves du peloton couvrirent un instant les plaintes et les râles qui montaient d’Oran, tandis que la France, en vacances, n’entendit rien. Et nous nous devons de ne jamais oublier son ultime message adressé au petit peuple d’Algérie : « Si je ne suis pas de leur race, ni né sur leur sol, je les ai beaucoup aimés et je les aime toujours ! »

    Huit mois plus tard, le 11 mars 1963, le Colonel Jean BASTIEN-THIRY, Polytechnicien, tombait à son tour à 35 ans, sous les salves du peloton.

    Décidément, le crime était profondément enraciné !…

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    chaque année se tient une émouvante cérémonie sur la tombe du lieutenant Roger Degueldre, à l’initiative du CNC.

    Source : contre-info
  • 5 ans après l'assassinat et la décapitation du Père Hamel

    Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2021

    5 ans après l'assassinat et la décapitation du Père Hamel dans son église de Saint-Etienne-du-Rouvray par deux chiens galeux islamistes, nos gouvernants n'ont strictement rien fait pour lutter contre le terrorisme et l'invasion afro-musulmane. L'unique solution est la remigration.
    Peut être une image de 2 personnes et fleur
     
     
     
     
     
     
     
  • Encore un assassinat perpétré par un réseau de franc-maçons

    Publié par Guy Jovelin le 05 février 2021

    Encore un assassinat perpétré par un réseau de franc-maçons

    assassinat,franc-maçon

    Le ministre de l’Intérieur va devoir dissoudre les loges maçonniques.

    Après le complot (manqué) maçonnique contre une coach de Créteil, on apprend que Laurent Pasquali, pilote automobile inexplicablement disparu en 2018 à Levallois, a été assassiné et enterré dans un bois en Haute-Loire. Ce crime a été orchestré par une officine de francs-maçons.

    Encore une fois, plusieurs militaires de la DGSE seraient impliqués. Ce même réseau aurait visé un syndicaliste de l’AinUne vague d’interpellation a eu lieu la semaine dernière. Un ancien commandant de la Direction centrale du renseignement intérieur avait expliqué faire partie d’un groupe de franc-maçon. Il a précisé que son groupe était passé à l’acte en assassinant un pilote automobile avant de l’enterrer dans une forêt.

     

    Source : lesalonbeige

  • Assassinat de Victorine : un homme, présenté par les médias comme un “père de famille”, en garde à vue

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2020

    Assassinat de Victorine : un homme, présenté par les médias comme un “père de famille”, en garde à vue

    Un homme de 25 ans a été interpellé et a avoué le meurtre de Victorine Dartois, 18 ans, dont le corps sans vie avait été retrouvé dans une commune de l’Isère, fin septembre.

    Mercredi matin, il a été transporté par les enquêteurs sur les lieux de la disparition de la jeune femme, près du stade de Villefontaine, pendant près d’1h30, le temps de vérifier certains éléments de ses déclarations. Cet homme est un chauffeur-livreur de 25 ans, jeune père de famille, père d’un garçon de moins d’un an. Il vivait avec sa femme, non loin de chez Victorine, à 800 mètres à vol d’oiseau.

    Une voisine de l’appartement où vit le suspect, témoigne :

    “C’est quelqu’un de très tranquille, très gentil, qui me disait bonjour quand il me voyait. Jamais de regard ou de geste déplacé”. “Il aurait pu s’en prendre à moi, à ma fille, à ma cousine… Franchement, c’est traumatisant. “

    Sic. Cet homme était déjà connu des services de police pour des affaires de stupéfiants, vol et outrage. Et ce sont les hommes du GIGN qui ont procédé à son interpellation hier. Il est décrit comme un « petit délinquant local » par une source proche de l’enquête.

    Les enquêteurs disposaient d’un ADN partiel retrouvé sur les vêtements de Victorine. Ludovic Bertin a avoué avoir participé au meurtre de Victorine Dartois. Le rapport d’autopsie a évoqué « une mort par noyade avec intervention d’un tiers en raison de multiples ecchymoses internes retrouvées sur le corps de la victime ».

     

    Source : lesalonbeige

  • Diversité : Mélanie meurt éventrée par son ex-compagnon, qui la nuit fait un carnage dans la maisonnée

    Publié par Guy Jovelin le 02 février 2020

    Dans l’interminable série « joies du métissage », un exemple de ces jours-ci, avec cet individu qui pouvait sembler aimable et se présentait sur sa chaîne youtube comme « coach en séduction »…

    « C’est un terrible assassinat qui s’est déroulé à Ecquevilly, cette petite commune de près de 5000 habitants dans les Yvelines, dans la nuit de mardi à mercredi. Mickaël P. n’aurait pas supporté que son ex-compagne Mélanie soit désormais en couple avec un autre homme. C’est ce qu’il a déclaré aux enquêteurs. Sa sœur a été gravement blessée, tout comme Brayan, le nouveau compagnon de la défunte.

    L’enquête menée par les gendarmes de la brigade de recherches de Versailles a rapidement permis d’interpeller Mickaël P. mais également de comprendre qu’il avait bien préparé son acte criminel.

    Ce professeur de fitness n’a rien laissé au hasard. L’homme de 38 ans s’est rendu peu avant dans une armurerie et a acheté « un shocker électrique, une réplique de pistolet automatique et un poignard de combat, doté d’une lame de 17 cm », indique une source proche de l’enquête au journal Le Parisien.

    Peu avant 3 heures du matin dans la nuit de mardi à mercredi, il s’est rendu à Ecquevilly, là où son ex-compagne Mélanie avait emménagé l’été dernier. L’homme a pénétré dans le pavillon par effraction puis a fait sauter le disjoncteur électrique.

    Il s’en est alors pris à la sœur de son ex-compagne, Malaury, au rez-de-chaussée, alors qu’elle dormait sur le canapé. La jeune femme de 20 ans a été menottée sur une chaise puis l’agresseur lui a baissé son pantalon ainsi que sa culotte. Mickaël P. aurait à ce moment là changé d’avis sur ses intentions et a violemment poignardé la jeune femme.

    Le tueur s’est ensuite rapidement rendu au premier étage où se trouvaient Mélanie et son compagnon Brayan. Ces derniers venaient d’être alertés par les hurlements de Malaury. L’homme de 30 ans s’est opposé à l’assaillant très sportif et lui a porté des coups de pieds, tentant de se saisir de son arme blanche, en vain. Il a été poignardé à plusieurs reprises et a perdu connaissance.

    Mélanie est parvenue à prendre la fuite mais son ex-compagnon l’a rattrapée dans le garage, où elle a été sauvagement poignardée à de nombreuses reprises. La victime a été éventrée. Le tueur est ensuite monté à bord de la Peugeot 208 de la défunte et a pris la fuite. […] »

    Source et suite actu17 via contre-info