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assassinat - Page 4

  • Albi (81) : meurtre de la boulangère de Carmaux, « Mamadi s’est acharné sur Maryline, son ex-compagne »

    Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2019

    Par  le 27/06/2019
     
    Vidéo

    Ce mercredi a débuté le procès de l’assassinat de Maryline Blondeau qui s’est déroulé le 23 juillet 2016 à Carmaux. L’accusé Mamadi Kourouma Camara a reconnu tous les faits qui lui sont reprochés. Il risque la réclusion criminelle à perpétuité.
    […]

    « Nous sommes devant un homme qui s’est acharné sur sa victime » clame le président.

    « Vous dites que Maryline Blondeau ne s’est pas débattue. Quand elle vous a vu avec un couteau dans la main, elle se serait approchée pour vous embrasser en disant « je t’aime », alors qu’elle avait peur de vous et de votre violence. C’est bizarre tout de même » appuie le président. « Cela s’est passé comme cela. Je dis la vérité. » « Pourtant il y avait des coupures sur l’avant-bras gauche, signe que la victime a voulu se défendre » réplique l’avocat général, Alain Berthomieu.

    Passons à la préméditation. « C’est vrai que j’ai pris un couteau chez une copine qui m’hébergeait. Puis je suis parti en boîte de nuit où j’ai beaucoup bu. Après, j’ai pris mon scooter pour l’attendre dans ce hangar. Je ne supportais pas qu’elle me quitte » admet l’accusé. « Pourquoi avez-vous pris ce couteau ? » coupe le président. « Pour la tuer ». Silence dans la salle.

    Maryline Blondeau et l’accusé entretiennent une relation amoureuse qui a duré plusieurs mois. Des débuts idylliques qui lui font quitter son compagnon pour s’installer avec lui. Mais les témoins qui défilent à la barre ont tous le même discours. Elle déchante très vite. La boulangère ne supporte plus ses accès de violence, son penchant aigu pour l’alcool, sa jalousie extrême. Elle commence à avoir peur, très peur. Maryline décide d’arrêter leur aventure. Elle appelle ses copines, demande à un ami de changer ses serrures. Elle avoue même à une amie : « J’ai très peur. Il va finir par me tuer ».

    Une ex-compagne de Mamadi Kourouma Camara entre 2010 et 2012 reconnaît qu’elle aussi « a vécu l’enfer. Il a su me séduire quand j’étais fragile. Je venais de me séparer du père de mes enfants. Il est venu vivre chez moi. Au début, tout se passait bien. Puis il est devenu violent jusqu’à me cracher dessus. J’ai imposé qu’il parte. Il a refusé. Il a fallu l’aide de mes parents pour qu’il fasse ses valises » avoue-t-elle émue. Elle rappelle aussi « que quelques mois plus tard, sa maison a été détruite par un incendie criminel. Je sais que c’est lui, même s’il n’a pas été trouvé de preuves. »

    « Ce n’est pas moi » répond l’accusé.
    […]

    La Dépêche via fdesouche

  • 18 mars 1978 : assassinat de François Duprat

    Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2019

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    Communiqué de presse d'Alexandre Simonnot :

    N’oublions jamais notre camarade de combat François Duprat assassiné il y a aujourd’hui 41 années, le 18 mars 1978.

    Frontiste de la première heure, grand et irremplaçable ami de Jean-Marie Le Pen, militant exemplaire, François Duprat était un brillant intellectuel, libre et éclairé, passionné d’histoire et de politique. Ecrivain hors-pair, travailleur infatigable, il possédait une véritable plume d’acier qui le fit collaborer à la plupart des rédactions des journaux de la Droite Nationale. Il ne cessera pas d’y dénoncer les risques que faisait peser l’immigration sur l’identité des peuples européens.

    François Duprat était un amoureux de la Liberté d’expression, cette liberté qui lui a coûté la vie. Car c’est bien pour avoir osé écrire tant et tant de vérités interdites à exprimer qu’il a été éliminé.

    François Duprat gênait, dérangeait, bousculait avec talent le politiquement correct, le terrorisme intellectuel et le prêt-à-penser. Il écrivait et proclamait tout haut ce que beaucoup pensait tout bas. Il n’avait peur de rien. Il est mort au devoir, au combat, sur la route qui le menait à une école pour accomplir simplement ce qu’il aimait par-dessus tout : enseigner la simple et pure vérité historique.

    Plutôt que d’oser l’affronter sur le terrain des idées et du débat, les misérables lâches, anonymes et vagabonds, qui l’ont exécuté ont placé une bombe dans sa voiture...

    Esprit ouvert, fidèle défenseur de notre identité, François Duprat aurait exécré la liberticide Loi Gayssot qui interdit en France toute véritable Liberté d’expression qui est pourtant un Droit fondamental de notre Pays.

    Que François Duprat repose en paix auprès de tous ces grands intellectuels honnêtes et courageux qui ne faisaient que proclamer, à temps et à contre temps, la Vérité qui seule nous rendra libres.

     

    Source : synthesenationale

  • C’était un onze mars : l’assassinat du colonel Bastien-Thiry

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2019

    Auteur : Rédaction

    assassinat,bastien thiryLe 11 mars 1963 était fusillé au Fort d’Ivry le lieutenant-colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, 36 ans et père de trois enfants.

    Polytechnicien, il avait inventé deux missiles anti-chars.

    Il avait organisé l’attaque du Petit-Clamart, pour en finir avec De Gaulle qui avait trahi le peuple, livrait l’Algérie française aux mains des égorgeurs et liquidé le camp nationaliste en France.

    Fervent catholique, il justifiait cette action par la légitimité du tyrannicide (théorisée par Saint Thomas d’Aquin).

    Un très bon petit livre constitue une bonne synthèse sur ce sujet : Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide, par l’abbé Olivier Rioult cliquer ici

    assassinat,bastien thiry

    Bastien-Thiry marcha vers le peloton chapelet à la main, laissant derrière lui une forte impression, et l’image d’un héros français et chrétien qui avait porté jusqu’au bout l’idéal du sacrifice.


    On peut retrouver cette chanson sur le cd du Chœur Montjoie St Denis, Chants de France XI, ou encore sur la compilation de l'ADIMAD.

    Source : contre-info.com