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carcassonne - Page 3

  • Carcassonne : “Je vais te crever les yeux… Je vais te tuer, toi et tes proches…” un ancien athlète marocain condamné pour “menace de mort réitérée”

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2021

    fdesouche

    Carcassonne : “Je vais te crever les yeux… Je vais te tuer, toi et tes proches !”

     

    […]

     

    L’histoire remonte au samedi 25 septembre à Carcassonne. Ce jour-là, c’est à 16 h 20 que les policiers interviennent sur le secteur de La Conte dans la rue Claude-Perrault, où une automobiliste était bloquée sur la route par son futur ex-concubin. Ils sont en instance de divorce, mais il a visiblement du mal à comprendre la situation. “Je vais te crever les yeux… Je vais te tuer, toi et tes proches…”. Voilà le type de menaces lancées à la figure de cette femme qui souhaite aujourd’hui couper les ponts. “Mes enfants sont des victimes collatérales. Ce n’est pas normal qu’ils aient vécu ça ! Ça fait six mois que je me cache dans des hôtels, mais il arrive toujours à savoir où je suis…”, explique la victime qui bénéficiait d’un téléphone grave danger (TGD).

    Condamné à 4 mois ferme

    Face au tribunal, le prévenu n’a su que dire qu’il regrettait “ce qui était sorti de ma bouche”. En revanche, il a contesté le fait d’avoir pris connaissance de l’ordonnance de protection. Il comprend le Français, l’écrit “avec beaucoup de fautes” et ne sait pas vraiment le lire. Aux intérêts de la victime, présente à l’audience, Me Manon Crochet est revenu sur le sentiment de sa cliente qui “n’en peut plus. Ce qu’elle veut, c’est avoir une vie normale, sans avoir à surveiller s’il n’est pas sur le secteur. Il n’a jamais cessé de la suivre. Ma cliente a envie de ne plus avoir peur de se faire violer, de mourir ou qu’il enlève ses enfants…”

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur L’Indépendant

  • Carcassonne (11) : il faut maintenant réparer les dégâts

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

     

    Le Centre des monuments nationaux (CMN) a demandé au Centre interdisciplinaire de conservation et de restauration du patrimoine (CICRP) de travailler sur la question. Le CICRP, qui dépend entre autres du ministère de la Culture et intervient dans le domaine de la conservation curative, doit élaborer un protocole scientifique pour venir à bout des traces laissées par l’œuvre de Felice Varini sur la cité médiévale.
    Entre ceux qui craignaient que les bandes d’aluminium collées sur la Cité détériorent durablement la pierre et ceux qui juraient que cette œuvre d’art contemporain ne l’altérerait pas, le débat est désormais tranché : les premiers avaient vu juste. Le temps leur a donné raison.

    Source l’indépendant via fdesouche

  • “C’est la guerre” : à Carcassonne, des policiers pris dans un guet-apens et visés par des tirs de mortiers aux cris de “Wallah !”

    Publié par Guy Jovelin le 06 février 2021

    Dans la nuit du jeudi 4 au vendredi 5 février, au cœur du quartier La Conte à Carcassonne, la police et des bus ont été la cible de tirs nourris de mortiers d’artifices.

    (…) Le policier confie qu’il n’a pas eu peur, mais il conçoit que des éléments plus jeunes puissent avoir la boule au ventre quand ils se rendent sur de tels événements: “Il faut avoir du métier pour affronter ces situations, et de l’entraînement. La police municipale a beaucoup évolué ces dernières années, mais en face ils évoluent encore plus vite. On voit aujourd’hui à Carcassonne ce qu’on voyait habituellement dans les grandes villes comme Marseille ou Paris. Sur le terrain, les “grands frères” nous disent de laisser faire, comme s’il fallait que jeunesse se fasse. Mais il ne s’agit pas d’un jeu, c’est bien plus grave que ça: c’est un entraînement, ils se préparent, ils apprennent à viser, à se replier, à tendre des embuscades. Ils ont 15-16 ans mais il ne faut pas prendre ça à la légère. Plus ça va aller, plus ce sera difficile: là, encore, avec le couvre-feu on a la possibilité de les faire rentrer, mais quand ce sera fini on va avoir de grosses surprises”.

    (…) Or, la nuit du jeudi 4 février fut caractérisée par une attaque préméditée aux mortiers d’artifices, au cœur du quartier La Conte, sur des agents de la police municipale. Des scènes terribles filmées via Snapchat en toute fierté par les auteurs de ces attaques scandaleuses aux cris de «wallah»! Certains des ces agents ont été blessés à la jambe et sont devenus sourds quelques heures…

    (…) La Dépêche

    « Ca n’arrête pas… »

    18h15, les policiers municipaux réalisent un contrôle de routine. « Il a rapidement dégénéré, avec plusieurs dizaines d’individus qui se sont rapprochés » raconte David Leyraud, délégué régional adjoint du syndicat Police Alliance. « La police nationale est arrivée en renfort. »

    Très rapidement, policiers municipaux et nationaux ont été la cible de nombreux tirs de mortiers d’artifice venant de plusieurs endroits. Ca n’arrête pas. Certes, la préfète l’avait condamné en octobre. Mais on est extrêmement inquiets, parce que ce qu’il s’est passé hier à 18h15, sur ce secteur de la Conte, un secteur sensible, on le sait très bien, avec de la délinquance et des trafics, ce n’était pas un guet apens. C’est juste un contrôle qui a dégénéré.

    David LeyraudSyndicat Police Alliance

    Les phénomènes similaires s’enchainent dans la préfecture de l’Aude. « Ca fait plus d’une dizaine de fois que ça arrive depuis septembre 2020. En octobre, on en était déjà à quatre ou cinq, ça ne s’est pas calmé à Noël. On est le 5 février, ça ne se calme toujours pas » déplore David Leyraud.

    Actu.fr

  • Carcassonne (11) : un Bordelais, âgé de 28 ans, condamné pour avoir violé, violenté et dépouillé une femme, qu’il avait suivie jusqu’à chez elle (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2020

    26/11/2020

    Mike Yassegou, un Bordelais âgé de 28 ans, répondait de faits de “viol” et de “vol avec violence ayant entraîné une incapacité supérieure de 8 jours”, commis au cours de l’année 2018, depuis lundi dernier devant la cour d’assises de l’Aude à Carcassonne. Verdict après quatre heures de délibéré : 20 ans de réclusion criminelle dont les deux tiers de la peine avec sûreté, 10 ans de suivi socio-judiciaire (5 ans de prison au cas où il ne respecterait pas ce suivi). L’avocat général avait requis 20 ans de réclusion criminelle avec 12 ans de sûreté. Pour information, l’accusé est en détention provisoire depuis le 4 décembre 2018 à Béziers.

    La Dépêche

    23/11/2020

    Assises de l’Aude : huis clos pour l’auteur présumé d’un viol et d’un vol avec violence à Limoux

    […]

    c’est Mike Yassegou, un Bordelais âgé de 28 ans, qui aura à répondre de faits de “viol” et de “vol avec violence ayant entraîné une incapacité supérieure de 8 jours”, commis au cours de l’année 2018. Pour information, l’accusé est en détention provisoire depuis le 4 décembre 2018 à Béziers.

    Ce lundi matin, à la demande des avocats des parties civiles, la tenue des débats à huis clos a été ordonnée, comme il est de droit, par la présidente Anne Haye… Sur les faits, pour lesquels l’accusé est défendu par Me Dalil Ouahmed du barreau de Montpellier, nous avons appris que ce dernier aurait suivi une femme à sa sortie du bar le Tivoli, à Limoux, avant de la coincer chez elle et de la violer. L’auteur serait ensuite reparti après avoir volé sa victime…

    […]

    L’article dans son intégralité sur L’Indépendant

  • Carcassonne : l’« œuvre » éphémère de l’artiste contemporain a abîmé les murs de la cité

    Publié par guy Jovelin le 15 novembre 2019

    Au printemps 2018, nous évoquions les fameux murs de Carcassonne qui allaient être défigurés par une œuvre d’art contemporain, en écrivant que « les escrocs de l’art contemporain sont incapables de signifier quelque chose sans s’appuyer sur l’art véritable, celui de jadis, et en le souillant bien sûr. »

    Or, la souillure de cette escroquerie à l’art se révèle être finalement une claire dégradation du support, et alors que cette farce ne devait durer que quelques semaines, on apprend que les dégâts sont toujours là et risquent d’être longtemps visibles :

    « Voilà plus d’un an que l’œuvre du peintre plasticien Felice Varini s’est envolée par-dessus les remparts de la Cité médiévale. Cet habillage spectaculaire, fait de feuilles d’aluminium peintes en jaune, permettait aux visiteurs de découvrir ses «cercles concentriques excentriques» flashy sur le principe de l’anamorphose, jouant avec l’architecture crénelée de la forteresse. […]
    Cette création contemporaine, qui s’est inspirée de l’architecture de la Cité, a par contre un revers à sa médaille, et non des moindres. L’œuvre n’est, en réalité, pas si éphémère que cela puisque les traces laissées sur la pierre, plus d’un an après son démontage, continuent à zébrer les remparts moyenâgeux.

     

    Ces marques bien visibles pourraient désormais chagriner quelques-uns, voire beaucoup, des amateurs de vieilles pierres, et les emmener légitimement à s’interroger sur la raison de leur présence.

    Les Monuments Nationaux, le Ministère de la Culture, soucieux de la préservation et de la présentation du patrimoine, se sont-ils posé la question des éventuels effets indésirables de l’œuvre sur le monument ? » (Source la Dépêche) via contre-info