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carcassonne - Page 2

  • Carcassonne (11) : la voiture du CPE incendiée dans l’enceinte d’un collège qui s’emploie à participer au maintien du « vivre ensemble » au cœur du quartier La Conte

    Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2021

    Les faits sont survenus peu après 18 h, lundi 6 décembre, alors que deux individus avaient pris la fuite après avoir été repérés dans l’enceinte de l’établissement. Une cellule d’écoute a été déployée par les services de l’Education nationale, et les cours suspendus pour l’après-midi ce mardi 7 décembre, afin que l’ensemble des personnels de l’établissement puissent “se concerter”.

    Lundi 6 décembre, c’est dans un collège Jules-Verne désert – ou presque, puisque des conseils de classe se tenaient dans des salles isolées -, que des agents d’entretien ont distingué deux silhouettes dans l’établissement. Une présence forcément anormale à 18 h 20, qui a mené les personnels à tenter de se rapprocher des individus. “Les deux personnes ont pris la fuite. Les agents ont vu l’un d’eux quitter l’établissement, et ont perdu de vue l’autre, précisait ce mardi 7 décembre le principal Frédéric Albarel. Et alors qu’ils revenaient vers l’accueil de l’établissement, ils ont entendu une détonation et aperçu une flammèche blanche.” Sur le parking du collège, un véhicule est en feu : “Celui qui était stationné le plus près du portail du collège”, précise le principal : “Ils ont à nouveau vu deux personnes prendre la fuite.” Munis d’un extincteur, les agents tenteront alors de maîtriser l’incendie, avant que les pompiers et la police ne rallient les lieux.

    […]

    Alors qu’une plainte a été déposée et que des réunions prévues en soirée ont fait l’objet d’un report, des patrouilles de police seront systématisées “en début de matinée et en soirée” aux abords de l’établissement, jusqu’aux vacances scolaires, confirmait le directeur départemental de la sécurité publique Laurent Coindreau. Restent les inconnues sur les motivations des auteurs : “On s’est évidemment posé des questions, notamment en raison de la fonction du propriétaire de la voiture, le conseiller principal d’éducation, qui est en contact direct et fréquent avec les familles, précisait Frédéric Albarel. Mais aucun fait ne nous est revenu. On se sent agressé comme institution, mais il n’y a rien aujourd’hui qui nous met en conflit avec notre environnement. Le collège a vocation d’essayer d’apporter quelque chose de positif. On envisage cet acte comme quelque chose d’isolé, mais on est déstabilisé, face à cet acte grave et agressif.”

    […]

     

    L’Indépendant via fdesouche

  • Flambée de violence entre gangs mafieux à Carcassonne (11) : pompiers et policiers attaqués, incendies, un jeune tué par balle, un autre au couteau

    Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2021

    Flambée de violence à Carcassonne : deux jeunes sont morts

    Dimanche soir, deux jeunes sont morts à Carcassonne sur fond de trafic de drogue.

    Les violences ont éclaté dans le quartier de Grazailles à Carcassonne dimanche soir sur fond de trafic de drogue. Les policiers, les sapeurs-pompiers ont été la cible de jets de projectiles, des containers ont été mis à feu. Sur les coups de 22 h 30, un véhicule de la brigade anticriminelle a été dégradé.

    Ces terribles événements ont débouché sur l’affrontement entre deux bandes rivales. Des coups de feu ont été tirés. Deux jeunes carcassonnais sont morts. L’un par balles, l’autre victime de coups de couteau.

    www.lindependant.fr via fdesouche

  • Carcassonne : “Je vais te crever les yeux… Je vais te tuer, toi et tes proches…” un ancien athlète marocain condamné pour “menace de mort réitérée”

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2021

    fdesouche

    Carcassonne : “Je vais te crever les yeux… Je vais te tuer, toi et tes proches !”

     

    […]

     

    L’histoire remonte au samedi 25 septembre à Carcassonne. Ce jour-là, c’est à 16 h 20 que les policiers interviennent sur le secteur de La Conte dans la rue Claude-Perrault, où une automobiliste était bloquée sur la route par son futur ex-concubin. Ils sont en instance de divorce, mais il a visiblement du mal à comprendre la situation. “Je vais te crever les yeux… Je vais te tuer, toi et tes proches…”. Voilà le type de menaces lancées à la figure de cette femme qui souhaite aujourd’hui couper les ponts. “Mes enfants sont des victimes collatérales. Ce n’est pas normal qu’ils aient vécu ça ! Ça fait six mois que je me cache dans des hôtels, mais il arrive toujours à savoir où je suis…”, explique la victime qui bénéficiait d’un téléphone grave danger (TGD).

    Condamné à 4 mois ferme

    Face au tribunal, le prévenu n’a su que dire qu’il regrettait “ce qui était sorti de ma bouche”. En revanche, il a contesté le fait d’avoir pris connaissance de l’ordonnance de protection. Il comprend le Français, l’écrit “avec beaucoup de fautes” et ne sait pas vraiment le lire. Aux intérêts de la victime, présente à l’audience, Me Manon Crochet est revenu sur le sentiment de sa cliente qui “n’en peut plus. Ce qu’elle veut, c’est avoir une vie normale, sans avoir à surveiller s’il n’est pas sur le secteur. Il n’a jamais cessé de la suivre. Ma cliente a envie de ne plus avoir peur de se faire violer, de mourir ou qu’il enlève ses enfants…”

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur L’Indépendant

  • Carcassonne (11) : il faut maintenant réparer les dégâts

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

     

    Le Centre des monuments nationaux (CMN) a demandé au Centre interdisciplinaire de conservation et de restauration du patrimoine (CICRP) de travailler sur la question. Le CICRP, qui dépend entre autres du ministère de la Culture et intervient dans le domaine de la conservation curative, doit élaborer un protocole scientifique pour venir à bout des traces laissées par l’œuvre de Felice Varini sur la cité médiévale.
    Entre ceux qui craignaient que les bandes d’aluminium collées sur la Cité détériorent durablement la pierre et ceux qui juraient que cette œuvre d’art contemporain ne l’altérerait pas, le débat est désormais tranché : les premiers avaient vu juste. Le temps leur a donné raison.

    Source l’indépendant via fdesouche

  • “C’est la guerre” : à Carcassonne, des policiers pris dans un guet-apens et visés par des tirs de mortiers aux cris de “Wallah !”

    Publié par Guy Jovelin le 06 février 2021

    Dans la nuit du jeudi 4 au vendredi 5 février, au cœur du quartier La Conte à Carcassonne, la police et des bus ont été la cible de tirs nourris de mortiers d’artifices.

    (…) Le policier confie qu’il n’a pas eu peur, mais il conçoit que des éléments plus jeunes puissent avoir la boule au ventre quand ils se rendent sur de tels événements: “Il faut avoir du métier pour affronter ces situations, et de l’entraînement. La police municipale a beaucoup évolué ces dernières années, mais en face ils évoluent encore plus vite. On voit aujourd’hui à Carcassonne ce qu’on voyait habituellement dans les grandes villes comme Marseille ou Paris. Sur le terrain, les “grands frères” nous disent de laisser faire, comme s’il fallait que jeunesse se fasse. Mais il ne s’agit pas d’un jeu, c’est bien plus grave que ça: c’est un entraînement, ils se préparent, ils apprennent à viser, à se replier, à tendre des embuscades. Ils ont 15-16 ans mais il ne faut pas prendre ça à la légère. Plus ça va aller, plus ce sera difficile: là, encore, avec le couvre-feu on a la possibilité de les faire rentrer, mais quand ce sera fini on va avoir de grosses surprises”.

    (…) Or, la nuit du jeudi 4 février fut caractérisée par une attaque préméditée aux mortiers d’artifices, au cœur du quartier La Conte, sur des agents de la police municipale. Des scènes terribles filmées via Snapchat en toute fierté par les auteurs de ces attaques scandaleuses aux cris de «wallah»! Certains des ces agents ont été blessés à la jambe et sont devenus sourds quelques heures…

    (…) La Dépêche

    « Ca n’arrête pas… »

    18h15, les policiers municipaux réalisent un contrôle de routine. « Il a rapidement dégénéré, avec plusieurs dizaines d’individus qui se sont rapprochés » raconte David Leyraud, délégué régional adjoint du syndicat Police Alliance. « La police nationale est arrivée en renfort. »

    Très rapidement, policiers municipaux et nationaux ont été la cible de nombreux tirs de mortiers d’artifice venant de plusieurs endroits. Ca n’arrête pas. Certes, la préfète l’avait condamné en octobre. Mais on est extrêmement inquiets, parce que ce qu’il s’est passé hier à 18h15, sur ce secteur de la Conte, un secteur sensible, on le sait très bien, avec de la délinquance et des trafics, ce n’était pas un guet apens. C’est juste un contrôle qui a dégénéré.

    David LeyraudSyndicat Police Alliance

    Les phénomènes similaires s’enchainent dans la préfecture de l’Aude. « Ca fait plus d’une dizaine de fois que ça arrive depuis septembre 2020. En octobre, on en était déjà à quatre ou cinq, ça ne s’est pas calmé à Noël. On est le 5 février, ça ne se calme toujours pas » déplore David Leyraud.

    Actu.fr