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collège

  • Elle sort du collège, un inconnu l’aborde dans la rue pour l’entraîner chez lui : 1 an de sursis et une interdiction du territoire français pour un Egyptien clandestin reconnu coupable d’atteinte sexuelle sur une ado de 13 ans à Reims

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2022

    L’avait-il repérée les jours précédents ? D’habitude, cette élève du collège Pierre-Brossolette à Reims rentre chez elle le midi accompagnée de son petit ami. Ce 29 septembre 2022, elle est seule. À peine arrivée sur le boulevard Charles-Arnould, la demoiselle âgée de 13 ans remarque un homme qui la « fixe du regard ». Elle s’inquiète, au point d’alerter sa mère et des copines par SMS, tout en marchant. Alors qu’aucune réponse ne lui est encore parvenue, elle se retourne et voit l’individu qui se rapproche d’elle à grands pas, en la sifflant.

    Le prévenu conteste avoir touché la collégienne, malgré son ADN retrouvé au coin de la bouche. Explication : il lui a parlé très près, ce sont peut-être les postillons

    D’après le récit de la collégienne (les faits sont contestés), l’homme lui demande son numéro de téléphone et son identifiant Instagram. Confronté à un refus, il la rattrape, lui pose la main sur l’épaule et la pousse de l’autre côté du boulevard pour l’amener au fond d’une cour d’immeuble, devant un escalier extérieur menant à son domicile. Il lui propose de boire un verre chez lui. Nouveau refus.

    Toujours d’après les déclarations de la plaignante, l’individu approche sa tête de la sienne, pose sa joue sur « le coin de la bouche », lui caresse la poitrine par-dessus la veste puis la saisit par le bras pour lui faire monter l’escalier. Confronté au refus insistant de la collégienne, il la laisse partir, non sans lui avoir proposé de se rendre dans le jardin derrière l’immeuble. La jeune fille court se réfugier au restaurant Bert’eat, où les policiers la découvrent en pleurs. Sur ses indications, ils vont inspecter la cour de l’immeuble. L’individu s’y trouve encore.

    […]

     

    Après un long délibéré, le tribunal a finalement déclaré le prévenu coupable des faits reprochés : un an de prison avec sursis, obligation d’indemniser la partie civile à hauteur de 1 800 euros, inscription au fichier des délinquants sexuels, interdiction de tout contact avec les mineurs pendant dix ans et interdiction du territoire français pendant la même période.

    L’Union via fdesouche

  • Carcassonne (11) : la voiture du CPE incendiée dans l’enceinte d’un collège qui s’emploie à participer au maintien du « vivre ensemble » au cœur du quartier La Conte

    Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2021

    Les faits sont survenus peu après 18 h, lundi 6 décembre, alors que deux individus avaient pris la fuite après avoir été repérés dans l’enceinte de l’établissement. Une cellule d’écoute a été déployée par les services de l’Education nationale, et les cours suspendus pour l’après-midi ce mardi 7 décembre, afin que l’ensemble des personnels de l’établissement puissent “se concerter”.

    Lundi 6 décembre, c’est dans un collège Jules-Verne désert – ou presque, puisque des conseils de classe se tenaient dans des salles isolées -, que des agents d’entretien ont distingué deux silhouettes dans l’établissement. Une présence forcément anormale à 18 h 20, qui a mené les personnels à tenter de se rapprocher des individus. “Les deux personnes ont pris la fuite. Les agents ont vu l’un d’eux quitter l’établissement, et ont perdu de vue l’autre, précisait ce mardi 7 décembre le principal Frédéric Albarel. Et alors qu’ils revenaient vers l’accueil de l’établissement, ils ont entendu une détonation et aperçu une flammèche blanche.” Sur le parking du collège, un véhicule est en feu : “Celui qui était stationné le plus près du portail du collège”, précise le principal : “Ils ont à nouveau vu deux personnes prendre la fuite.” Munis d’un extincteur, les agents tenteront alors de maîtriser l’incendie, avant que les pompiers et la police ne rallient les lieux.

    […]

    Alors qu’une plainte a été déposée et que des réunions prévues en soirée ont fait l’objet d’un report, des patrouilles de police seront systématisées “en début de matinée et en soirée” aux abords de l’établissement, jusqu’aux vacances scolaires, confirmait le directeur départemental de la sécurité publique Laurent Coindreau. Restent les inconnues sur les motivations des auteurs : “On s’est évidemment posé des questions, notamment en raison de la fonction du propriétaire de la voiture, le conseiller principal d’éducation, qui est en contact direct et fréquent avec les familles, précisait Frédéric Albarel. Mais aucun fait ne nous est revenu. On se sent agressé comme institution, mais il n’y a rien aujourd’hui qui nous met en conflit avec notre environnement. Le collège a vocation d’essayer d’apporter quelque chose de positif. On envisage cet acte comme quelque chose d’isolé, mais on est déstabilisé, face à cet acte grave et agressif.”

    […]

     

    L’Indépendant via fdesouche

  • Marseille : Les enseignants de Jules-Ferry inquiets de la flambée de violence dans leur collège, des profs insultés et menacés. “Pour une simple chaise à déplacer, ça peut exploser”

    Publié par Guy Jovelin le 14 février 2021

    C’est devenu intenable.” Danielle Devos, professeure d’anglais, résume le malaise général au sein du collège Jules-Ferry, dans le quartier Saint-Louis à Marseille. “Depuis la rentrée, les actes de violence se banalisent, pour une simple chaise à déplacer, ça peut exploser“. Laetitia Gutierrez, professeure de mathématique, confirme : “Des insultes quotidiennes, des menaces répétées, y compris de la part de certains parents, deux élèves ont été trouvés porteurs d’arme blanche dans leur sac à dos.

    Violence physique et verbale

    Un climat de violence qui a dépassé les limites cette semaine. Mercredi, c’est une élève qui a agressé physiquement un enseignant : “Elle lui a arraché son masque et lui a craché dessus en plein visage avant de lui donner des coups de pied” explique Danielle Devos. Et jeudi, deux dealers qui voulaient échapper à un contrôle de police ont pénétré sur le terrain de sport en plein cours d’EPS, devant des élèves et un prof médusés. “Ils auraient pu être armés, comment aurions-nous alors réagi ?” s’interroge une enseignante.

    Le corps enseignant est unanime : depuis le second confinement et les nouvelles mesures de restrictions sanitaires liées au couvre-feu, la tension se ressent à tous les étages dans la cité Campagne Lévêque, située juste à côté.  Le nombre d’élèves décrocheurs a explosé, les règles de vie ne sont plus respectées par des groupes d’élèves de plus en plus importants. Ceux qui veulent encore travailler ont toutes les peines du monde à le faire. (…)

    France Bleu via fdesouche

  • Allauch (13) : un short crée la discorde dans un collège

    Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2020

     

    Shorts, jupes, décolletés… Les restrictions vestimentaires seraient-elles plus sévères envers les filles ? Apparemment oui, selon des responsables et professeurs d’un collège d’Allauch. Une jeune fille a été réprimandée en raison de sa tenue vestimentaire. 

    France 3 via fdesouche