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castres - Page 2

  • Castres (81) : une jeune femme violée à sa sortie de boite de nuit, un suspect originaire de la Guinée écroué

    Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2021

    Les enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine (BSU) de Castres et de la police judiciaire de Toulouse ont travaillé sans relâche durant deux semaines pour identifier et interpeller l’auteur présumé du viol d’une jeune femme de 22 ans. Le suspect âgé de 18 ans a été mis en examen et écroué.

    C’est dans une boite de nuit de Castres que le violeur présumé a croisé le chemin de sa victime, dans la nuit du 9 au 10 octobre dernier. Cette jeune femme de 22 ans a été violée après avoir quitté l’établissement, puis abandonnée à Saint-Hippolyte dans un lieu isolé, à plusieurs kilomètres de cette discothèque où elle se trouvait avec plusieurs de ses amis. Ces derniers ont donné l’alerte après l’avoir retrouvée vers 4 heures du matin indique une source proche de l’affaire.

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    Identifié notamment à l’aide de son ADN

    Les enquêteurs ont également réalisé des surveillances ainsi qu’un travail de téléphonie avec l’appui de leurs collègues de la PJ, pour tenter de mettre la main sur le violeur. Un suspect âgé de 18 ans, déjà connu des services de police a alors été identifié, « notamment à l’aide des résultats des prélèvements ADN ». Cet homme originaire de la Guinée, apprenti dans le bâtiment, a été interpellé sur son lieu de travail lundi matin avant d’être placé en garde à vue. Un sous-vêtement appartenant à la victime, dérobé au moment du viol, aurait été découvert lors de la perquisition de son domicile, situé à une trentaine de kilomètres de Castres.

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    Actu17 via fdesouche

  • Incendie à Castres : les voitures étaient-elles piégées pour blesser les pompiers?

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2019
    Les sapeurs-pompiers sont intervenus pour plusieurs feux de véhicules cette nuit-là
    Les sapeurs-pompiers sont intervenus pour plusieurs feux de véhicules cette nuit-làPhoto DDM, P.B.
    Les pompiers ont déposé plusieurs plaintes suite à leur intervention de la nuit du 27 au 28 octobre. Les véhicules auraient été piégés. "Des dispositifs" auraient été placés dans les voitures afin d’exploser lors des interventions des forces de sécurité, indiquent des représentants syndicaux des sapeurs-pompiers.

    Depuis plusieurs semaines, les pompiers ont dû intervenir à plusieurs reprises à Castres, pour des feux de poubelles et de voitures. Ces incidents ont pour point commun des représailles à des actions de la police et de la justice contre des trafics commis dans ces quartiers. Le maire de Castres Pascal Bugis était sorti de son silence, pour fustiger le «laxisme des services de l’Etat».

    Dans la nuit du dimanche 27 au lundi 28 octobre à Castres (Tarn), dans le quartier de Lameilhé, rue Goya,  quatre voitures et trois poubelles ont été incendiées entre 19h et 0h30, nécessitant de nouveau l’intervention des sapeurs-pompiers. Deux ont été blessés au cours de cette nuit. L’un relativement légèrement, l’autre plus sérieusement, aux tympans, avec 15 jours d’ITTà la clé (interruption totale de travail).

    Plaintes déposées

    Plusieurs plaintes ont été déposées, par les pompiers blessés et le SDIS81 (service départemental d’incendie et de secours). "Les voitures auraient été piégées, avec l’intention de blesser les pompiers", selon Damien Garel du syndicat autonome des pompiers du Tarn (SPP-PATS) et porte-parole de l’intersyndicale CGT. «Il y avait clairement une intention de blesser les intervenants. Ça ne fait aucun doute. Il y avait dans plusieurs véhicules des dispositifs qui n’ont rien à faire dans une voiture, sinon pour blesser des gens», s’insurge le représentant syndical. «Pour les sapeurs-pompiers qui sont intervenus ce soir-là, il n’y a pas de doute : ils ont bien été victimes d’un acte de malveillance.  Les collègues sont particulièrement inquiets».

    L’enquête se poursuit pour retrouver les auteurs

    Si des plaintes ont bien été déposées, c’est l’enquête qui déterminera si ces dispositifs étaient là volontairement pour blesser les sapeurs-pompiers. Entendus par les enquêteurs, les propriétaires des voitures incendiées ont précisé que les engins explosifs, à savoir des bombes aérosols, ne leur appartenaient pas et avaient été placés par un tiers.

    «C’est maintenant à la justice de faire son travail, et nous avons toute confiance. À chaque fois que des collègues sont blessés, la réponse pénale est adaptée, les agresseurs sont toujours sévèrement punis. Encore faut-il bien sûr arrêter les coupables», ajoutait hier Damien Garel.

    Un communiqué du syndicat autonome circule depuis plusieurs jours, demandant aux sapeurs-pompiers en intervention de rester vigilent suite à ces incidents.

     
    Ra. B.
     
     
    Source : ladepeche.fr
  • Une femme séquestrée, violée et prostituée dans un camp de gens du voyage à Castres (81) : 2 suspects écroués

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2019

    C’est cette affaire sordide qui a déclenché ce mardi l’importante opération de police sur le camp des gens du voyage de la Vivarié à Castres (Tarn).

    A l’origine, le dépôt de plainte en 2017 d’une femme de 46 ans maintenue de force pendant plus d’un an dans une caravane. Son calvaire commence à l’été 2016 quand elle sympathise avec une femme issue de la communauté des gens du voyage. Elle la fait venir sur le camp de la Vivarié et ne lui permettra plus d’en sortir pendant plus d’un an.

  • Castres (81) : règlement de compte à la machette en plein centre-ville

    Ce mardi, aux alentours de 13 heures, une bagarre entre deux individus a éclaté dans un salon coiffeur-barbier, rue Fuziès à Castres (Tarn). La rixe s’est poursuivie à coups de machette contre les tables d’un restaurant où déjeunaient des clients.

    (…) Dans le feu de l’action, l’un des deux protagonistes s’est précipité jusqu’à son domicile, pour aller chercher une machette. Il est ensuite revenu en découdre au salon, blessant à l’épaule l’autre individu.

    La rixe s’est poursuivie à l’extérieur de l’établissement, contre les tables d’un restaurant situé juste à côté du salon où déjeunaient des clients en terrasse. Selon un serveur, l’un des protagonistes (celui blessé à l’épaule) aurait été aperçu machette à la main, courir après l’autre, le t-shirt taché de sang. (…)

     

    La Dépêche via fdesouche

  • Castres (81). Elle refuse ses avances, il l’agresse

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2019

    Par  le 23/06/2019

    Quelques phrases de drague un peu lourdes, lâchées à la va-vite dans la rue. L’histoire aurait pu s’arrêter là, mais les choses dérapent. « T’es un boulet de canon », « t’es vraiment charmante »… Ce soir-là, un homme de 22 ans, alcoolisé, croise une jeune femme – qui attend son petit ami – et tente une approche un peu cavalière et agressive. Celle-ci, l’ignore et préfère ne pas lui répondre. Contrarié par ce refus, l’homme transforme les mots doux en insultes et alors que la jeune femme lui tourne le dos, il lui assène un coup de pied à la jambe et un coup de poing au visage. Le petit copain de la victime qui vient d’arriver, assiste à la scène et se précipite pour aller sauver sa petite amie. La situation dégénère. Deux amis de l’agresseur arrivent et prennent à partie le petit ami de la jeune femme. Un peu dépassée par les événements, celle-ci finira par appeler la police. Bleus aux joues, plaie au niveau de la bouche, douleurs cervicales… L’épisode a valu à la victime, 5 jours d’ITT et trois pour son ami.

    Jeudi, les trois individus âgés entre 22 et 25 ans ont comparu devant le tribunal. « Je sais que quand je bois, je dérape. Je m’en mords les doigts aujourd’hui », a confié l’agresseur principal, originaire de Castres et bien connu de l’institution judiciaire. Les deux autres prévenus diront avoir tenté de s’interposer dans la bagarre pour « régler les choses ».

    Après délibération, le tribunal a condamné le premier prévenu à 12 mois de prison dont quatre assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve pendant 2 ans avec l’obligation de travailler et de se soigner. Les deux autres individus ont été condamnés à 4 mois de prison ferme.

    (…) La dépêche via fdesouche