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chine - Page 4

  • Chine : une entreprise de plusieurs milliers de salariés a pour PDG une « intelligence artificielle »

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2022

    Tang Yu, une femme robot, est devenue la PDG de l'entreprise Netdragon Websoft, l'un des leader chinois du jeu vidéo. (NETDRAGON WEBSOFT / CAPTURE ÉCRAN)

    La Chine communiste, toujours une étape en avance, quelque soit le domaine, tant que c’est inhumain, contre-nature ou liberticide…

    « Ce n’est pas de la science-fiction. Une femme robot vient d’être nommée à la tête d’une grosse entreprise chinoise. L’un des leaders chinois du jeu vidéo, NetDragon Websoft, est à l’origine de cette première et a confié sa filiale, Fujian NetDragon Websoft, à une intelligence artificielle. L’idée remonte en fait à plusieurs années. En 2017, grâce à l’IA, la société décide de créer un personnage virtuel et de lui donner des responsabilités. L’entreprise, à l’époque, a envie de montrer à ses clients que l’intelligence artificielle qu’elle développe pour ses jeux peut aussi fonctionner dans la vie réelle de l’entreprise.

    Ce personnage est donc Tang Yu, une femme robot qui a commencé par occuper le poste de numéro 2 de l’entreprise, avant d’être nommée à un poste de PDG tournant de la société. C’est inédit. NetDragon Websoft compte plusieurs milliers de salariés et brasse des milliards de dollars. En interne, on appelle ça un dirigeant numérique virtuel mais qui a tout de même une apparence physique. Le visage de la PDG robot apparaît sur les écrans d’ordinateurs sous la forme d’un humanoïde, avec son, costume strict, sa coupe de cheveux parfaite. Grâce à l’intelligence artificielle, elle est aussi capable de s’exprimer.
    Mais est-ce que c’est réellement le robot qui dirige l’entreprise ? Oui et non, parce qu’évidemment, ce sont des humains qui programment le robot et qui peuvent à tout moment le débrancher. Ses pouvoirs ne sont donc pas illimités, mais une fois le programme lancé, la PDG robot travaille de façon presque « normale ». Elle est en mesure d’approuver, signer des documents, comme tout PDG, mais aussi de gérer des projets, évaluer les performances du personnel, et décider éventuellement de sanctions. « Tang Yu rationalisera les process, améliorera la qualité des tâches de travail et la vitesse d’exécution », se réjouit NetDragon. L’entreprise met en avant sa rationalité et sa logique, car contrairement aux humains, elle n’a pas de sentiments. Le PDG robot présente l’avantage de travailler 24 heures sur 24, et tout ça, sans être payée. »  (source)

  • Chine. Bouter les étrangers hors du pays ?

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2022

    Beaucoup d’entreprises installées de longue date en Chine croient percevoir un climat des affaires de plus en plus hostile pour elles.

    La Chine aux Chinois : serait-ce le message des autorités centrales à l’encontre des entreprises étrangères de tout poil ? Le débat fait rage au sein des multinationales. Il faut dire qu’à Shanghai, dans le petit monde des expatriés, la rentrée a été rythmée par les annonces de remplacement d’étrangers à la tête de filiales de fleurons industriels européens par des dirigeants chinois. Vraie volonté de sinisation des équipes ou obligation conjoncturelle ?

    Il y a d’abord un effet certain du contexte de la pandémie qui affecte la volonté des hauts cadres de rester en Chine. Certains se sont éclipsés pendant le confinement de Shanghai quand d’autres étaient en pleine négociation pour un retour accéléré dès l’été.

    Le Point via fdesouche

  • La Chine annonce un exercice militaire au large de Taïwan avant une possible visite de Nancy Pelosi

    Publié par Guy Jovelin le 01 août 2022

    La Chine estime que Taïwan, une île peuplée d’environ 23 millions d’habitants, est l’une de ses provinces, qu’elle n’a pas encore réussi à réunifier avec le reste de son territoire depuis la fin de la guerre civile chinoise (1949). Opposé à toute initiative donnant aux autorités taïwanaises une légitimité internationale, Pékin est vent debout contre tout contact officiel entre Taïwan et d’autres pays.

    Or, si des responsables américains se rendent fréquemment dans cette île, la Chine juge qu’une visite de Nancy Pelosi, l’un des plus hauts personnages de l’État américain, serait une provocation majeure. Dans ce contexte, les autorités chinoises chargées de la sûreté maritime ont fait savoir qu’un « exercice militaire » serait organisé samedi au large de l’île de Pingtan, située en face de Taïwan.

    « Des tirs à munitions réelles seront effectués et toute entrée dans ces eaux sera interdite », précise l’État chinois. Nancy Pelosi n’est pas mentionnée dans le communiqué. Mais Pékin menace depuis plusieurs jours de « conséquences » si elle mène à bien son projet de déplacement.

    Lire l’article entier sur sudouest.fr

  • Il refuse d’adhérer à l’association patriotique : son église est détruite

    Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2022

    Il refuse d’adhérer à l’association patriotique : son église est détruite

    Une église du diocèse de Zhengding (Chine) a été détruite par les autorités du pays, car le père Dong Baolu, curé de la paroisse, a refusé d’adhérer à l’Association patriotique catholique chinoise, contrôlée par le Parti communiste chinois.

    La démolition a eu lieu alors que le père Dong, qui souffre d’hémiplégie (paralysie d’une partie du corps), était à l’hôpital pour un contrôle. Il a indiqué par ailleurs qu’il est le seul parmi les quelque 100 prêtres du diocèse à avoir refusé de prêter allégeance à l’Église officielle contrôlée par le Parti.

    En 2018, la Chine et le Vatican ont signé un accord sur la nomination des évêques, qui a été renouvelé en octobre 2020. Malgré cela, la persécution contre la communauté catholique, en particulier l’Église dite souterraine, n’a pas cessé. L’étau semble même s’être resserré autour des catholiques chinois qui voient leur autonomie réduite à peau de chagrin. Le 1er juin, le gouvernement a ainsi interdit aux Églises d’utiliser leurs finances sans en référer au PCC en amont.

     

    Source : lesalonbeige

  • Bracelet électronique obligatoire pour les personnes positives au Covid à Hong Kong ! Bientôt en Europe ?

    Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2022

    La presse nous apprend que les autorités de la région de Hong Kong ont annoncé la mise en place de bracelets électroniques pour les personnes testées positives au Covid-19 ! Cette nouvelle mesure liberticide est d’application depuis le 15 juillet et, tel un vulgaire délinquant, le port du bracelet électronique sera obligatoire pour toutes les personnes positives au Covid-19 avec de lourdes peines pour les récalcitrants qui s’exposeront à une amende pouvant aller jusqu’à 25 000 dollars de Hong Kong, soit près de 3 100 €, et jusqu’à six mois de prison. « Nous devons nous assurer que l’isolement à domicile soit plus précis tout en restant humain, a déclaré avec cynisme Lo Chung-Mau, nouveau secrétaire à la Santé de Hong Kong. Si nous donnons la liberté aux personnes malades et leur permettons de se promener, cela limitera la liberté de ceux qui sont négatifs », a-t-il ajouté.

    Au début de l’annonce d’une pandémie, en 2020, le gouvernement de Hong Kong  avait déjà rendu le bracelet électronique obligatoire pour les nouveaux arrivants. Un type de bracelet avec un QR code rattaché à une application et un autre genre, plus technologique, qui pouvait suivre les mouvements de l’utilisateur.

    La presse européenne mainstream décrit ces nouvelles mesures sans le moindre commentaire négatif, contribuant à préparer les esprits à trouver ces mesures normales et acceptables lorsque les gouvernements européens copieront cette directive de surveillance communiste chinoise comme ils copient déjà progressivement la mise en place de mesures devant conduire au système de crédit social à la chinoise.

     

    Source : medias-presse.info