Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

chine - Page 8

  • La Chine, modèle de la France de Macron : des millions de Chinois non vaccinés menacés d’être mis au ban de la société

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2021

    La Chine, modèle de la France de Macron : des millions de Chinois non vaccinés menacés d’être mis au ban de la société

    Le futur de la France s’écrit en Chine, si l’on en croit cet article de l’AFP :

    Interdits d’université, d’hôpital ou de supermarché… Des millions de Chinois sont menacés d’être mis au ban de la société s’ils ne sont pas vaccinés contre le Covid-19, selon des directives adoptées par une vingtaine de collectivités locales.

    La Chine, où le coronavirus a fait son apparition à la fin de 2019, a déjà administré plus de 1,4 milliard de doses de ses vaccins et prévoit d’immuniser totalement les deux tiers de sa population d’ici à la fin de l’année. Mais nombre de Chinois ne sont pas convaincus, soit qu’ils doutent de l’efficacité des vaccins, soit qu’ils ne jugent pas nécessaire de le faire puisque l’épidémie est pratiquement éradiquée dans le pays.

    Mais alors que le variant Delta, plus contagieux, circule dans les pays voisins, plusieurs villes et comtés tentent d’imposer la vaccination à leurs habitants — une démarche qui pourrait annoncer des mesures prises au plan national. Dans le Yunnan, la ville de Chuxiong (510.000 habitants) a ainsi annoncé mercredi 14 juillet au soir que tous les citoyens de plus de 18 ans devraient avoir reçu au moins une dose de vaccin avant le 23 juillet. Les récalcitrants «ne seront pas admis dans les lieux publics tels que hôpitaux, maisons de retraite, écoles, bibliothèques, musées, prisons ou transports publics», a averti la mairie. Un mois plus tard, seules les personnes ayant reçu deux injections pourront accéder à ces lieux.

    Dans le Henan, le comté de Tianhe a pour sa part menacé de licencier les fonctionnaires non vaccinés d’ici au 20 juillet, selon un avis publié lundi. Ces différentes mesures ont été critiquées sur les réseaux sociaux. «D’abord on nous a dit que la vaccination était facultative et maintenant ça devient obligatoire», tempête un internaute sur le réseau Weibo. «Je viens d’avoir ma deuxième dose mais cette politique ressemble à un oukase», se plaint un autre utilisateur.

     

    Source : lesalonbeige

  • Youpi ! La Chine va construire plus de 24 laboratoires comme l’Institut P4 de Wuhan – partout dans le monde

    Publié par Guy Jovelin le 07 juin 2021

    lesobservateurs

    Dans les prochaines années, le monde pourrait se réveiller avec près de 60 laboratoires de virologie de niveau 4 à sécurité maximale.

    La province de Guangdong a annoncé en mai qu’elle prévoyait de construire entre 25 et 30 laboratoires de biosécurité au cours des cinq prochaines années. Les installations seront disséminées aux quatre coins du globe, dans 23 pays, dont le Royaume-Uni, les États-Unis, l’Inde, le Gabon et la Côte d’Ivoire.

    « Qu’est-ce qui pourrait mal tourner ? », s’est interrogé ironiquement le journaliste de droite Jack Posobiec.

    L’actuel Institut de virologie de Wuhan est au centre d’une enquête des autorités américaines – malheureusement organisée par l’administration Biden, donc animée par des personnes qui sont en conflit d’intérêt, visant à déterminer si le COVID-19 a pu fuir de son laboratoire.

    Environ 75 % de ces installations sont ou seront construites dans des zones urbaines, ce qui inquiète les experts du monde entier quant à la possibilité de nouvelles « fuites » de laboratoire.

    Ces laboratoires, utilisés pour mener les recherches biologiques les plus dangereuses, ont proliféré au cours de la dernière décennie. Les scientifiques avertissent aujourd’hui que le relâchement des contrôles sur plusieurs sites pourrait entraîner une nouvelle pandémie.

    « Plus il y aura de travaux de recherche, plus il y aura d’accidents », a commenté Filippa Lentzos du King’s College de Londres, rapporte le Financial Times (1).

    Richard Ebright, professeur de biologie chimique à l’université Rutgers, est du même avis :

    « Plus le nombre d’institutions et d’individus ayant accès est important, plus le risque est grand.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.

    (1) https://www.ft.com/content/a0badd5d-4d88-4a3b-b019-61c6d8275caa

    source: https://www.dreuz.info/2021/06/07/youpi-la-chine-va-construire-plus-de-24-laboratoires-comme-linstitut-p4-de-wuhan-partout-dans-le-monde/

  • La Chine a confirmé le premier cas humain de grippe aviaire H10N3

    Publié par Guy Jovelin le 03 juin 2021

     
    juin 1, 2021
     

    Les autorités sanitaires chinoises ont annoncé ce mardi 1er juin qu’un premier cas de transmission entre l’animal et l’homme du virus de la grippe aviaire H10N3 avait été détecté. Mais le risque de propagation à grande échelle est faible.

    La Commission nationale chinoise de la santé a déclaré ce mardi 1er juin avoir confirmé dans la province de Jiangsu, dans l’est du pays, un premier cas de transmission à l’homme de la souche H10N3 de la grippe aviaire.

    Un risque de propagation du virus faible

    Le virus a été détecté chez un homme âgé de 41 ans résidant à Zhenjiang, a précisé la commission dans un communiqué publié sur son site internet, ajoutant que le risque de propagation à large échelle était très faible.

    Jamais un cas d’infection humaine par le H10N3 n’avait été rapporté auparavant dans le monde, a indiqué la commission.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Passeport sanitaire : le monde de demain existe déjà…en Chine

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2021

    Passeport sanitaire : le monde de demain existe déjà…en Chine

    Récit terrifiant de ce qui se passe en Chine et qui se prépare tranquillement en France : perte de toute liberté, traçage des déplacements…et ce, malgré la disparition du Covid.

    C’est le rituel dont en Chine il est désormais difficile de s’affranchir: scanner un code-barres avec son téléphone et montrer patte blanche, avec une appli qui délivre un laissez-passer “vert”, synonyme de bonne santé.

    A l’entrée d’un immeuble, d’un commerce ou d’un parc; pour prendre l’avion, le train ou un taxi; ou tout simplement pour rentrer chez soi, mieux vaut ne pas avoir sa batterie déchargée. Les applis de traçage n’ont jamais été aussi envahissantes, dans une Chine pourtant largement remise du Covid depuis le printemps dernier. Les nouveaux cas recensés chaque jour s’y comptent désormais sur les doigts de la main. Mais le nombre de contrôles des « codes santé » atteint lui un niveau sans précédent.

    Combien de fois par jour dois-je me plier à l’exercice?  Je ne les compte plus, tant les codes QR et leurs mosaïques à scanner sont omniprésents (…)

    Réservations de billets ou d’hôtels, géolocalisation, lieux de paiement: le téléphone portable s’avère un redoutable mouchard sanitaire, qui peut virer au rouge s’il borne près d’un foyer de contamination. Le gouvernement central peut ainsi disposer de données collectées sur l’ensemble des lieux visités, par quartiers, sur 14 jours.

    (…) C’est cette application qui va générer un code QR que je devrais montrer pour pouvoir accéder à un certain nombre de lieux. Si le code est vert, je peux passer. En revanche s’il est rouge, je devrais rebrousser chemin et être mis 14 jours en quarantaine. L’application calcule mon statut en fonction des lieux où je me suis rendu. Le fait par exemple d’avoir été près d’un foyer de contamination peut faire de moi une persona non grata. Elle a mille usages. On peut y consulter un historique des tests de dépistage. Si le dernier résultat est positif, mon QR code sera donc rouge. L’application mentionne aussi une éventuelle vaccination contre le Covid-19.

    Scanner un code QR à l’entrée d’un immeuble n’est pas sans conséquences: à Pékin, l’appli est directement associée à mon numéro d’identité. Et chaque fois que je scanne, je laisse une trace numérique de mon passage.

    En Chine, chaque résidence est surveillée et fait en principe l’objet de contrôles sanitaires (prise de température et parfois formulaire à remplir). Mes déplacements, les plus anodins soient-ils comme le fait de rendre visite à un ami, sont donc connus.

    Personne ne me force à avoir une appli de traçage. Mais dans les faits, il est devenu impossible de vivre sans. J’en ai fait l’expérience un jour à l’entrée de l’immeuble qui abrite les bureaux de l’AFP à Pékin(…) En Chine, les (rares) personnes qui ne disposent pas de téléphone ou les enfants en bas âge se voient remettre un code QR… à accrocher autour du cou. Il contient toutes les informations sur leur identité ainsi que leur adresse. Lors d’un contrôle, les autorités peuvent ainsi s’assurer que les individus ne proviennent pas d’une zone dite à risque.

    Dans l’un des pays les plus connectés au monde et où les questions de vie privée autour des données rencontrent peu d’intérêt, les géants du web et les opérateurs téléphoniques n’ont aucun mal à suivre à la trace les déplacements des Chinois.

    Le système a permis aux voyages d’un bout à l’autre du pays de reprendre. Mais les vacances ont des allures de parcours du combattantAvant d’embarquer sur un vol intérieur, les compagnies aériennes exigent un code santé spécifique. Lors d’un transit, il faut parfois en présenter un autre et à l’arrivée un troisième code est demandé. A chaque fois, il faut remplir sur son téléphone un formulaire électronique (…)

    Voyager en Chine est désormais un “casse-tête administratif”, peste un expatrié. J’ai parfois l’impression que l’épidémie a considérablement renforcé la surveillance en Chine.  Un clic sur mon code santé et les autorités peuvent déterminer avec une relative précision les endroits que j’ai fréquentés au cours des 14 derniers jours (…)

    Mais sous couvert de lutte contre le virus, les applis de traçage couplées au tentaculaire réseau de caméras du pays peuvent devenir pour le pouvoir un redoutable outil de surveillance.  Au printemps dernier, la presse avait rapporté le cas d’un homme en fuite depuis 24 ans et qui avait fini par se rendre aux autorités : sans smartphone ni appli de traçage, il lui était devenu impossible de se déplacer, d’entrer dans un magasin ou d’être embauché sur des chantiers (…) »

     

    Source : lesalonbeige

  • L’humiliation des catholiques en Chine se poursuit

    Publié par Guy Jovelin le 24 février 2021

    L’humiliation des catholiques en Chine se poursuit

    Le 23 juillet 1921 est la date de la fondation du Parti communiste chinois. L’événement s’est produit à Shanghai dans ce qui était autrefois la concession française. Cent ans après cette date, en 2021, les catholiques de Chine organiseront un colloque « en mémoire du centenaire de la fondation du Parti communiste chinois » et approfondiront leur compréhension des « événements émouvants de la période de la longue marche « , qui a jeté les bases de la victoire définitive de Mao Zedong sur Chiang Kai Shek.

    L’information est rapportée dans un article publié dans le magazine d’État catholique « L’Église en Chine », par un certain Hui Jing, citant une réunion préparatoire entre les évêques chinois et les dirigeants de l’Association patriotique, tenue début février.

    Le colloque et l’étude de la longue marche ne sont que quelques-uns des événements qui caractériseront le programme d’engagements ecclésiaux élaboré par le Conseil des évêques et l’AP pour cette année. L’article énumère «des cours de formation en collaboration avec l’Institut central du socialisme»; cours préparatoires à la réunion nationale de la « Conférence consultative politique du peuple chinois » (tenue en mars); la « construction de l’Association patriotique », et bien plus encore.

    Les catholiques sont d’abord tenus d’approfondir «les orientations du 19e Congrès national du Parti communiste chinois et de la 5e session plénière du 19e Congrès national», ainsi que d’assimiler «la pensée de Xi Jinping sur le socialisme aux caractéristiques chinoises pour une nouvelle ère », renforçant« notre conscience de la nécessité de maintenir l’intégrité politique, de penser en termes généraux, de suivre le cœur de la direction et de rester en ligne avec la direction centrale du Parti ».

    2021 sera une période où l’Église catholique en Chine devra «assimiler» la vision d’une «Église d’État», soumise en tous points aux ordres de l’Association patriotique et à la vision du Parti. Et malgré l’accord provisoire entre la Chine et le Vatican, avec la soi-disant reconnaissance du Pape comme chef de l’Église, le principe de « l’Église indépendante et autonome » et de « gestion démocratique » est réaffirmé, ce qui signifie en fait la soumission des évêques à l’Association patriotique.

     

    Source : lesalonbeige