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chine - Page 9

  • La Chine a confirmé le premier cas humain de grippe aviaire H10N3

    Publié par Guy Jovelin le 03 juin 2021

     
    juin 1, 2021
     

    Les autorités sanitaires chinoises ont annoncé ce mardi 1er juin qu’un premier cas de transmission entre l’animal et l’homme du virus de la grippe aviaire H10N3 avait été détecté. Mais le risque de propagation à grande échelle est faible.

    La Commission nationale chinoise de la santé a déclaré ce mardi 1er juin avoir confirmé dans la province de Jiangsu, dans l’est du pays, un premier cas de transmission à l’homme de la souche H10N3 de la grippe aviaire.

    Un risque de propagation du virus faible

    Le virus a été détecté chez un homme âgé de 41 ans résidant à Zhenjiang, a précisé la commission dans un communiqué publié sur son site internet, ajoutant que le risque de propagation à large échelle était très faible.

    Jamais un cas d’infection humaine par le H10N3 n’avait été rapporté auparavant dans le monde, a indiqué la commission.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Passeport sanitaire : le monde de demain existe déjà…en Chine

    Publié par Guy Jovelin le 09 mars 2021

    Passeport sanitaire : le monde de demain existe déjà…en Chine

    Récit terrifiant de ce qui se passe en Chine et qui se prépare tranquillement en France : perte de toute liberté, traçage des déplacements…et ce, malgré la disparition du Covid.

    C’est le rituel dont en Chine il est désormais difficile de s’affranchir: scanner un code-barres avec son téléphone et montrer patte blanche, avec une appli qui délivre un laissez-passer “vert”, synonyme de bonne santé.

    A l’entrée d’un immeuble, d’un commerce ou d’un parc; pour prendre l’avion, le train ou un taxi; ou tout simplement pour rentrer chez soi, mieux vaut ne pas avoir sa batterie déchargée. Les applis de traçage n’ont jamais été aussi envahissantes, dans une Chine pourtant largement remise du Covid depuis le printemps dernier. Les nouveaux cas recensés chaque jour s’y comptent désormais sur les doigts de la main. Mais le nombre de contrôles des « codes santé » atteint lui un niveau sans précédent.

    Combien de fois par jour dois-je me plier à l’exercice?  Je ne les compte plus, tant les codes QR et leurs mosaïques à scanner sont omniprésents (…)

    Réservations de billets ou d’hôtels, géolocalisation, lieux de paiement: le téléphone portable s’avère un redoutable mouchard sanitaire, qui peut virer au rouge s’il borne près d’un foyer de contamination. Le gouvernement central peut ainsi disposer de données collectées sur l’ensemble des lieux visités, par quartiers, sur 14 jours.

    (…) C’est cette application qui va générer un code QR que je devrais montrer pour pouvoir accéder à un certain nombre de lieux. Si le code est vert, je peux passer. En revanche s’il est rouge, je devrais rebrousser chemin et être mis 14 jours en quarantaine. L’application calcule mon statut en fonction des lieux où je me suis rendu. Le fait par exemple d’avoir été près d’un foyer de contamination peut faire de moi une persona non grata. Elle a mille usages. On peut y consulter un historique des tests de dépistage. Si le dernier résultat est positif, mon QR code sera donc rouge. L’application mentionne aussi une éventuelle vaccination contre le Covid-19.

    Scanner un code QR à l’entrée d’un immeuble n’est pas sans conséquences: à Pékin, l’appli est directement associée à mon numéro d’identité. Et chaque fois que je scanne, je laisse une trace numérique de mon passage.

    En Chine, chaque résidence est surveillée et fait en principe l’objet de contrôles sanitaires (prise de température et parfois formulaire à remplir). Mes déplacements, les plus anodins soient-ils comme le fait de rendre visite à un ami, sont donc connus.

    Personne ne me force à avoir une appli de traçage. Mais dans les faits, il est devenu impossible de vivre sans. J’en ai fait l’expérience un jour à l’entrée de l’immeuble qui abrite les bureaux de l’AFP à Pékin(…) En Chine, les (rares) personnes qui ne disposent pas de téléphone ou les enfants en bas âge se voient remettre un code QR… à accrocher autour du cou. Il contient toutes les informations sur leur identité ainsi que leur adresse. Lors d’un contrôle, les autorités peuvent ainsi s’assurer que les individus ne proviennent pas d’une zone dite à risque.

    Dans l’un des pays les plus connectés au monde et où les questions de vie privée autour des données rencontrent peu d’intérêt, les géants du web et les opérateurs téléphoniques n’ont aucun mal à suivre à la trace les déplacements des Chinois.

    Le système a permis aux voyages d’un bout à l’autre du pays de reprendre. Mais les vacances ont des allures de parcours du combattantAvant d’embarquer sur un vol intérieur, les compagnies aériennes exigent un code santé spécifique. Lors d’un transit, il faut parfois en présenter un autre et à l’arrivée un troisième code est demandé. A chaque fois, il faut remplir sur son téléphone un formulaire électronique (…)

    Voyager en Chine est désormais un “casse-tête administratif”, peste un expatrié. J’ai parfois l’impression que l’épidémie a considérablement renforcé la surveillance en Chine.  Un clic sur mon code santé et les autorités peuvent déterminer avec une relative précision les endroits que j’ai fréquentés au cours des 14 derniers jours (…)

    Mais sous couvert de lutte contre le virus, les applis de traçage couplées au tentaculaire réseau de caméras du pays peuvent devenir pour le pouvoir un redoutable outil de surveillance.  Au printemps dernier, la presse avait rapporté le cas d’un homme en fuite depuis 24 ans et qui avait fini par se rendre aux autorités : sans smartphone ni appli de traçage, il lui était devenu impossible de se déplacer, d’entrer dans un magasin ou d’être embauché sur des chantiers (…) »

     

    Source : lesalonbeige

  • L’humiliation des catholiques en Chine se poursuit

    Publié par Guy Jovelin le 24 février 2021

    L’humiliation des catholiques en Chine se poursuit

    Le 23 juillet 1921 est la date de la fondation du Parti communiste chinois. L’événement s’est produit à Shanghai dans ce qui était autrefois la concession française. Cent ans après cette date, en 2021, les catholiques de Chine organiseront un colloque « en mémoire du centenaire de la fondation du Parti communiste chinois » et approfondiront leur compréhension des « événements émouvants de la période de la longue marche « , qui a jeté les bases de la victoire définitive de Mao Zedong sur Chiang Kai Shek.

    L’information est rapportée dans un article publié dans le magazine d’État catholique « L’Église en Chine », par un certain Hui Jing, citant une réunion préparatoire entre les évêques chinois et les dirigeants de l’Association patriotique, tenue début février.

    Le colloque et l’étude de la longue marche ne sont que quelques-uns des événements qui caractériseront le programme d’engagements ecclésiaux élaboré par le Conseil des évêques et l’AP pour cette année. L’article énumère «des cours de formation en collaboration avec l’Institut central du socialisme»; cours préparatoires à la réunion nationale de la « Conférence consultative politique du peuple chinois » (tenue en mars); la « construction de l’Association patriotique », et bien plus encore.

    Les catholiques sont d’abord tenus d’approfondir «les orientations du 19e Congrès national du Parti communiste chinois et de la 5e session plénière du 19e Congrès national», ainsi que d’assimiler «la pensée de Xi Jinping sur le socialisme aux caractéristiques chinoises pour une nouvelle ère », renforçant« notre conscience de la nécessité de maintenir l’intégrité politique, de penser en termes généraux, de suivre le cœur de la direction et de rester en ligne avec la direction centrale du Parti ».

    2021 sera une période où l’Église catholique en Chine devra «assimiler» la vision d’une «Église d’État», soumise en tous points aux ordres de l’Association patriotique et à la vision du Parti. Et malgré l’accord provisoire entre la Chine et le Vatican, avec la soi-disant reconnaissance du Pape comme chef de l’Église, le principe de « l’Église indépendante et autonome » et de « gestion démocratique » est réaffirmé, ce qui signifie en fait la soumission des évêques à l’Association patriotique.

     

    Source : lesalonbeige

  • [VOSF] Le nouveau test Covid anal en Chine

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2021

    china-anal-swab-test_resize_md.jpg

    Cenator: Comme le confinement qui détruit notre économie et la santé mentale de la population, d'autres "innovations" sont importées actuellement de la Chine, dont les tests Covid anaux.
    Faut-il également nous attendre à devoir passer des tests anaux pour pouvoir par exemple prendre l'avion?
    Toute les méthodes d'humiliation, qui donnent un sentiment d'impuissance face au pouvoir, et de 
    façon générale les mesures servant à contrôler, soumettre la population et annihiler la résistance, sont typiquement présentes dans chaque régime marxiste ou totalitaire.

    *

    [...] Le théâtre avec et autour du coronavirus est mis en scène avec l’intention explicite de distraction et de créer la peur et un climat d’insécurité générale qui conduit à des mesures de contrôle qui permettent le pouvoir hégémonique, aboutissant peut-être à une «réinitialisation globale» qui sert l’intérêt de quelques-uns aux dépens du plus grand nombre. [...]

    source: https://www.paulcraigroberts.org/2021/02/16/is-a-revolutionary-movement-developing-in-europe/

    *****

    Même vidéo en français: https://youtu.be/bxrm0fRHzOQ 

    La Chine met en place un nouveau test de dépistage de coronavirus dans la population - un test par écouvillonnage anal. Pourtant il n'y a aucune preuve qu'il soit réellement meilleur pour détecter le Covid 19, et l'Organisation mondiale de la santé ne l'a pas approuvé. Depuis quand le Parti communiste chinois se préoccupe-t-il des sentiments du peuple chinois !
    C'est certainement l'un des éléments les plus étranges de l'actualité de la Chine en 2021.
    Youtube fait démonétiser nos chaînes ! Nous avons besoin de votre soutien !

     

    Source : lesobservateurs

  • La France a importé 10,3 milliards d’euros de produits liés à la crise sanitaire dont 5,3 milliards en masques chinois en 2020

    Publié par Guy Jovelin le 06 février 2021

    La France a dépensé autant à l’étranger en achats de masques en un an que sur son territoire pour investir dans la santé sur cinq ans. Mais les industriels français s’attaquent au marché

    La France a importé 10,3 milliards d’euros de produits liés à la crise sanitaire en 2020, en hausse de 7,2 milliards d’euros par rapport à 2019. Il s’agit en majorité de masques (pour 127 000 tonnes) et de réactifs pour les tests, tous deux achetés en Chine.

    Ils ne coûtent que quelques dizaines de centimes l’unité, mais mis bout à bout, ça fait beaucoup. L’année dernière, la France a dépensé 10,3 milliards d’euros en produits liés à la lutte contre la Covid-19, trois fois plus qu’en temps normal, a indiqué vendredi le ministre du commerce extérieur Franck Riester.

    Dans le détail : 5,9 milliards d’euros (soit 57 % du montant total) ont été dévolus à l’achat de masques (chirurgicaux, FFP2 ou FFP3, et textiles), dont 84 % ont été importés de Chine. Cela représente 126 702 tonnes de masques. Ils expliquent les trois quarts de la hausse de nos importations de produits liés à la lutte contre la pandémie.

    Pour comparaison, le gouvernement va investir autant (6 milliards d’euros) ces cinq prochaines années sur l’Hexagone pour rénover et construire des hôpitaux et moderniser les outils numériques dans la santé.

    Le deuxième poste de dépenses d’importations correspond aux réactifs utilisés pour les tests, pour lesquels nous avons dépensé 1,6 milliard d’euros. Là aussi, ils viennent surtout de Chine. D’ailleurs, notre solde commercial avec la Chine s’est dégradé de 6,6 milliards d’euros à -38,3 milliards d’euros en 2020, dont 5,3 milliards d’euros d’importations de biens Covid.

    Le reste des importations liées à la Covid-19 est constitué de solutions alcooliques et désinfectants, de respirateurs et appareils d’oxygénation, de blouses chirurgicales et autres équipements de protection à usage unique, de draps…

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