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crise sanitaire

  • Crise sanitaire: Darmanin évoque la possibilité de nouvelles mesures d’organisation pour la présidentielle

    Publié par Guy Jovelin le 11 janvier 2022

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    Communiqué du Conseil constitutionnel du 11 janvier 2022

    A sa demande, le Ministre de l’intérieur, M. Gérald DARMANIN, a été reçu le mardi 11 janvier 2022 par le Président du Conseil constitutionnel, M. Laurent FABIUS.

    Le Ministre a évoqué la possibilité que, après concertations, le Gouvernement élabore de nouvelles mesures d’organisation qui apparaîtraient rendues nécessaires par la crise sanitaire, afin de garantir le bon déroulement de l’élection présidentielle.

    Le Président du Conseil constitutionnel en a pris bonne note et lui a confirmé que l’adoption de telles mesures appelleraient un contrôle du Conseil constitutionnel, chargé, aux termes du premier alinéa de l’article 58 de la Constitution, de veiller à la régularité de l’élection du Président de la République.

    Conseil-Constitutionnel.fr

     

  • Le traitement gouvernemental de la crise sanitaire donne les outils pour régler la crise migratoire

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2022

    Les conséquences d’un acte ne sont pas toujours mesurables. On sait, depuis Edward Lorenz, que le battement d’aile d’un papillon au Brésil peut provoquer un cyclone au Texas. Suivant le même principe, la gestion de la crise du Covid par le gouvernement et l’adoption du passe vaccinal, ce 6 janvier, pourraient provoquer une révolution politique que nul n’a vu venir, et certainement pas ses instigateurs. Par effet rebond, les décisions des autorités politiques dépassent largement la gestion d’une crise sanitaire passagère. Elles ouvrent un boulevard technique, juridique et moral au règlement de la crise migratoire en France.

    Si l’on écarte les idiots utiles du capitalisme mondialisé qui se croient de gauche en plaidant pour des frontières ouvertes, le centre et la droite mainstream ont justifié tous leurs renoncements sur la question migratoire au nom du réalisme. Dans un monde ouvert et interconnecté, il n’était tout simplement pas possible de contrôler les frontières, de subordonner les droits aux devoirs et de les ajuster à la situation de chacun. Les Français l’acceptaient, par fatalisme ou par inhibition, tout en jugeant à 78 % que l’immigration était subie et à 86 % que l’insécurité les préoccupait et pèserait sur leurs choix électoraux.

    Le Président Macron a prouvé l’inverse, à son corps défendant. En montrant qu’il était possible et justifié de priver de leurs droits les citoyens rebelles à un acte médical forcé, il a bouleversé l’inconscient collectif. La liberté de circulation donnée de fait aux clandestins sera plus difficile à faire accepter à des électeurs qui ont vu toutes les frontières se fermer à eux pendant deux ans. Certains d’entre eux ont perdu jusqu’au droit de se déplacer dans leur propre pays ni « aller au restau », « prendre un canon », « boire un café », « aller au théâtre, au ciné », selon l’énumération du Président, et les autres ne peuvent le faire qu’à condition d’être en règle (quoi qu’on pense de ces règles) et de se plier à des contrôles tatillons.

    Puisque les non-vaccinés sont coupables d’occuper les lits de réanimation, que penser de certaines catégories de populations qui occupent les lits de prison aux frais du contribuable après l’avoir volé ou molesté ou pire ?

    Après avoir été encadrés, contrôlés et comme jamais, au cours de leur histoire contemporaine, il est probable que les Français ne supporteront plus que très difficilement que certains occupants de leur pays ne se plient pas aux règles communes. Sous quel prétexte refuser la préférence nationale après avoir instauré la préférence vaccinale ? Comment prétendre, désormais, ne pas pouvoir contrôler des frontières que l’on a entièrement fermées à plusieurs reprises ? Le Président Macron a rendu techniquement possible et psychologiquement acceptable le programme de la droite nationale. Le diable porte pierre, dit l’adage populaire. Le temps de l’inhibition est passé.

    Raphaël Debailiac

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Taxe foncière : vers des hausses record sous le prétexte de la crise sanitaire ?

    Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2021

    Taxe foncière : vers des hausses record sous le prétexte de la crise sanitaire ?

    La tonte des contribuables ne fait que commencer :

     

    Source : ndf

  • La sortie de crise sanitaire n’est pas pour demain

    Publié par Guy Jovelin le 18 avril 2021

    La sortie de crise sanitaire n’est pas pour demain

    Malgré la vaccination de masse, le retour à la normale n’est pas pour demain, ni pour après-demain… Peut-être pour jamais. Le projet de loi destiné à organiser la sortie de l’état d’urgence sanitaire est actuellement devant le Conseil d’Etat pour avis.

    L’article 1er donne tout pouvoir au gouvernement pour mettre en place des restrictions par décret jusque fin octobre…

    De là à imaginer que les restrictions se poursuivront (au moins) jusqu’à l’élection présidentielle de de 2022, il n’y a qu’un pas, allègrement franchi.

     

    Source : lesalonbeige

  • Une crise sanitaire qui fait tomber les masques

    Publié par Guy Jovelin le 12 mars 2021

    Une crise sanitaire qui fait tomber les masques

    L’Homme Nouveau a consacré un dossier à la crise de foi, révélée par la crise sanitaire. Anne Bernet, après avoir rappelé dans un article l’attitude de l’Eglise au cours des pandémies de l’Histoire, termine par l’attitude des chrétiens aujourd’hui, face à une pandémie pas vraiment terrible par rapport à la peste ou le choléra :

    […] Il est bien plus inquiétant, en revanche, de constater, autre révélation cruelle de la pandémie, l’effondrement des vérités de la foi dans les rangs catholiques. Si l’on ne peut guère demander à un ministre de l’Intérieur de saisir le sens de la messe, la Présence réelle et la nécessité vitale, pour un croyant, d’avoir accès à l’eucharistie, il faut s’interroger sur ce que la messe et l’eucharistie signifient pour un clergé, un épiscopat, qui les ont si facilement supprimées, sans mesurer la souffrance qu’ils infligeaient aux âmes, accusées d’immaturité par certains hauts prélats sous prétexte qu’elles réclamaient le Pain de vie et criaient leur faim, et pour des catholiques « pratiquants » qui ont adopté une messe virtuelle moins contraignante et une « communion spirituelle » soudain magnifiée alors que, depuis cinquante ans, l’accès au sacrement s’était désacralisé…

    Un tiers des « messalisants » n’aurait pas remis les pieds à l’église après le déconfinement, preuve que la messe ne signifiait plus grand-chose pour eux. Quant à ceux que l’Église aurait pu reconquérir, en leur apportant le message évangélique et leur enseignant que le Christ, à la différence des médecins, avait, une fois pour toutes, vaincu la mort, nul n’a songé à s’adresser à eux. Une autre leçon de la pandémie aura été de mettre en lumière l’incapacité d’une partie du monde catholique à fournir à ces gens terrifiés les grandes réponses, les grands remèdes qui fu- rent, toujours, ceux de l’Église. Pourquoi, sinon parce que ceux auxquels il appartient de les enseigner n’ont plus foi dans les moyens et les vérités surnaturelles ?

    « Je crois en Dieu, le Père tout- puissant… » Vraiment ? !

     

    Source : lesalonbeige