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persécution

  • Portugal : persécution d’une famille catholique qui refuse que ses enfants assistent à des cours d’endoctrinement woke

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2022

    Auteur : 

    Civitas Portugal : la famille Mesquita Guimarães

    refuse l’endoctrinement wokiste de ses enfants

    Nos amis de Civitas Portugal se battent contre la volonté féroce d’endoctrinement socialo-communiste des dirigeants de leur pays et ont publié un communiqué  de presse qu’ils ont envoyé à la presse nationale.

    La famille Mesquita Guimarães, qui vit à Famalicão, une ville relativement proche de Porto, est persécutée par le gouvernement socialo-communiste parce qu’elle ne veut pas que deux de ses six enfants – voir photo ci-dessus – participent à des cours de «citoyenneté», c’est-à-dire des cours dans lesquels les enfants sont endoctrinés par des idéologies marxistes, LGBT, de genre, etc.

    Leur refus leur font courir le risque de perdre la charge de leurs enfants !

    Catholiques de tous les pays unissons-nous contre les ennemis de Notre Seigneur.

    Vive le Christ-Roi ! Vive Marie Reine de France et du Portugal !

    N’hésitez pas à assurer votre soutien à cette famille courageuse en écrivant ici  : https://www.movcivitas.pt/contactos

    Léon-Pierre DURIN, Secrétaire Général de Civitas International

     

    Source : medias-presse.info

  • Persécution contre les patriotes en Anjou : l'Alvarium réagit

    Publié par Guy Jovelin le 03 juin 2021

    synthesenationale

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    Perquisitions : rétablissez l’ordre plutôt que de nous persécuter.

    Ce matin à 6 heures, les forces de l’ordre ont fait irruption dans les locaux de l’Alvarium pour une perquisition. Quelle grave affaire pouvait bien amener le procureur de la République à envoyer des gendarmes dans un local associatif ? Le terrorisme islamiste ? Les banlieues qui s’enflamment ? La drogue ? Les voitures brûlées à Trélazé ? Apparemment non, c’est pour le vol de 2 ou 3 drapeaux devant une gendarmerie de campagne.

    Quel est le lien avec l’Alvarium en tant qu’organisation et avec son local ? Aucun. De la même manière, différents domiciles d’adhérents et de gens qui n’ont rien à voir avec nous ont été perquisitionnés. À l’Alvarium comme chez les particuliers, aucune trace des drapeaux en question ; en revanche chaque fois, un homme qui ne connaissait pas les gendarmes les accompagnait. Vêtu en civil et affublé d’une cagoule, il a photographié les contenus des bibliothèques et les lieux de vie, dans l’espoir sans doute de nourrir les élucubrations journalistiques et antifascistes. La manipulation est trop grosse. Cette opération politique menée de concert avec les services de renseignement n’a d’autre but que de nous discréditer, nous ficher et faire pression sur nous. À l’issue de la perquisition à l’Alvarium l’un de nos militants qui était venu ouvrir la porte a été emmené pour un interrogatoire. Les questions n’ont évidemment pas porté sur une histoire de drapeaux volés, mais sur les membres de l’Alvarium, leurs noms, professions etc…

    Manigancées on ne sait où, les “affaires” inventées ou exagérées qui sortent dans la presse servent l’agenda des antifas et de la mairie pour une demande de dissolution. Alors que nous avons pignon sur rue, que nous ne faisons rien d’illégal et que nous participons démocratiquement à des élections locales, tout est fait pour nous empêcher d’exister et nous pousser à la clandestinité. Avons-nous le droit de vivre et de penser différemment ? En tout cas nous ne céderons ni à la pression, ni à l’extrémisme vers lequel le Système voudrait nous pousser et nous cantonner. Nous avons plus de 130 adhérents en chair en os. Nos locaux existent bel et bien. À moins de réduire tout cela en poussière ou de nous envoyer arbitrairement en taule, nous continuerons à oeuvrer pour la France et les français, en particulier les plus démunis délaissés au profit de l’immigration massive.

    Site de l'Alvarium cliquez ici

  • Accord secret Chine-Vatican : deux ans après, toujours plus de persécution

    Publié par Guy Jovelin le 12 août 2020

    L’agence de presse missionnaire Asia News fait le bilan deux ans après la signature de l’accord provisoire, dont les modalités restent toujours secrètes, entre la République populaire de Chine et le Saint-Siège. La conclusion est sans appel, et donne raison au cardinal émérite de Hong-Kong, Mgr Joseph Zen, farouche opposant à cet accord tout autant politique que doctrinal qui met les catholiques entre les mains de leurs bourreaux communistes : les persécutions se sont intensifiées, les conditions de vie et la liberté de culte se sont dégradées.

    « Quelques mois après l’expiration de l’accord provisoire sur les nouvelles nominations des évêques, fidèles laïcs, prêtres et pasteurs s’interrogent sur les effets qu’il a eu sur la vie des communautés chrétiennes en Chine, écrit Asia News. Du côté du Vatican, l’espoir est le renouvellement de l’accord. La Chine est susceptible de le renouveler aussi, de l’utiliser comme un outil anti-américain. Reste la question, pas du tout idéologique, de la liberté religieuse.

    « L’accord provisoire que le Vatican et la République populaire de Chine ont signé il y a deux ans expirera le 21 septembre. A cette époque, il y avait des “optimistes” qui louaient cet accord comme “historique” et prophétisaient une révolution copernicienne pour la vie de l’Église en Chine. Aujourd’hui encore, les « enthousiastes par défaut » – très peu nombreux en vérité et toujours les mêmes – poussent au renouvellement de l’accord provisoire. Des personnalités liées d’une manière ou d’une autre au Vatican ont également fait des suggestions à cet égard. Jusqu’à présent, cependant, la Chine ne s’est pas prononcée, mais nous supposons que son approbation de poursuivre l’accord est presque certaine, ne serait-ce que pour embarrasser les États-Unis. En effet, l’accord provisoire – qui traite des nouvelles nominations des évêques chinois, une question purement ecclésiologique et de liberté religieuse – est mêlé à bien des égards à la querelle entre la Chine et les États-Unis et les jugements sur sa valeur dépendent du choix a priori effectué sur qui devrait être la future superpuissance qui dominera le monde. »

    Pour éviter une approche idéologique, AsiaNews a lancé une enquête auprès des évêques, des prêtres et des fidèles laïcs en Chine, leur demandant de raconter comment la vie de leurs communautés a changé et comment leur foi est vécue après le célèbre accord. John, de Shanghai, écrit Asia News « exprime l’embarras de voir le drapeau chinois sur les bâtiments chrétiens, qui est devenu une obligation souvent accompagnée de l’affichage du portrait du président Xi Jinping ». Et Maria, du nord de la Chine « énumère la série de contrôles mis en œuvre sur les communautés, en particulier l’interdiction de donner une éducation religieuse aux jeunes de moins de 18 ans (ce qui est contraire à la constitution chinoise). »

    Un autre laïc chinois fidèle, « Benoit » (pseudonyme) déclare à Asia News : 

    « Par rapport à l’Église du sud, notre situation est plutôt calme. Au cours des dernières années, nous avons eu un bureau relativement stable. Les messes dominicales, les messes solennelles et toutes les activités de prière se déroulaient assez régulièrement. Tout cela s’est terminé par la signature de l’Accord provisoire sino-vatican le 22 septembre 2018. En vue de Noël 2018, le personnel du gouvernement local est arrivé pour nous dire que notre lieu de rencontre serait interdit. » 

    Tout est fait pour ramener l’Église « clandestine » dans celle « patriotique » (fidèle au Parti) puis réduire cette dernière, à la fois en nombre et en importance. Le but est clairement de transformer l’Église en un organe de propagande du Parti.

    John, de Shanghai, raconte encore :

    « J’ai eu un petit choc quand j’ai commencé à voir le drapeau national à l’extérieur du bâtiment de l’église. Il n’y a rien de mal à afficher le drapeau national. Mais pour affirmer le slogan « aimer la patrie, aimer l’Église » [«Ai guo, ai jiao» est le slogan de l’Association patriotique, également entériné par le Conseil des évêques chinois reconnu par le gouvernement], il ne vaudrait pas mieux exposer aussi et en même temps la bannière de la foi, par exemple celle du Vatican ou celle de la paroisse? »

    Maria, confirme :

    « Les murs extérieurs de la paroisse sont couverts de nombreuses normes concernant la culture chinoise et l’administration de l’Église; le drapeau flotte sur le clocher, à côté de la croix, comme s’il voulait remplacer la lumière de la croix. »

    Asia News révèle également combien la pandémie de Covid-19 a encore aggravé les conditions des églises en Chine, contraintes de fermer et de rouvrir seulement après plusieurs mois, et seulement sous certaines conditions, très politiques et pas du tout sanitaires : les personnes souhaitant entrer dans les lieux de culte doivent d’abord s’inscrire en ligne en fournissant toutes leurs données personnelles. Les églises peuvent rouvrir, mais seulement si elles promettent de donner également une éducation patriotique aux fidèles et de respecter les « quatre exigences » : cérémonie de levée du drapeau, enseignement et promotion des lois chinoises, prédication des valeurs fondamentales du socialisme, promotion de la culture traditionnelle chinoise. La campagne des « quatre conditions » a débuté en 2018 (année de l’accord) et avec la pandémie elle a connu une nouvelle accélération.

    Les contrôles d’application des règles sont eux-aussi obsessionnels. Comme en témoigne Teresa à  :

    « Au cours de ces deux années, le diocèse a été confronté à une pression croissante. Par exemple, le dimanche, dès le matin, le gouvernement envoie son personnel à l’église pour vérifier. Certains se tiennent devant l’entrée, d’autres sont assis dans les rangées du fond, d’autres errent çà et là : leur but est de voir le fonctionnement de l’église et ses activités. De plus, le personnel qui reste devant l’entrée vérifie que les enfants de moins de 18 ans ou tout juste accomplis n’entrent pas dans l’église. Lorsqu’ils voient des enfants ou des élèves du primaire, du collège et du lycée qui veulent y entrer, ils les forcent à rentrer chez eux, les empêchant de rester dans la paroisse. Il est strictement interdit d’organiser des cours de catéchisme pour mineurs; même les salles de classe sont fermées. Bref, une grande désolation ! »

    Cela se produit dans les églises officielles, tandis que les églises clandestines, en revanche, sont confrontées à une persécution totale. En avril, dans la province du Jiangxi, au sud-est, l’administration locale a contraint certains des prêtres diocésains, qui ont refusé de rejoindre l’Association patriotique catholique chinoise (APCC), à suivre un cours de formation patriotique de trois jours. Un mois plus tôt, dans la province du Hebei, les autorités ont forcé un prêtre catholique de 83 ans assigné à résidence dans un hôtel à le forcer à rejoindre le CPA. Après trois jours, les symptômes d’une crise cardiaque ont rendu nécessaire l’hospitalisation. Le religieux a donc été renvoyé dans sa ville natale avec l’interdiction de célébrer la messe et d’autres fonctions religieuses. La police vérifie les entrées des églises où il a célébré la messe, pour l’empêcher de revenir ou les fidèles de s’y retrouver.

    Don Francesco, témoigne lui-aussi sur Asia News :

    « Après la signature de l’Accord sino-vatican, les politiques religieuses de notre diocèse ne se sont pas seulement relâchées, au contraire elles ont encore diminué. Les autorités rassemblent souvent des prêtres pour des cours de formation, poussent les prêtres clandestins à rejoindre l’Association patriotique, les arrêtent en les emmenant dans des lieux secrets pour changer leur mentalité ». Et Don Paolo : « Après la signature de l’Accord sino-vatican, la situation de l’Église clandestine est de plus en plus critique, les lieux de prière paroissiaux ont été fermés, la célébration publique de la messe dominicale n’est même plus autorisée, les prêtres ne peuvent pas faire autre chose que célébrer la messe en privé au domicile de certains fidèles, sans pour la participation, le communiquer à trop de fidèles. Malgré cela, même les messes privées sont souvent arrêtées par les autorités locales. »

    Un autre prêtre qui a donné son témoignage à l’agence missionnaire, énumère les règles draconiennes du nouveau règlement des affaires religieuses mis à jour en 2018. Non seulement les membres du Parti ont strictement l’interdiction d’appartenir à une religion, mais aussi tous ceux qui travaillent dans le secteur public.

    « Les employés des organes de l’État et des institutions publiques, qui ne sont pas membres du parti, sont tenus de signer un document dans lequel ils promettent de ne professer aucune religion. De nombreux fidèles qui travaillent dans les organes de l’Etat et les institutions publiques, de peur de perdre leur emploi, trahissent leur religion et abandonnent leur foi. »

    Les règles concernent tout le monde :

    « Il n’est pas permis d’enseigner la foi aux mineurs de moins de 18 ans. » « Les citoyens qui croient en une religion ne sont pas autorisés à être enrôlés dans l’armée. » « L’Eglise ne peut organiser aucune activité éducative ». « Une université a interdit aux étudiants catholiques d’assister à la messe dominicale. »

    Le régime chinois recourt également à de véritables astuces pour fermer les églises, même celles officiellement reconnues :

    « Même si elles sont enregistrées, les églises sont souvent fermées sous prétexte que ‘’le nombre de fidèles est trop petit‘’.  Au moment de l’inscription, les responsables locaux conseillent verbalement à l’Église de ne pas enregistrer trop de fidèles et, par conséquent, certaines paroisses n’en ont enregistré que quelques-uns. Après cela, le gouvernement soutient que ‘’l’église ne peut pas être utilisée avec si peu de gens‘’, et elle est fermée. »

    Mgr Zen prophétisait bien lorsqu’il clamait que cet accord entre le Vatican bergoglien et la Chine, non seulement ne mettrait pas un terme aux persécutions des catholiques par le régime communiste mais serait pareillement une trahison du Christ !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Aggravation des persécutions des catholiques depuis l’accord entre la Chine et le Vatican

    Publié par Guy Jovelin le 22 novembre 2019

    Ecrit par Léo Kersauzie

    Chine – L’Eglise catholique chinoise a-t-elle changé depuis l’accord conclu entre la Chine et le Vatican ? La situation s’est-elle améliorée ou détériorée ? A ces questions, Lio Ruohan – pseudonyme d’un opposant au régime communiste, inquiet pour la situation des catholiques dans le pays – livre sa réponse le 5 novembre 2019, dans les colonnes d’Asianews, l’agence officielle de l’Institut pontifical des missions étrangères (PIME).
    Les lignes qui suivent constituent le compte-rendu de la tournée récente accomplie par Li Ruohan dans plusieurs diocèses de l’empire du Milieu.

    Persécution
    « A ce jour, le gouvernement chinois promeut la sinisation, la soumission à la culture chinoise d’expressions religieuses, qui ressemble beaucoup à la politique de l’empereur Kangxi au moment de la controverse rituelle chinoise [au début du XVIIIe siècle].
    « Toutes les religions, en particulier les catholiques et les protestants, doivent obéir à cette politique et la respecter. Dans la province du Fujian, l’archidiocèse de Fuzhou est confronté à la persécution et à la violence : presque toutes les églises appartenant à l’Eglise dite “souterraine” ont été fermées, en particulier à Fuqing.
    « Le gouvernement continue de forcer les « prêtres souterrains » à adhérer à l’Association patriotique. Déjà, Pie XII – dans son encyclique Ad Apostolorum Principis – enseignait que cette association avait pour but de pousser progressivement les catholiques à embrasser les fondements du matérialisme athée, à renier Dieu et à rejeter les principes de la vraie religion.
    « Aujourd’hui encore, cette association est considérée comme contraire à la doctrine catholique et à la conscience des gens ».

    Instruction religieuse aux enfants interdite

    « Dans la province du Jiangxi, des actes de persécution ont été perpétrés, en particulier dans le diocèse de Yujiang.
    « Les représentants des autorités locales ont à plusieurs reprises fait irruption dans les églises lors des offices, afin d’en exfiltrer par la force les enfants et les jeunes de moins de 18 ans.
    « Partout en Chine, l’interdiction de procurer une instruction religieuse publique aux enfants de moins de 18 ans est désormais effective ».

    Peines de prison
    « Pour parvenir à ses fins, le gouvernement se bat à la fois contre les communautés officielles et souterraines, même si les plus touchées sont les secondes. Le gouvernement a également contraint par la force des prêtres non officiels à quitter le ministère et leurs paroisses.
    « Les maisons privées peuvent désormais être considérées comme des “lieux de culte illégaux”, de sorte que les catholiques risquent des amendes et des peines de prison s’ils s’y rassemblent.
    « Certains ont pu croire que la persécution dans le Jiangxi et le Fujian a été facilitée par le fait que les catholiques y sont en nette minorité. (…) Mais à l’heure actuelle, les nouvelles réglementations sont appliquées dans tout le pays, même dans des endroits comme le Hebei et le Shanxi, où les catholiques représentent un pourcentage non négligeable de la population ».

    La persécution s’est aggravée depuis l’accord avec François
    « Depuis l’accord sino-vatican, la persécution n’a pas diminué, au contraire, elle s’est aggravée. Le gouvernement continue à rêver comme s’il était à l’époque de la dynastie Qing : l’autorité du pape doit être sous l’ombre de l’empereur ; l’Eglise fait partie des structures de l’Etat et doit obéir à l’autorité du pouvoir politique.
    « Le gouvernement pense que le christianisme constitue un corps étranger et, par voie de conséquence, un élément potentiellement dangereux. Si les chrétiens veulent vivre en Chine, ils doivent accepter les principes de la sinisation. Le but est de forcer les chrétiens, catholiques et protestants, à accepter l’autorité de l’Etat au-dessus de Dieu et de la foi.
    « Le Parti communiste chinois (PCC) sait que les religions ne peuvent être détruites du jour au lendemain. Ceci apparaît de façon évidente dans un document du Comité central du PCC de 1982 qui déclarait : “quiconque pense qu’avec la mise en place d’un système socialiste comportant un certain degré de progrès économique et culturel, les religions mourront à court terme, manque de réalisme. Ceux qui s’appuient sur des décrets administratifs ou d’autres mesures coercitives pour effacer les pensées et les pratiques religieuses privées sont encore plus éloignés d’une vision marxiste fondamentale de la question religieuse. Ils ont complètement tort et produisent des dégâts considérables” ».
    « En pratique, la soi-disant sinisation consiste en une nouvelle tentative de soumettre toutes les religions, en leur faisant accepter l’idéologie communiste et en les poussant à abandonner leur foi. Nous devrions tirer les leçons de l’histoire ».

     

    Source : medias-presse.info

  • Les 10 commandements de la persécution des catholiques en Chine

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2019

    Auteur : Michel Janva

    Les 10 commandements de la persécution des catholiques en Chine

    Un document publié par les autorités du Fujian exige un certain nombre d’engagements de la part des prêtres de paroisse et du personnel religieux. Voici ces commandements traduits par Yves Daoudal :

    1. aimer la patrie et aimer la religion, étudier et suivre consciemment la politique du Parti et les lois et règlements de l’État, mener sciemment des activités conformément aux lois et règlements,interdire l’entrée de mineurs à l’église.

    2. Au nom de l’indépendance, de l’autonomie et de l’autogestion, boycotter consciemment les interventions des étrangers; ne pas contacter de puissances étrangères, ne pas accueillir des étrangers, ne pas accepter de délégation de communautés ou d’institutions religieuses étrangères, ne pas accepter d’entretiens, de formation ou d’invitations à des conférences à l’étranger, ne pas enfreindre les réglementations nationales en acceptant des dons nationaux et internationaux.

    3. ne pas commercialiser ou distribuer des imprimés religieux sans numéro de série.

    4. Accepter consciemment l‘inspection et le contrôle des supérieurs et publier sciemment des comptes rendus mensuels.

    5. insister sur la sinisation, pour pratiquer consciemment les valeurs fondamentales du socialisme; respecter les cultures et les traditions locales, promouvoir les cultures et les traditions nationales, ne pas diffuser les idéologies qui soutiennent l’extrémisme, ne pas financer des activités extrémistes.

    6. ne pas organiser de cours de formation pour mineurs, ne pas mener d’activités religieuses en ligne, promouvoir les vocations ou publier des contenus enfreignant les lois.

    7. ne pas intervenir dans l’administration des affaires locales ou politiques, ne pas intervenir dans la vie privée et personnelle de la population.

    8. En l’absence de permis, les communautés telles que les groupes pastoraux, les chorales et les orchestres ne peuvent organiser d’événements publics ni, sous prétexte de rendre visite aux malades, évangéliser dans des lieux publics tels que les hôpitaux.

    9. ne pas poser des affiches et des enseignes à l’extérieur et sur les toits à des fins évangéliques.

    10. ne pas installer de haut-parleurs extérieurs, et ceux à l’intérieur ne doivent pas déranger les habitants ; en cas de violation, accepter volontairement les sanctions du Bureau des affaires religieuses.

     

    Source : lesalonbeige