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portugal

  • À son tour, le Portugal rattrapé par les émeutes ethniques

    Publié par Guy de Laferrière le 28 octobre 2024

    Marc Baudriller
    Directeur adjoint de la rédaction de BV, éditorialiste
    Capture d'écran
    Capture d'écran

    Les leaders du parti de la droite nationale portugaise Chega (parti allié au RN et au Fidesz hongrois au Parlement européen) appellent à manifester à Lisbonne, ce 26 octobre, contre l’immigration massive. Car le Portugal rejoint le club des pays confrontés à des émeutes ethniques violentes et destructrices. Depuis plusieurs jours, les « quartiers » nord de la capitale Lisbonne subissent les émeutes des quartiers immigrés. La litanie des conséquences du « vivre ensemble » s’égraine au pays du porto, avec ses véhicules en torche, ses policiers pris pour cibles, ses destructions et ses blessés : un chauffeur de bus a été gravement brûlé dans l’incendie de son véhicule.

     

    Les motivations et les actes des émeutiers rappellent étrangement les innombrables émeutes en France, après la mort de Nahel à Nanterre en 2023, les émeutes de La Seyne-sur-Mer, Fréjus, Nantes, les morts de Theo et Adama en 2017 ou celle de Zyed et Bouna en 2005, jusqu’à Mourad à Vénissieux en 1993, Mohammed à Vaulx-en-Velin en 1992, Djamel à Sartrouville en 1991. À Lisbonne, c’est un immigré venu du Cap-Vert qui a été abattu, dans la nuit du 20 au 21 octobre, par un policier de 20 ans. Il aurait tenté de fuir les forces de l'ordre après avoir attaqué des agents à l'arme blanche. Plusieurs mouvements antiracistes et associations appellent aussi à une « manifestation pacifique contre la violence policière dans les quartiers ». Air connu… D’un pays à l’autre, les mêmes mots et les mêmes maux.

    Ces émeutes, les Français en sont devenus familiers, mais ils ne sont pas les seuls. Ils payent sans rechigner les dégâts via leurs assurances et leurs impôts. Coût de la dernière flambée de violence, liée au décès du jeune Nahel après le tir d'un policier : près d’un milliard d’euros. Les Français sont aussi accoutumés au déballage d’arguments de la gauche, de l’extrême gauche et du centre qui voient, derrière chaque constat des désastres de « l’immigration heureuse » et du merveilleux « mélange des cultures », la manifestation d’un racisme aveugle. Pour eux, ce Français héritier de Vichy, coupable dès sa naissance, porte en lui le péché originel du rejet de l’autre, un racisme inné planqué sous les oripeaux du bon sens. Une hostilité irréductible liée à notre culture, à la guerre d’Algérie, au sentiment de puissance et de richesse, nous ont expliqué sociologues, psychologues et autres universitaires accueillis sur le service public audiovisuel, dans Le Monde, sur France Inter et ailleurs.

    Hélas pour ces bonnes consciences culpabilisatrices, la France n’est pas le seul pays à subir les vagues de saccages, d’incendies, de pillages et de destruction. Le Portugal, donc, l’Irlande, la Suède, le Royaume-Uni, la Belgique, l’Allemagne : tous les pays d’Europe touchés par les conséquences de l’immigrationnisme pur et dur connaissent le sort qui afflige aujourd’hui le Portugal. Curieusement, les pays qui ont refusé l’immigration massive organisée par l’UE et encouragée par de nombreux organismes internationaux ont, certes, des faiblesses mais restent exempts de ces maux. Pas de scènes de pillages ni de banlieues en flamme en Russie, en Hongrie, en Suisse, qui subit moins l’immigration que la France, rien au Portugal jusqu’à la période récente. Partout en Europe, l’immigration folle et non maîtrisée produit les mêmes effets délétères. Et pousse dans les urnes les partis qui refusent ce destin, comme Chega au Portugal. C’est, en soi, une réponse à ceux qui se plaisent depuis si longtemps à faire porter aux Français tous les péchés du racisme, sans songer un instant à regarder au-delà de nos frontières, sans imaginer qu’ils sont eux-mêmes coupables devant les peuples qu’ils maltraitent.

     

    Source : bvoltaire

  • Portugal : persécution d’une famille catholique qui refuse que ses enfants assistent à des cours d’endoctrinement woke

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2022

    Auteur : 

    Civitas Portugal : la famille Mesquita Guimarães

    refuse l’endoctrinement wokiste de ses enfants

    Nos amis de Civitas Portugal se battent contre la volonté féroce d’endoctrinement socialo-communiste des dirigeants de leur pays et ont publié un communiqué  de presse qu’ils ont envoyé à la presse nationale.

    La famille Mesquita Guimarães, qui vit à Famalicão, une ville relativement proche de Porto, est persécutée par le gouvernement socialo-communiste parce qu’elle ne veut pas que deux de ses six enfants – voir photo ci-dessus – participent à des cours de «citoyenneté», c’est-à-dire des cours dans lesquels les enfants sont endoctrinés par des idéologies marxistes, LGBT, de genre, etc.

    Leur refus leur font courir le risque de perdre la charge de leurs enfants !

    Catholiques de tous les pays unissons-nous contre les ennemis de Notre Seigneur.

    Vive le Christ-Roi ! Vive Marie Reine de France et du Portugal !

    N’hésitez pas à assurer votre soutien à cette famille courageuse en écrivant ici  : https://www.movcivitas.pt/contactos

    Léon-Pierre DURIN, Secrétaire Général de Civitas International

     

    Source : medias-presse.info

  • Portugal : plus de 300 000 des 500 000 habitants de Lisbonne sont étrangers

    Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2022

    Depuis 2017, les signalements de xénophobie ont augmenté de plus de 430 % au Portugal.

    Le nombre d’immigrants au Portugal n’a jamais été aussi élevé. Sur un peu plus de 500 000 habitants de Lisbonne , près de 300 000 sont des immigrés. Ce vendredi (7) , Globo Repórter s’est rendu à Lisbonne, la capitale européenne qui se transforme en nouvelle terre d’opportunités. Le programme étudié : le rêve de recommencer la vie à Lisbonne est-il possible ? L’une des plus anciennes villes d’Europe est le point de départ de découvertes et des gens du monde entier vont redécouvrir Lisbonne.

    Les Portugais ne sont plus le visage de la capitale elle-même. L’émission s’est adressée à des personnes du Bangladesh, de l’Inde et de certains Brésiliens, qui constituent la majorité des immigrés là-bas.

    Globo.com via fdesouche

  • Portugal : une Ukrainienne âgée de 6 ans violée dans un centre d’accueil pour réfugiés, un Pakistanais de 41 ans arrêté

    Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2022

    Portugal – Un étranger de 41 ans a violé un enfant ukrainien dans un centre d’hébergement.

    La Police judiciaire a identifié et arrêté un homme étranger, fortement soupçonné d’avoir commis, à la fin du mois dernier à Guarda, un crime sexuel sur une fillette de six ans, réfugiée d’Ukraine, dans un centre d’accueil.

    Dans un communiqué, la PJ indique que “les faits se sont produits à l’intérieur d’un Centre d’accueil pour réfugiés et autres citoyens étrangers, dans la ville de Guarda, où l’auteur et la victime résidaient à cette date”Il s’agit d’un citoyen du Pakistan, selon CNN Portugal.

    La PJ a ajouté que le suspect a été “présenté aux autorités judiciaires compétentes, aux fins d’un premier interrogatoire judiciaire” et a été “soumis à la mesure de détention préventive”.

    Observador.pt via fdesouche

  • Législatives au Portugal : à peine trois ans après sa création, le parti “Chega”, classé à l’extrême-droite, devient la 3ème force politique du pays

    Publié par Guy Jovelin le 31 janvier 2022

    Le Portugal n’avait jamais eu d’extrême-droite parlementaire depuis la Révolution des oeillets. C’est chose faire depuis les législatives du 30 janvier avec le parti “Chega”

    (…) Mais la vraie surprise d’hier n’est pas tant la victoire d’un socialiste dans des élections législatives. Non, la vraie surprise d’hier pour les Portugais, c’est la 3e place obtenue par l’extrême-droite de « Chega » qui signifie « Ça suffit ! » avec plus 7% des voix.

    Il n’y avait pas d’extrême-droite au Portugal

    Depuis le retour de la démocratie en 1974, après 48 très longues années d’une dictature conservatrice, était un peu comme le village d’Astérix : il résistait encore et toujours, non pas à l’envahisseur, mais à l’extrême-droite.

    La Révolution des œillets a d’ailleurs été celle des « capitaines d’avril », c’est-à-dire une sorte de coup de main conduit par des militaires de gauche et soutenu par la rue Depuis, aucun parti politique portugais n’a le mot « droite » dans sa dénomination.

    L’actuel parti de centre-droit, par exemple, qui est arrivé deuxième aux élections d’hier s’appelle Parti social-démocrate. Et il a longtemps été en coalition avec un parti plus à droite, mais appelé Parti du centre démocratique et social, ou CDS.

    La naissance de « Chega » est donc très récente, puisqu’elle date des dernières élections législatives de 2019

    Avec 1,3% des voix, ce parti jusque-là totalement incongru dans le paysage politique portugais obtenait un député : son président, Andre Ventura.

    Cette fois-ci, il en auront douze ! Or, ce nombre inédit de parlementaires, l’extrême-droite portugaise le doit à un seul homme : Andre Ventura qui a milité un temps au centre-droit, avant de comprendre que son avenir politique devait épouser l’exemple du voisin espagnol et de son parti d’extrême-droite, Vox.

    (…)

    France Inter via fdesouche