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démocratie - Page 2

  • ABSURDISTAN

    Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2020

    L’image contient peut-être : plein air
    Christian Rol
     

    Je crois être un de ces nombreux français à n’avoir jamais écouté ou regardé un laïus présidentiel. Jamais cru un traître mot sortant de la bouche de ces mecs qui, depuis Giscard, prétendent « gouverner » la France et la regarder au fond des yeux. Ma défiance ne tient pas à mon intelligence mais plus sûrement à mon instinct et ma haine primaire de tout ce qui se rapproche un peu de la démocratie.

    Voilà pourquoi ce soir je ne regarderai pas davantage Sa Majesté Foutriquet 1er s’adressant à son bon peuple abruti afin de lui délivrer ses dernières fulgurances et enfoncer un peu plus encore la populace dans ses névroses. Sans doute prodiguera-t-il à celle-ci ses derniers conseils d’homme d’Etat (lavez-vous les mains, masques, gestes barrières, lavez-vous les fesses après popo) et, sans soute aussi, soulagera-t-il ses sujets en leur promettant qu’ils pourront enfin dépenser leurs derniers euros dans les magasins rouverts pour les « fêtes ». Et, bien sûr, la promesse du vaccin miraculeux comme cadeau de Noël…

    Des journalistes allemands ont rebaptisé notre belle république sous l’appellation contrôlée « Absurdistan », le pays où la vie est devenue tellement aberrante qu’on se pince pour y croire. « Pétocheland » serait pas mal non plus puisque, désormais, les dirigeants tiennent la populace par une trouille beaucoup plus efficace que toutes les dictatures. Entre les islamistes, les racailles, la dépression économique et le Covid, le Système (incapable de juguler ces fléaux qu’il a lui-même favorisés) dispose de la martingale la plus efficace depuis bien longtemps…

    Mais, pour avoir à sa tête un Pouvoir d’une telle nature, encore lui faut-il un peuple pour l’avoir élu. C’est bien là le problème, les Français eux-mêmes. Ils se rêvent « gaulois réfractaires », « rebelles ingouvernables », « râleurs », « résistant » jouent les marioles et te collent la honte quand ils sont en charter à l’étranger mais la réalité est cruelle : Un vague virus savamment exploité tous les soirs à la télé, des poulets patrouillant partout dans les rues (sauf dans les « quartiers ») et un numéro vert pour s’épancher dans le vide (la psychiatrisation succédant à l’infantilisation) et voilà les descendants des Poilus de 14 attendre la « parole présidentielle » comme viatique thérapeutique, comme on regardait Nounours à la télé avant de s'endormir... Avec un peuple pareil, pas besoin d'ennemis...

    C. Rol

  • L’ISLAM EST-IL COMPATIBLE AVEC LA DÉMOCRATIE ?

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2019

    POSTÉ LE OCTOBRE 21, 2019, 3:22

    compatible,démocratie,islam

    J’ai posé en titre de cet article une question dont je connais la réponse.

    Non, bien sûr, l’islam n’est pas compatible avec la démocratie. Toute personne qui connaît un tant soit peu l’islam le sait.

    Le Coran, censé être la parole de Dieu dictée en arabe, le dit : Allah énonce des lois que les musulmans doivent respecter à la lettre, il gouverne le ciel et la terre, et aucun être humain électoralement désigné par d’autres êtres humains ne peut prétendre gouverner un peuple quel qu’il soit.

    Les êtres humains ne peuvent se donner à eux-mêmes des lois.

    Le Coran n’admet aucun écart, et dit que tout musulman doit non seulement respecter à la lettre les lois énoncées par Allah, mais doit obéir à l’intégralité de celles-ci.

    Cela signifie qu’un musulman qui ne le fait pas n’est pas un bon musulman et que ce qu’on appelle en Occident les « musulmans modérés » ne sont pas de bons musulmans.

    (J’explique tout cela en détail dans mon livre « L’ombre du djihad ».)

    Quiconque regarde la planète constate aisément que l’incompatibilité entre islam et démocratie se vérifie dans les faits.

    Sur cinquante-sept pays musulmans sur la terre, ceux qui sont censés connaître des éléments de démocratie se comptent sur les doigts d’une seule main.

    Et je parle d’éléments de démocratie, pas de démocratie à proprement parler – ce qui signifie que des élections peuvent y avoir lieu, mais qu’elles conduisent toujours assez vite à la victoire du candidat le plus islamiquement correct.

    L’exception a été la Turquie, tant que les règles fixées par Mustafa Kemal, qui détestait l’islam et n’hésitait pas à le dire, ont été en vigueur et tant que l’armée laissée par lui veillait.

    Mais, dès qu’un islamiste a pu éroder ces règles et transformer l’armée, l’exception a cessé d’en être une, et l’islamiste Erdogan a fait de la Turquie une tyrannie islamique.

    Les naïfs ont imaginé que la Tunisie serait une autre exception et ont pris le renversement de Zine Ben Ali (qui avait vis-à-vis de l’islam des réserves proches de celles énoncées par Mustafa Kemal) pour une bonne nouvelle permettant au pays de devenir une démocratie musulmane.

    Ce qui restait de cette illusion vient de tomber, ce qui n’a rien de surprenant pour ceux qui se souviennent qu’Ennahda avait gagné en 2011.

    Depuis, deux présidents se sont succédés qui ont été très conciliants avec Ennahda et ont gouverné ou passé accord avec ce parti islamiste.

    Un troisième président vient d’être élu, Kais Saied, présenté en France comme « ultra-conservateur », expression qui ne veut rien dire et qui est totalement inadéquate pour le décrire, ou comme « robespierriste », expression qui ne veut rien dire non plus et qui est, là encore, totalement inadéquate pour le décrire.

    Kais Saied est islamiste, se déclare en guerre contre l’Occident et contre Israël, et entend mettre fin aux élections législatives.

    Il va faire glisser la Tunisie vers la tyrannie islamique, et il le fera avec l’assentiment de la population tunisienne et même, cela doit être souligné, avec l’assentiment des Tunisiens vivant dans les pays d’Europe, particulièrement en France où ils sont nombreux.

    Ainsi une tyrannie islamique prend forme aux portes de la France et à faible distance des côtes italiennes (cent cinquante kilomètres séparent Tunis de la côte sicilienne), ce qui n’est pas bon signe (l’économie tunisienne se délabre à grande vitesse).

    Plus grave encore, des musulmans vivant en Europe, particulièrement en France, et votant pour un président islamique, montrent que l’incompatibilité de l’islam avec la démocratie est un problème très lourd pour l’Europe, en particulier pour la France (qui est le principal pays musulman d’Europe).

    Le vote des Tunisiens est à regarder en face.

    Le vote des Algériens et des Marocains, si on l’observe, va dans la même direction que le vote des Tunisiens.

    La France ne deviendra pas une tyrannie islamique, mais elle est déjà un pays sous influence islamique.

    Par ailleurs, les données démographiques, la poursuite d’une immigration musulmane (présentement au rythme de 400 000 nouveaux arrivants par an) montrent que l’influence islamique est destinée à s’accroître sur la France, et les propos de Macron et du gouvernement, par-delà les faux-semblants, sont porteurs de marques indéniables de glissement vers la soumission.

     

    Source : les4verites

  • Je hais la démocratie!

    Publié par Guy Jovelin le 25 mai 2019

    démocratie,france

    Comment puis je haïr la démocratie? Par le simple fait d'observer les révolutions de certains pays du Maghreb et les élections "libres" de certains pays africains!! Par le simple fait d'observer notre omnipotent autant qu'incompétent gouvernement!

    Commençons par notre pays, chère France, berceau de la démocratie populaire, pays de LA révolution, la grande, celle qui devait associer le peuple aux décisions de gouvernements mis en place par le soin d'élections!! On aurait dû se méfier dès le début, comment prétendre que le peuple a voix au chapitre quand la moitié de celui ci n'a pas le droit de s'exprimer puisque les femmes n'avaient pas le droit de voter, nous aurions dû savoir que ce n'était qu'un leurre et que le seul changement tangible était les noms des décideurs! Les nantis abuseurs de peuple n'étaient plus les nobles, ils étaient déjà pauvres, ce sont donc les nouveaux riches qui se sont nantis plus encore et en se donnant bonne conscience puisque c'est le peuple qui votait!
    Et, depuis rien n'a changé, ou plutôt si, ils ont de moins en moins de scrupules et ne se cachent même plus pour nous spolier de nos droits fondamentaux (même moi, je passe de plus en plus pour un dangereux contestataire aux yeux de la bien pensance populaire!!), des caméras, des radars, des flics à chaque coin de rue, des lois de plus en plus répressives et tout ça, hein, je vous le dis, au nom de la démocratie!!!
    Qui sont ces gens du peuple, élus par le peuple, pour le peuple et qui à peine les rênes du pouvoir dans les mains se croient libres d'agir comme ils l'entendent? De quel droit se revendiquent ils pour ne respecter aucune des promesses faites avant leur élection? Et quand se décidera t on à les juger et à les condamner pour ces mensonges éhontés que sont ces promesses non tenues? Là, oui, nous pourrons parler à nouveau de démocratie! En attendant, le peuple courbe l'échine et se trouve des excuses en se disant que les autres ne sont pas mieux, mais cela risque pourtant bel et bien de finir dans le bain de sang d'une révolution tardant trop à venir pour n'être pas guidée par la haine et des têtes tomberont à nouveau!!
    Ce n'est qu'en levant l'immunité des classes dirigeantes que nous pourrons à nouveau être fiers de notre démocratie et que les tenants du pouvoir devront s'en tenir à leur seul vrai rôle, être les voix du peuple dans son ensemble!! Il faut mettre un terme aux abus de pouvoir liés à l'argent ou aux minorités, la seule voix que l'on doive écouter dans une démocratie est celle de la majorité et les grandes lois ne devraient être votées qu'après référendum! Il faudrait surtout museler ces minorités "bien pensantes", tous ces gens qui prétendent vouloir le bien commun alors qu'ils ne visent qu'une amélioration de leurs conditions personnelles!
    Ce n'est certes pas simple, mais si nous avions voulu faire dans la simplicité nous aurions voté pour une dictature! Nous ne serions qu'à peine plus malheureux qu'aujourd'hui, mais au moins ne le saurions nous pas!!
    C'est pour cet ensemble de faits que je hais la démocratie, pour ce que nos tenants du pouvoir actuels en font, la foulant aux pieds, insultant des peuples entiers par des lois liberticides et réadaptées à chaque fait divers, agissant au coup par coup comme des bandits peu éclairés puisque c'est, bel et bien, ce qu'ils sont devenus!
    Allez, c'est tout pour cette fois, vous pouvez éteindre vos ordinateurs et aller déchirer votre carte d'électeur avant de l'envoyer par la poste à l'Elysée afin que notre classe politique réagisse avant que la révolution ne soit inéluctable!
     
  • Démocratie de l'émeute ?

    Publié par Guy Jovelin le 27 février 2019

    Le président de la République est bien gentil quand il nous dit qu'il ne veut pas d'une « démocratie de l'émeute ».

    Personne ne veut, d'ailleurs, d'une démocratie de l'émeute. Sauf les Black-block, les Antifas et les racailles-pillards des banlieues,  contre lesquels justement presque rien n'a été fait. En ce moment et depuis des années. Ils ont trop opportunément servi à discréditer les Gilets jaunes pour qu'on décide des mesures pourtant assez simples qui les auraient empêchés d'infiltrer les cortèges des dits Gilets jaunes  chaque samedi soir à la nuit tombante. Car imagine-t-on des manifestations aussi déterminées que sans violence, sans désordre et sans casse ? Et que les Français continueraient aujourd'hui de soutenir massivement car les difficultés, les affres, même, des Gilets jaunes ils les connaissent trop bien et ils les vivent eux aussi ? Quel risque, quelle situation immaîtrisable c'eût été ! Les violents, les casseurs, les voyous, la pègre ont été en la circonstance l'aubaine du Pouvoir. Comme toujours, comme dans toute révolution, figurez-vous ! Alors, Emmanuel Macron reprend la main, remonte dans les sondages et retourne une partie de l'opinion. Il reforme le vieux parti de l'ordre. De l'ordre prétendu - sur la nature et la qualité duquel, on ne sera pas trop regardant, bien-entendu. Et les médias des oligarques au secours du macronisme de relayer à l'envi la formule lénifiante : "Je ne veux pas d'une démocratie de l'émeute"...

    NantesChateauMuséeNoyades-768x586.jpgTelle est pourtant, de fondation, la démocratie française. Nous ne disons pas : toute démocratie. Nous disons : la démocratie française. Macron nous rabâche sur tous les tons - ton du prêcheur doucereux, voix de velours et regard langoureux de séducteur charismatique ou ton exalté du prédicateur évangélique, gestes saccadés et voix criarde. - qu'il ne veut pas d'une « démocratie de l'émeute ». Mais faut-il lui rappeler quelles sont les origines historiques de la démocratie française ? Nous serions bien étonnés qu'il puisse nous démontrer qu'elle n'est pas née de l'émeute, violente, sanglante, génocidaire. De l'émeute, de la Terreur et de la guerre. Inutile d'en dresser la liste ni d'en brosser le tableau, n'est-ce pas ? (Photo, Les noyades de Nantes).

    Dans une conversation sérieuse, Macron serait bien en peine de plaider le contraire, lui qui, en 2015, avait, à l'étonnement général, dont le nôtre, déploré l'absence de roi et s'était dit convaincu que les Français n'avaient pas voulu l'exécution de Louis XVI. Chacun sait qu'elle fut votée quand-même sur fond d'émeute, d'où les voyous, les sanguinaires et les pillards n'étaient pas absents. Façon de dire d'ailleurs : ils tenaient le haut du pavé et faisaient sans cesser monter les enchères du crime et de la Terreur. La Révolution française - d'où naquit notre démocratie - n'a rien eu de démocratique. Elle a connu plus de têtes au bout d'une pique que de bulletins de vote.   

    Danton Marat Robespierre.JPGSuccesseurs des Robespierre, des Danton, Marat et autres scélérats, les présidents de la République française ont une sorte d'ADN qui tient de cette origine émeutière et sanglante et qui leur colle à la peau - en vérité à leur être profond - bien plutôt que le sparadrap  Benalla dérisoire aux basques d'Emmanuel Macron. Qu'elle le veuille ou non, la démocratie française est émeutière.

     

    Source : lafautearousseau