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  • L’islamophilie de Facebook : il tolère les talibans mais censure une association caritative catholique

    Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2022

    La Catholic News Agency, basée à Washington, rapporte que le réseau social de Mark  Zuckerberg a censuré une association caritative catholique.

    L’association britannique Aid to the Church in Need UK, (Aide à l’Eglise en détresse) basée à Londres, a lancé sa campagne avec une série de publicités sur Facebook début novembre. L’effort de l’organisation a eu lieu en conjonction avec la publication de son nouveau rapport, intitulé Hear Her Cries, (Ecoutez leurs pleurs) qui détaille les abus endémiques et largement ignorés des femmes et des filles chrétiennes ou membres d’autres groupes religieux minoritaires aux mains d’extrémistes islamiques, au Nigeria, au Mozambique, en Irak, en Syrie, en Égypte et au Pakistan.

    Cet organisme de bienfaisance catholique « a déclaré, relate Catholic News Agency, qu’il avait été censuré et dé-référencé par Facebook sans explication à la suite de la récente campagne de pétitions du groupe appelant à redoubler d’efforts pour mettre fin aux enlèvements, à la conversion forcée et au mariage de femmes et de filles chrétiennes dans les pays islamiques. En une semaine, le 10 novembre, Facebook a informé l’association caritative que le géant des médias sociaux réduisait fortement le nombre d’annonces que le groupe pouvait publier ».

    Facebook ne donnait pas de raison spécifique mais indiquait dans son avis :

    « Ceci est dû au fait que trop d’annonces ont été cachées ou signalées pour les comptes associés à cette entreprise. Les gens cachent et signalent les publicités parce qu’ils les trouvent offensantes, trompeuses, sexuellement inappropriées, violentes, portant sur un sujet sensible ou pour d’autres raisons. »

    Aid to the Church in Need UK affirme avoir également perdu l’accès à la plate-forme de messagerie instantanée WhatsApp et à Instagram, tous deux détenus par Facebook.

    L’association souligne avoir tenté sans succès, depuis que les restrictions ont été imposées, d’obtenir une explication de Facebook, qui a répondu via un email d’Alex de « Assistance Conciergerie Facebook » :

    « Nous comprenons parfaitement l’urgence de cette question et à quel point cela est important pour vous, mais de telles situations nécessitent une enquête détaillée et une solution, et compte tenu des circonstances, nous ne pouvons pas offrir de délai. »

    Toujours dans l’article de Catholic News Agency, on peut lire que « John Pontifex, responsable de la presse et de l’information de l’association caritative, a déclaré à l’AIIC que l’action de Facebook avait effectivement « tué » la campagne de pétition du groupe, qui a finalement recueilli 3 210 signatures. Ce total était d’environ un quart de ce que l’organisme de bienfaisance avait prévu, sur la base des résultats d’une campagne de pétitions précédente, a-t-il déclaré. Pontifex a remis les pétitions le 15 décembre à Fiona Bruce, une députée qui est l’envoyée spéciale du Premier ministre Boris Johnson pour la liberté religieuse ».

    Dans un communiqué, Neville Kyrke-Smith, directeur national d’Aid to the Church in Need UK, a fustigé Facebook pour ses actions :

    « Nous sommes horrifiés que notre campagne qui vise à aider les femmes souffrantes ait été censurée de manière aussi draconienne. En prétendant avoir interdit notre publicité pour violation de ses directives, mais en refusant de dire quelles directives ou comment, Facebook s’est fait juge, jury et bourreau. »

    Kyrke-Smith a poursuivi en accusant Facebook d’aider et encourager les abus que l’organisme de bienfaisance tente d’arrêter :

    « En mettant un terme à cette campagne, ils font taire ces femmes à deux reprises. Elles sont réduites au silence lorsqu’elles sont arrêtées à leur domicile et contraintes de vivre avec leurs ravisseurs, et sont maintenant à nouveau réduites au silence par Facebook. »

    Laura Bramon Hassan, directrice exécutive du projet Philomena qui se penche sur le problème de la traite des êtres humains et du mariage des enfants a qualifié les actions de Facebook envers l’Aide à l’Église en Détresse de « troublantes » :

    « Malheureusement, la violence à l’égard des femmes est une violation des droits humains qui transcende les divisions culturelles, ethniques et religieuses. Le travail de l’Aide à l’Église en détresse pour mettre fin à la violence sexuelle à l’égard des femmes unifie et amplifie les voix des groupes religieux minoritaires, hindous, yézidis et des communautés chrétiennes. La décision de Facebook UK d’attaquer cette coalition pour avoir mis en lumière le sort d’un groupe est déroutante et troublante. »

    Après l’indulgence complice vis-à-vis des Talibans, le réseau social se converti en fanatique intolérant à l’encontre de catholiques qui luttent contre des pratiques esclavagistes et violentes des islamistes.  Le bien-pensant Facebook, gardien auto-proclamé de la conscience morale universelle politiquement correcte, fait preuve à nouveau d’une islamophilie consciente et d’un antichristianisme primaire.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Facebook recrute un lobbyiste pour lutter contre l’extrême droite et les suprémacistes blancs

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2021

    Le géant américain Facebook, qui étoffe ses équipes de lobbyistes, recherche un spécialiste des “organisations dangereuses ” pour l’Europe. Celui-ci pourrait être basé à Paris, Londres, Bruxelles ou Berlin..

    La Lettre A via fdesouche

  • Après la Pologne, la Hongrie prépare la riposte à la censure menée par Twitter, Facebook and co

    Publié par Guy Jovelin le 22 janvier 2021

    La ministre hongroise de la Justice a averti qu’elle préparait des mesures pour lutter contre les «abus systématiques» de la censure des Big Tech.

    Judit Varga, la ministre hongroise de la Justice, a donné cet avertissement dans un message Facebook lundi. Elle a évoqué la censure employée par les entreprises de Big Tech, soulignant en particulier comment les fournisseurs de réseaux sociaux s’accordent en secret, à des fins politiques, pour restreindre la visibilité et l’accès pour tous ceux qui contestent le Nouvel Ordre Mondial.

    «Les entreprises technologiques violent ainsi toutes ces normes juridiques démocratiques fondamentales qui forment la base de la culture de type occidental», a-t-elle déclaré. «Nous avons pu en apprendre davantage sur la pratique de la censure à partir d’un enregistrement vocal du PDG de Twitter qui a fait l’objet d’une fuite.»

    Elle a également abordé spécifiquement la censure anti-chrétienne qui se produit sur les plateformes de réseaux sociaux: «Pour réduire leur portée, Facebook limite également la visibilité des opinions chrétiennes, conservatrices et de droite. J’en ai aussi une expérience personnelle. »

    La Pologne prend également des mesures pour contrer le monopole des Big Tech sur la liberté d’expression, et des lois sont en cours de rédaction qui rendraient illégale la censure par les réseaux sociaux. Le Premier ministre Mateusz Morawiecki a déclaré : «La liberté d’expression est une pierre angulaire de la démocratie – c’est pourquoi nous devons la défendre. Ce n’est pas aux algorithmes ou aux propriétaires de grandes entreprises de décider quelles opinions sont correctes et lesquelles ne le sont pas. Les propriétaires de réseaux sociaux ne peuvent pas fonctionner au-dessus de la loi. »

     

    Source : medias-presse.info

  • Facebook et Instagram vont censurer les images du Père Fouettard, vieille tradition européenne accompagnant Saint Nicolas

    Publié par Guy Jovelin le 13 août 2020

    Les réseaux sociaux Facebook, Instagram et Twitter semblent se livrer à une course dans la surenchère de censure.
    On ne compte plus les personnalités et mouvements du camp national et de la dissidence qui en sont les victimes.
    Ces dernières semaines, on a vu ces réseaux sociaux s’instaurer en juges pour écarter en différents domaines toute information qui contredit la version du Nouvel Ordre Mondial. Même le président des Etats-Unis se voit désormais régulièrement censuré par ces réseaux sociaux lorsqu’il contredit l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), organisation onusienne dont le principal financement provient de la Fondation Bill & Melinda Gates ainsi que du lobby pharmaceutique !

    Mais Facebook et Instagram ont maintenant décidé de s’en prendre aux traditions européennes.
    Exemple très concret : les photos et vidéos du Père Fouettard – qui accompagne Saint Nicolas lors de sa tournée parmi les enfants au début du mois de décembre – sont désormais interdites sur Facebook et Instagram. La raison : des campagnes d’associations communautaristes noires pour prétendre que cette tradition serait raciste.
    Le règlement intérieur des deux réseaux sociaux a été adapté en conséquence, a rapporté l’entreprise mardi lors d’une conférence de presse.

    En Belgique et aux Pays-Bas, où la tradition du Père Fouettard (Zwarte Piet) est ancrée depuis longtemps parmi les fêtes familiales de fin d’année, la décision de Facebook suscite la colère. De nombreux internautes ont réagi en postant des photos de Père Fouettard pour faire part de leur mécontentement.

    Ce n’est pas à une entreprise américaine de décider ce qui est permis ou pas”, commente Ignace Glorieux, professeur de sociologie à la VUB, dans le quotidien flamand Het Laatste Nieuws.

    Et le professeur Glorieux de demander où placer la limite?
    Aujourd’hui, il s’agit du Père Fouettard et de caricatures juives, mais quid des musulmans, des caricatures de Mahomet? Tout le monde a ses sensibilités. Ce qui me frappe, c’est la vitesse à laquelle tout a changé. Il n’y a pas si longtemps, il y avait encore de grandes manifestations pour la liberté d’expression après l’attentat de Charlie Hebdo. Il y avait un large soutien dans l’opinion publique pour dire que ce caricaturiste danois avait le droit de se moquer du prophète. Aujourd’hui, il y a toute une série de choses qui ne sont plus tolérées. Pour être clair, je trouvais ces caricatures de très mauvais goût mais faut-il pour autant les interdire. Je ne crois pas”, poursuit-il.

    Le monde politique belge n’a pas non plus apprécié la nouvelle censure imposée par Zuckerberg. “On va le répéter une fois de plus: le Père Fouettard n’a rien à voir avec du racisme”, a réagi Egbert Lachaert, président de l’Open VLD, parti libéral flamand.

    En cette période, Facebook considère le Père Fouettard comme une priorité. Comprendra qui pourra”, a tweeté Assita Kanko, députée européenne N-VA.

    Facebook a expliqué que sa censure fonctionnera selon une détection automatique par le biais d’algorithmes. Mais cela n’a pas encore été mis en place à ce jour. Alors, profitez-en tant que vous le pouvez encore !

     

    Source : medias-presse.info

  • Haine en ligne: Facebook fournira les adresses IP à la justice française

    Publié par Guy Jovelin le 25 juin 2019

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    Facebook a accepté de fournir à la justice française l'adresse IP des auteurs de propos haineux sur internet, a déclaré mardi le secrétaire d'Etat au Numérique, Cédric O, dans une interview à Reuters.

    » LIRE AUSSI - Ce que dit la proposition de loi contre la haine en ligne

    Il a précisé que c'était une décision spécifique à la France de la part du média social américain. «Ils nous ont annoncé que (...), eu égard aux discussions qu'ils ont eues avec nous, ils allaient transmettre les adresses IP pour les contenus de haine en ligne qui seraient demandées par la justice. Ce qui est une énorme nouvelle», a-t-il dit.

    «Cela veut dire que le processus judiciaire va pouvoir se dérouler normalement. C'est vraiment très important, ils ne vont le faire que pour la France», a-t-il ajouté. Jusqu'ici, quand la justice française demandait des adresses IP, Facebook ne les donnait que s'il s'agissait de dossiers relevant du terrorisme ou de la pédo-pornographie. «Sur les sujets de haine en ligne, ils ne les donnaient pas», a rappelé Cédric O.

     

    Source : lefigaro