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français - Page 5

  • Pr Peyromaure de l’hôpital Cochin à Paris : « Des millions de Français ont été vaccinés pour rien ! »

    Publié par Guy Jovelin le 23 décembre 2021

    Dans cette vidéo (voir ci-dessous), le Pr Michaël Peyromaure, chef du service d’urologie de l’hôpital Cochin à Paris et auteur de « Hôpital, ce qu’on ne vous a jamais dit » aux éditions Albin Michel, répondait à Sonia Mabrouk. Les questions portaient sur l’état de l’hôpital, le risque de saturation des hôpitaux, l’obligation vaccinale déguisée, le passe sanitaire ou passe vaccinal, le variant Omicron et la vaccination des enfants de 5 à 11 ans.

    « Moi, je considère que le passe sanitaire sur le plan fondamental est une espèce de discrimination, c’est-à-dire qu’on autorise certaines personnes à avoir recours à certaines activités sur un critère médical. Le principe me heurte et ça devrait être une mesure d’exception, or on constate que ça va durer. A titre personnel je ne suis pas très favorable au passe sanitaire. »

    Loin de la langue de bois, le Pr Peyromaure assure dans des propos explosifs que « le reproche qu’on peut faire au passe sanitaire et donc bientôt au passe vaccinal, c’est qu’il y a des millions de gens qui se sont fait vacciner pour rien parce qu’ils ne sont pas à risque. Tous les jeunes, par exemple, tous les gens qui ont 40-50 ans. […] il aurait fallu cibler les gens à risque et laisser le virus circuler chez tous les autres. »

    A la question les non-vaccinés sont-ils responsables de l’engorgement des hôpitaux, sa réponse est « Non je crois qu’il faut attribuer le délitement de l’hôpital à tous nos politiques à tous nos gouvernants successifs de droite de gauche et du centre qui n’ont rien fait pour sauver cette institution […] toutes les mesures qui ont été prises ces dernières années pour l’hôpital sont allées dans le même sens, c’est-à-dire une gestion très comptable, très rigide. Le pouvoir a imposé à l’administration la mise au pas des soignants, la mise à l’écart de notre mission de soins. »

    Le professeur pointe l’état de son service et ses conséquences catastrophiques : « Notre service d’urologie à l’hôpital Cochin a toujours 50 % de ses salles d’opération fermées, faute d’infirmières de bloc, ce qui est tout à fait considérable parce que nous déprogrammons chaque semaine des patients. On estime que ces derniers mois on a dû reporter ou annuler 380 interventions chirurgicales rien que dans notre spécialité. »

     


     

     

    Source : Le Média en 4-4-2

  • Touche pas à mon migrant !

    Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2021

    On est incapable d’empêcher les clandestins de la moitié du monde de venir chez nous.

    Mais, quand on les a, on ne veut pas qu’ils s’en aillent.

    Parce qu’on a eu trop de mal à les récupérer sans doute.

    Nous participons aux brillantes opérations maritimes de Frontex contrainte (par ordre de Bruxelles) de ramener en Europe tous les « naufragés », vrais, ou plus souvent faux, qu’elles ramassent, même à proximité des côtes d’où ils sont partis.

    On connaît depuis longtemps les détails de l’organisation de ce trafic : mise à l’eau dans des embarcations quelconques, con­tact avec le centre de secours à Strasbourg pour donner la position des esquifs, récupération par les marines nationales qui ramènent tout le monde sur les côtes européennes.

    On est loin des règles humanitaires du secours en mer.

    Nos marines sont complices d’un trafic d’êtres humains, curieusement presque tous masculins et jeunes.

    Parallèlement, de plus en plus de migrants tentent la traversée entre la France et la Grande-Bretagne : 1 500 rien que pendant le week-end dernier.

    Les Anglais n’en veulent pas et nous accusent d’être incapables de les retenir – ce que nous devrions faire en vertu d’accords passés et d’une rétribution britannique pour y contribuer.

    Les Anglais rouspètent et nous aussi.

    Que nous retenions des gens qui n’ont rien à faire chez nous est absurde.

    Mais, si j’étais Anglais, je trouverais normal que l’on refoule ceux qui viennent illégalement du continent : que les Français gardent ceux qu’ils ont été incapables d’empêcher d’entrer !
    Les Anglais nous reprochent ce que nous reprochons aux Italiens et aux Grecs.

    Quel est le problème à la source ? Une fois de plus, c’est l’Europe qui, par sa lâcheté et les règles laxistes qu’elle nous impose, crée cette situation.

    Qui est aux commandes à Bruxelles ? Les peuples européens ou M. Soros et ses ONG affidées ?

    Il est urgent que nous ayons enfin le courage de dénoncer la part des traités mortifères que nous avons imprudemment signés – et de négliger la jurisprudence des cours de justice européennes (la CEDH surtout) dont le champ d’application s’étend de plus en plus.

    Je ne trahis pas l’Europe, mais je pense depuis longtemps que l’Europe nous trahit.

     

    Source : les4verites

  • Signe de l’appauvrissement vécu par une partie de la population, seuls 39% Français s’estiment en capacité d’épargner à la fin du mois

    Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2021

    D’après une enquête Ifop du JDD  sur leur capacité à épargner, seuls 39% des Français s’affirment en capacité de mettre de l’argent de côté après avoir payé toutes leurs dépenses contraintes (logement, alimentation, etc.). C’est 5 points de moins qu’en 2014 (44% à l’époque), et surtout 15 points de moins qu’en 2010 (54%).  Cet effondrement de la capacité d’épargner, s’il peut en partie s’expliquer par le basculement d’une grande partie de nos modes de consommation vers le régime de l’abonnement, témoigne surtout de l’appauvrissement vécu par une partie de la population.

    Logiquement, la capacité des Français à épargner varie principalement selon leur niveau de vie : 71% des catégories aisées s’affirment en mesure de mettre de l’argent de côté en fin de mois, ce taux s’effondrant à mesure qu’on progresse vers les plus démunis, pour atteindre seulement 21% chez les catégories pauvres, gagnant moins de 900 euros mensuels par personne au foyer.

    On observe cependant la fragilité d’autres publics, plus marqués encore par la dégradation de la capacité d’épargne à l’œuvre chez l’ensemble des Français. Ainsi, seulement 31% des femmes se disent en mesure de mettre de l’argent de côté (contre 47% des hommes) : elles étaient 40% en 2014. Mal lotis, employés (33%, -10 points) et ouvriers (23%, -15 points) figurent aussi parmi ceux qui ont le plus perdu de capacité d’épargne.

    Le JDD via fdesouche

  • Tandis que Rome s’acharne contre les traditionalistes, les Français croient de moins en moins en Dieu

    Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2021

    Tandis que Rome s’acharne contre les traditionalistes, les Français croient de moins en moins en Dieu

    La mise en parallèle de ces deux informations est ubuesque. Le pape François a déclaré aux jésuites slovaques :

    Vous avez dit un mot très important, qui identifie la souffrance de l’Église en ce moment : la tentation de revenir en arrière. C’est ce dont nous souffrons aujourd’hui dans l’Église : l’idéologie du retour en arrière. C’est une idéologie qui colonise les esprits. Il s’agit d’une forme de colonisation idéologique. Ce n’est pas vraiment un problème universel, mais plutôt spécifique aux Églises de certains pays. La vie nous fait peur, (…)  la liberté nous fait peur. Dans un monde tellement conditionné par les addictions et la virtualité, nous avons peur d’être libres. (…) C’est pourquoi aujourd’hui des gens se tournent vers le passé : pour chercher la sécurité. Nous avons peur de célébrer devant le peuple de Dieu qui nous regarde en face et nous dit la vérité. (…) C’est le mal de ce moment : chercher la voie dans la rigidité et le cléricalisme, qui sont deux perversions. (…) J’espère maintenant qu’avec la décision de mettre fin à l’automatisme de l’ancien rite, nous pourrons revenir aux véritables intentions de Benoît XVI et de Jean-Paul II. (…) Désormais, ceux qui veulent célébrer avec le vetus ordodoivent demander la permission à Rome, comme cela se fait pour le biritualisme. Pourtant, il y a des jeunes qui, après un mois d’ordination, vont voir l’évêque pour le demander. C’est un phénomène qui indique que nous sommes en train de régresser. Un cardinal m’a raconté que deux prêtres nouvellement ordonnés sont venus le voir pour lui demander d’étudier le latin afin de pouvoir bien célébrer. Celui-ci, qui a le sens de l’humour, a répondu : « Mais il y a tellement d’Hispaniques dans le diocèse ! Étudier l’espagnol pour pouvoir prêcher. Ensuite, lorsque vous aurez étudié l’espagnol, revenez me voir et je vous dirai combien de Vietnamiens il y a dans le diocèse, et je vous demanderai d’étudier le vietnamien. Ensuite, quand tu auras appris le vietnamien, je vous donnerai aussi la permission d’étudier le latin ». Alors il les a fait « atterrir », il les a fait revenir sur terre.

    Contrairement à ce que déclare ce bon pape, l’idéologie du retour en arrière se caractérise aujourd’hui par un retour aux lubies des années 70.

    Revenons donc sur terre…

    Une majorité de Français ne croit pas en Dieu. A la question “Vous, personnellement, croyez-vous en Dieu ?”, 51% des sondés répondent “non” (contre 44% en 2011 et 2004),selon un sondage Ifop pour l’Association des journalistes d’information sur les religions (Ajir), publié jeudi 23 septembre. Dans le détail, les plus croyants sont chez les 65 ans et plus (58%) puis chez les 18-34 ans (48%).

    L’épidémie de Covid-19 a encore éloigné les Français de la pratique religieuse. Et pour cause : nos évêques se sont très facilement soumis à la dictature sanitaire, estimant que la santé du corps passait avant celle de l’âme. Alors si la messe dominicale n’est pas si importante, pourquoi y retourner ? Les personnes interrogées parlent de moins en moins de religion en famille. Ils sont 38%, contre 58% en novembre 2009. Et seuls 29% en parlent avec leurs amis (49% en 2009).

    Mais ce qui est important pour certains évêques, c’est surtout d’interdire à certains prêtres d’enseigner le catéchisme. Pensez donc : certains Français pourraient devenir catholique. Et cela c’est une grave tentation de retour en arrière…

     

    Source : lesalonbeige

  • Les vacances, les vacances, les vacances !

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2021

    Vivent les vacances, à bas les pénitences, les cahiers au feu, les maîtres au milieu. »

    Voilà ce que les enfants chantaient jadis au mois de juin, à la veille de la libération du 14 juillet. Les vacances se prenaient alors du 14 juillet au 1er octobre.

    Aujourd’hui, les vacances occupent les esprits tout au long de l’année et tous de chanter ce refrain : « Vivent les vacances, à bas les pénitences, les impôts au feu, le fisc au milieu. »

    L’ennui, c’est que le fisc, continuant d’imposer les pénitences, ne prend pas de vacances. Tout au contraire, on dirait que, pendant les vacances, il redouble d’ardeur.

    Toujours est-il que l’on est en vacances au mois d’août. C’est le mois sacré des vacances sacrées.

    « Puis-je parler à votre directeur ?
    – Non, Monsieur, il est en vacances.
    – Alors passez-moi, s’il vous plaît, le sous-directeur.
    – Il est en congé de paternité.
    – Alors la secrétaire ?
    – Non, Monsieur, elle aussi est en vacances. Elle est en congé de maternité … »

    Je viens de rencontrer un brave fonctionnaire et je lui ai dit : « Ces temps-ci, que faites-vous ? » Il m’a répondu qu’il était en vacances. Un peu plus tard, je l’ai revu et lui ai reposé la même question.

    Il m’a répondu qu’il était toujours en vacances. Je crois que ce fonctionnaire est en vacances perpétuelles. Une exception, direz-vous ? Pas du tout, ils sont très nombreux comme cela à être toujours en vacances.

    J’ai demandé à l’un d’entre eux ce qu’il faisait en vacances. Il m’a répondu qu’il étudiait les prochaines vacances.

    Je viens de rencontrer mes voisins. Ils rentrent de vacances.

    « Avez-vous passé de bonnes vacances ?
    – Ah oui, dans les Cévennes, chez un éleveur de moutons. C’était génial. On va y retourner. D’autant que maintenant il va faire de la chèvre. Génial, je vous dis ! »

    En tout cas, au mois d’août, la France est fermée.

    Elle est bouclée comme une boutique qui a baissé son rideau.

    C’est le couvre-feu. Plus personne nulle part. Mais où sont-ils ?

    « Ils sont à la plage, Monsieur.
    – Mais que font-ils à la plage ?
    – Ils vérifient qu’ils ont toujours 5 doigts au pied gauche. Ils lisent le journal et les promesses des politiciens, qui ne seront jamais tenues. Alors, rassurés, ils s’endorment. »

    Parmi tous ces « travailleurs », j’en connais dont le programme quotidien est le suivant : arriver au travail à 9 h 30 ; salut aux collègues ; lavage des mains ; café ; lecture du journal ; discussion sur l’événement du jour ; cantine ; sieste bien assis au bureau ; téléphone aux amis, aux amies et à toute la famille ; départ. Un tel programme, aussi harassant, exige bien sûr de longues vacances de repos !

    La vérité est qu’en France, on ne travaille pas assez.

    Tout le monde le sait. L’économie, évidemment, s’en ressent, et aussi le pouvoir d’achat.

    Si un responsable politique faisait en sorte que les Français travaillent davantage, il deviendrait impopulaire aussitôt.

    Personne donc ne tentera l’aventure. D’ailleurs les syndicats sont là !

    Les vacanciers n’ont donc rien à craindre. Ils peuvent continuer à dormir tranquillement en vacances, au bord de la mer, en montagne ou en plaine – aux côtés des chômeurs, eux en vacances forcées, et toujours aussi nombreux.