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gouvernement - Page 11

  • Retraites: les syndicats rouges bloquent. Le gouvernement papote.

    Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2019

    L’image contient peut-être : 3 personnes, personnes souriantes, personnes assises et intérieur

    Après dix huit mois de consultations, de négociations et de concertations aussi bavardes que stériles, aussi oiseuses que sans effets, le gouverneur ouvre ce mercredi une nouvelle séquence de discussions avec les partenaires sociaux pour tenter de sauver sa réforme bancale des retraites et de débloquer une situation qui, chaque jour, devient plus pénalisante pour les Français, plus contraire à la cohésion nationale et sociale, et plus nuisible à l'économie du Pays.

    Face aux grèves, le pouvoir macronien a, dans un premier temps, joué le pourrissement en espérant que l'approche de Noël et des vacances de fin d'année lui offrirait une possibilité de sortie de crise. Il compte aujourd'hui sur les syndicats réformistes pour l'aider à sortir de l'impasse dans lequel il s'est lui même enfermé, quitte à abandonner toute référence à son plan, hasardeux et flou, d'équilibre du système par répartition.

    Deux stratégies perdantes. Dans le premier cas, malgré l'exaspération des Français empêchés de se déplacer, l'opinion publique reste hostile à la méthode comme au fond de cette réforme. Dans le second, ni la CFDT, ni l'UNSA ne sont en mesure de faire fléchir les grévistes ni de lever les blocages.

    Il est de la nature des pouvoirs faibles comme l'est cette république progressiste en marche arrière, de s'engager dans des processus politiques ou sociaux aventureux dont ils n'ont ni la maîtrise ni les moyens de les mener à leurs termes.

    Seul un pouvoir fort — ce ne pourrait bien entendu être que celui d'un régime de droite nationale — saurait imposer ses décisions, mener à bien ses entreprises de relèvement politique, économique et social de la Nation, et mettre au pas ses oppositions.

    Pour l'heure, l'actuel gouvernement n'a pas d'autre choix que de retirer une réforme mal ficelée, illisible et injuste.

    Et de consulter par référendum les Français sur l'avenir de leurs retraites.


    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France

  • Le gouvernement arrose les familles polygames musulmanes

    Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2019

    Publié le 13 décembre 2019 - par 

    La réforme des retraites au Frankistan, c’est toujours plus de pognon pour les envahisseurs.

    En effet, à présent le gouvernement promet 5 % par enfants, plus un bonus de 2 % supplémentaire pour le 3e et les suivants. Les parents pourront choisir quel parent récupère le bonus sur sa future retraite. Et un conflit de plus pour les Français qui vont divorcer, cela manquait dans le tableau.

    Donc prenons l’exemple d’un Malien père de 15 enfants qu’il a eus de ses 3 épouses achetées au Mali et qui travaille comme éboueur à Paris. Il va bénéficier d’un bonus retraite famille nombreuse de 5 % fois 15 plus 2 % fois 13 soit un bonus de 101 % !!!

    Eh oui, il va doubler sa retraite ! Après avoir fait payer les Français pour ses enfants et ses 3 femmes, il va nous coûter le double à la retraite qu’un Français de sang. Et sur ses 15 enfants, il y aura au moins la moitié de ses fils en prison et ses autres enfants aux minimas sociaux à vie avec leurs descendants !

    Le casse-tête « trouve si tu vas échapper aux foudres de la réforme » en cadeaux de Saint-Nicolas :

    La dernière réforme s’est abattue pleinement sur les cohortes nées en 1973 et après, les obligeants à travailler 43 ans pour obtenir une retraite à taux plein. Mission quasiment impossible pour les Français qui ont eu 20 ans dans les années 90 ou 2000, donc nés dans les années 70 ou 80, puisqu’ils ont été parqués en masse à l’université pour masquer le chômage et qu’ils ont commencé leur vie active en étant chômeur.

    Cette fois, la foudre devait s’abattre sur les cohortes nées en 1963 et après. Mais après une semaine de grève SNCF et RATP, le gouvernement recule et propose les cohortes nées en 1975 et après. Sauf que NON, parce que l’âge pivot de 64 ans, lui, va s’abattre sur les cohortes nées en 1960 et après. #mdr

    Et là j’ai une pensée pour les migrants faux mineurs de 25 ans qui vont devoir attendre d’avoir 74 ans réels pour partir à la retraite, après une vie inactive d’inadapté social.

    Et dire qu’il y a des députées macronistes qui s’étonnent que les gens ne les aiment pas. Et que des Français osent débouler devant chez eux et leur famille pour crier leur colère. https://www.bfmtv.com/politique/quatre-deputes-larem-cibles-par-des-manifestants-contre-la-reforme-des-retraites-1823388.html

    Brenton ANDERS

     

    Sourc : ripostelaique

  • Quotas : le gouvernement veut booster l’immigration économique, un revirement libéral par rapport au discours de fermeté affiché

    Publié par Guy Jovelin le 06 novembre 2019

    Par  le 06/11/2019

    L’exécutif va instaurer des objectifs annuels par secteurs pour stimuler l’immigration professionnelle et la croissance. Un revirement libéral par rapport au discours de fermeté affiché depuis des semaines.

    L’exécutif annoncera mercredi à 11 heures, à l’issue d’un comité interministériel sur l’immigration et l’intégration qui se tiendra à Matignon, une vingtaine de mesures sur la gestion des flux migratoires. Parmi elles, des « objectifs chiffrés » pour l’immigration économique, a révélé lundi Le Parisien. Edouard Philippe sera sur BFMTV à 19 heures. Les quatre ministres concernés — Christophe Castaner, Agnès Buzyn, Muriel Pénicaud et Amélie de Montchalin — défendront ensuite les annonces.

    Simple et frappant comme un slogan. Le « quota » constitue le parfait symbole, pour l’exécutif, d’une reprise en main des flux migratoires. Quatre ministres autour d’Edouard Philippe vont annoncer, ce mercredi, l’instauration d’objectifs d’entrées par secteurs d’activité. Sauf que derrière le « mot assumé », dixit Matignon, se cache une politique… d’ouverture des flux légaux. Un leurre.

    (…) L’Opinion via fdesouche

  • Halloween : les monstres sont de sortis pour tout brûler

    Publié par Guy Jovelin le 02 novembre 2019

    Rédigé par notre équipe le 01 novembre 2019.

    Depuis une quinzaine d’années, Halloween s’est imposé en France grâce à la magie de la publicité, des médias, et de l’inculture. Un savant mélange qui permet à n’importe quelle marque de vendre son produit en y accrochant une fausse toile d’araignée sur laquelle veille une citrouille en plastique. Mais chaque pays a ses spécificités et en France, une certaine partie de la population adore brûler des choses. Des poubelles aux établissements scolaires tout est bon à prendre. Une soirée de plus dans l’agenda déjà très chargé de tous ceux qui s’activent à mettre notre pays à feu et à sang.

    Halloween… Ses citrouilles, ses têtes de mort, ses araignées et désormais ses incendies criminels. La France est morose, alors les racailles se proposent de mettre un peu de gaité autour de feux de joie. Ce 31 octobre consacre un nouveau degré atteint dans la déliquescence de notre pays. Alors que le gouvernement fait croire qu’il va sortir le département de Seine-Saint-Denis de ses tourments existentiels (pourquoi pas les autres départements aussi ?), le message a été reçu cinq sur cinq par les « grands frères ». Une dizaine de véhicules a été incendié, des poubelles ont été calcinées… Une soirée presque comme les autres au fond, mais il fallait célébrer dignement Halloween, alors c’est le commissariat de La Courneuve qui a été pris pour cible.

    La France brûle, les ministres tweetent

    Trois fois rien vous diront les gauchistes, le commissariat a été visé par des tirs de mortier ! On voudrait bien croire à une farce, mais l’utilisation de mortier est devenue monnaie courante en Seine-Saint-Denis et ailleurs. Les policiers ne sont plus là pour faire régner l’ordre, mais pour servir de punching-ball à des trafiquants pourtant laissés tranquilles puisque la police n’intervient plus dans des centaines de quartiers en France. Certes, mais ces travailleurs non reconnus ont besoin de leur moment de décompression, alors le soir d’Halloween, c’es direction le commissariat avec la volonté de le raser et de faire le plus de victimes possibles.

    Halte à la stigmatisation, car la Seine-Saint-Denis n’est pas la seule à revêtir son masque de laideur (s’agit-il encore d’un masque ?), bien d’autres endroits en France ont vu rouge en cette soirée d’Halloween. La palme de l’horreur revient cette année à la ville de Béziers. Des bandes ont écumé la ville afin d’y mettre le feu. A force de persévérance, ils sont parvenus à leur but et c’est une école qui a flambé. Elle devra certainement être entièrement détruite, car sa structure a été si impactée que des travaux semblent impossibles. Ce sont ainsi 300 enfants qui se retrouvent sans école.

    Bien évidemment, les politiques y sont déjà allés de leur traditionnel message sur Twitter. Une école brûle, on fait semblant de s’émouvoir. Un commissariat est attaqué par des dizaines d’individus, on ne réagit même plus, l’habitude… Dans quelques années, l’incendie d’un établissement scolaire ne fera l’objet que d’un entrefilet dans la presse. La France s’enfonce toujours plus dans la guerre et la décadence. Mais peut-on vraiment parler de guerre quand on seul camp s’active et que l’autre se pose en victime expiatoire ?

    Allez, encore quelques Halloween en salade avec des 31 décembre et des 14 juillet et la France ne sera plus qu’un souvenir. Une œuvre collective à tous nos politiques depuis quarante ans, mais à laquelle les Emmanuel Macron, Edouard Philippe et autres Christophe Castaner auront mérité une mention spéciale.

     

    Source : 24heuresactu

  • Italie : nouveau gouvernement de gauche, retour de la politique pro-migrants

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2019

    Il n’aura pas fallu longtemps avant que le nouveau gouvernement de centre-gauche italien ne montre son idéologie pro-migrants.

    Le premier acte de cette coalition Parti Démocrate-Mouvement 5 Étoiles, coalition fortement teintée de rouge, aura été de contester une loi de la région Friuli-Venezia-Gulia parce que considérée par la bien-pensance discriminatoire.

    Le premier Conseil des ministres, sur la proposition du nouveau ministre des Affaires régionales, sorti des rangs du PD, s’en prend à la mesure prise par cette région gouvernée par un des fidèles de la Ligue et de Matteo Salvini, Massimiliano Fedriga.

    L’objet du bras de fer : le transfert des fonds prévus pour l’accueil aux fonds prévus pour les rapatriements des migrants ayant fait l’objet d’un décret d’expulsion. Cela concerne une somme globale de 4 M d’euros. Une autre mesure est mise en cause par le nouveau gouvernement : celle qui prévoit des incitations à l’embauche destinée à qui réside dans la région depuis au moins 5 ans. Elle est considérée elle-aussi discriminatoire envers les migrants.

    « C’est une honte absolue, a répliqué le gouverneur Fedriga. Le M5S et le PD ont déjà accouché du gouvernement de l’immigration sauvage. C’est un signal très clair : une attaque à l’autonomie (des régions, ndlr). Nous défendrons nos mesures devant la Cour Constitutionnelle. »

    Mais les véritables lois sur la liste-noire du nouveau gouvernement sont les deux décrets Sécurité de Salvini, décrets avant tout destinés à lutter contre l’immigration clandestine, : à biffer tout de suite. La révision de ces lois est le premier objectif des démocrates-chrétiens du PD. Ils ont d’ailleurs confié le ministère de l’Intérieur à une opposante forcenée de la politique de Salvini, Luciana Lamorgese, passionaria de l’accueil.

    Le nouveau gouvernement, sans aucun respect pour le vote anti-immigration des Italiens, vire à 190° par rapport à la ligne « des ports fermés et de la fermeté » de l’ancien ministre de l’Intérieur Salvini. Qui attaque :

    « Le gouvernement PD-M5S a eu un beau début. Nous nous préparons à un automne de batailles pacifiques, démocratique mais déterminé. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info