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grand remplacement - Page 10

  • Suppression de l'ENA : un objectif peut en cacher un autre

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2019

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    Emmanuel Macron a donc confirmé au cours de sa conférence de presse sa décision de supprimer l'ENA

    Pourquoi pas, s'il s'agit d'en finir avec le clanisme que l'on sait, l'enfermement technocratique et l'entre soi, source de copinage et de gestion cooptative des carrières que la Droite nationale n'a cessé de dénoncer depuis des décennies.

    Mais faire de cette école conçue à sa création pour former les serviteurs de l'État, la responsable de tous les maux de la politique et de l'administration françaises, c'est confondre la cause et les effets.

    L’effondrement du sens de l'État de nos prétendues élites et l'abdication de leur foi nationale au profit du mondialisme, voilà l'agent pathogène introduit depuis des décennies dans le corps de la Nation.

    Remplacer l'École Nationale d'Administration par une autre structure de même type habitée de la même déréliction spirituelle et du même abandon patriotique ne changera donc rien.

    Le Parti de la France considère qu'une école des cadres de l'administration constituerait un outil majeur pour le bien public au cœur d'un État national. À quatre conditions.

    • Que ses élèves soient formés au seul service de la Nation, en excluant toute dérive pro business, toute possibilité de pantouflage dans le privé.
    • Que tout haut fonctionnaire élu à un mandat politique ou nommé au gouvernement soit dans l'obligation de renoncer à son statut et de démissionner de la fonction publique.
    • Que soit mis fin à la toute-puissance des Grands corps de l'État quel que soit le nom qu'ils porteront demain.
    • Que le politique reprenne le pas sur l'administration en imposant ses choix et en veillant à l'application rapide des décisions.

    Mais, au-delà de la simple démagogie, la volonté de Macron de supprimer l'ENA a un tout autre but. Il s'agit en réalité de permettre une refondation sur le modèle de celle menée à Sciences Po il y a quelques années par son sulfureux directeur Richard Descoings dont la mort à New York dans des conditions les plus glauques, fit la une des gazettes. Objectif : permettre l'entrée massive au sein de l'École de la « diversité » en en ouvrant tout grand les portes aux populations des cités.

    La nouvelle école d'administration sera donc comme sa cousine de la rue Saint Dominique l'est devenue, un tiers bobo, un tiers gauchiste et un tiers allogène.

    C'est bien là l'intention de Macron. Une forme de Grand remplacement au sein de la Haute administration encore française.

    Jean-François Touzé - Délégué National du Parti de la France aux Études et Argumentaire

  • A Paris, des habitants vivent “un véritable enfer” : un bel exercice de novlangue

    Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2019

    Auteur : Michel Janva

    A Paris, des habitants vivent “un véritable enfer” : un bel exercice de novlangue

    Dans un article publié sur le Hufftington Post, on découvre le terrible quotidien des habitants du 18ème arrondissement et du nord du 10ème à Paris : insécurité, saleté, trafics, disparition de la mixité femmes-hommes, toxicomanie, rixes, prostitution… L’article est écrit par Ruth Grosrichard, Professeur de langue et civilisation arabes (Sciences Po). Dans cet article, les termes “islam”, “musulman” ou encore “immigration” sont absents. C’est pratique pour identifier les causes des problèmes…

    Si chaque quartier concerné a des spécificités, tous ont en commun de souffrir de maux devenus endémiques et dont la liste est longue comme une nuit sans fin: insécurité, saleté, incivilités, trafics en tous genres, toxicomanie, rixes, prostitution, ghettoïsation, disparition progressive de la mixité femmes-hommes… […]

    A Château Rouge, où pourtant une association de quartier a réussi le tour de force de faire condamner la Ville de Paris et l’Etat pour “carence fautive”, une habitante dresse un tableau bien sombre: saleté, captation de l’espace public, infraction aux lois, commerçants indélicats et prostitution; à Barbès ce sont les vendeurs de cigarettes de contrefaçon “Marboro bled” et les vols à l’arraché au pied de la station du métro; à la Goutte d’or: une jeune commerçante dénonce le trafic de drogues et autres pratiques illégales qui découragent tous ceux qui veulent faire vivre ce quartier pacifiquement; à La Chapelle où des groupes communautaires rivaux se disputent l’occupation des trottoirs parfois à coups de couteau et barres de fer, la vie est devenue “un véritable enfer” pour les riverains. S’y frayer un passage au milieu d’attroupements composés uniquement d’hommes représente pour une femme une épreuve quotidienne: l’engagement des politiques, venus dans le quartier, en 2017, afficher leur soutien aux femmes et dire leur indignation lorsque ce sujet faisait la Une des journaux, n’aura été qu’un feu de paille. Quant à la station de métro du même nom, essayer d’y entrer ou d’en sortir sans être agressé relève de l’exploit. Et ce n’est pas par hasard que celles et ceux qui sont obligés d’emprunter le souterrain qui mène à la Gare du Nord l’ont baptisé “passage de l’angoisse” ou “couloir de la mort”. Sans parler de la fameuse “colline du crack” et des campements où s’entassent des migrants dans des conditions indignes, un peu plus loin au Nord. Du côté des rues Pajol et Philippe de Girard, les habitants n’en peuvent plus des déchets laissés sur place après les distributions alimentaires assurées par certaines associations dont les motivations idéologiques font question. Près de l’hôpital Lariboisière, la SCMR communément dite “salle de shoot” -qui, les riverains en conviennent, entend répondre à un problème sérieux de santé publique-  les nuisances à l’extérieur, de jour comme de nuit, se sont multipliées: deal et consommation de rue, bagarres entre dealers, incivilités, commerces obligés de mettre la clé sous la porte, etc. Autant de problèmes qui s’étendent par capillarité jusqu’à la Gare de l’Est et le voisinage de la rue Lafayette. Que dire enfin des abords immédiats de la Gare du Nord? Sinon qu’ils sont un vaste cloaque à la porte de la première gare d’Europe.

    A cela, ajoutons la disparition des commerces traditionnels de proximité au profit de la mono-activité (téléphones portables, vêtements de mariage, produits “exotiques”…), la multiplication d’officines multifonctions mêlant téléphones mobiles recyclés, produits alimentaires, alcools, bar à chicha et trafics en tous genres. […]

    De ce rapide panorama, il ressort qu’une “ghettoïsation” s’est installée, avec le risque fort que s’amenuise la mixité sociale caractéristique de ce Nord-Est de Paris, à laquelle les habitants sont attachés. Face à l’inertie des pouvoirs public qui, jusqu’ici, ont fermé les yeux sur la gravité de la situation, les moins optimistes en viennent à penser qu’ils vivent dans des “territoires perdus de la République”. […]

    C’est la “théorie” du grand remplacement…

     

    Source : lesalonbeige

  • SDF de souche et grand remplacement en trois dessins

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2019

    Voici un sombre et touchant triptyque sur les “SDF de Souche” du très talentueux dessinateur qui signe ProjetKO.

     

    Source : medias-presse.info

  • Marine Le Pen dit ne “pas connaître” l’évidence du “grand remplacement”, pourtant elle la rejetait en 2014… (VIDÉO)

    Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2019

    grand remplacement,marine le pen

    “Je ne connais pas cette théorie du ‘grand remplacement’. Je n’ai jamais utilisé ce terme-là”, a déclaré sur France 3 la présidente du Rassemblement national. Pourtant, en 2011 et 2014, Marine Le Pen y faisait référence, pour mieux s’en démarquer :