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machette - Page 3

  • Montpellier : une bande de la cité de la Pergola rackettait des usagers du tramway en les menaçant avec une machette, 13 victimes recensées

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2021

    Une bande de la cité de la Pergola, à Montpellier, rackettait des usagers du tramway. Treize victimes recensées. Un des racketteurs qui avait une machette était blessé à une main.

    Une bande de la cité de la Pergola, à Montpellier, rackettait des usagers du tramway. Treize victimes recensées. Un des racketteurs qui avait une machette était blessé à une main. Récit.

    Les plaintes affluaient depuis la mi-novembre, avec un scénario identique : des individus, de trois à sept, selon les cas -la plupart étaient passifs-, encerclaient un passager (ou une), soit dans une rame, soit sur le quai. Armés d’une machette et d’un couteau, les deux auteurs les plus actifs rançonnaient les victimes, obligés de remettre téléphones portables et leur carte bancaire avec le code secret. La victime, discrètement mise à l’écart pour ne pas attirer l’attention, tétanisée par la machette placée sous la gorge donnait le code, ce qui permettait à un complice de se rendre à un distributeur automatique de billets -DAB- proche pour effectuer des retraits. A son retour, la victime était libérée. 

    (…) Actu.fr via fdesouche

  • Toulouse : 2 femmes tabassées en pleine rue par un homme qui les a ensuite terrorisées avec une machette, l’assaillant avait été condamné pour avoir tué un homme par le passé

    Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2021

    Deux femmes ont été agressées par un conducteur ivre et armé d’une machette vendredi soir à Toulouse. Cet homme, condamné pour avoir tué un homme par le passé, a été interpellé.

    La Dépêche

    Un homme de 46 ans a été interpellé à Toulouse alors qu’il roulait ivre avec une machette à portée de main. Il venait d’agresser gratuitement deux femmes

    Il a grillé un feu rouge sous les yeux d’une voiture de police. Le prétexte de l’interpellation de cet homme de 46 ans, vendredi soir à Toulouse, pourrait prêter à sourire, d’autant qu’il conduisait soul, sans assurance ni permis.

    Mais la scène d’ouverture est beaucoup moins drôle. Alors qu’ils contrôlaient longuement le contrevenant et qu’ils s’apercevaient qu’il roulait aussi avec une machette posée sur le siège passager, les policiers ont reçu un appel radio, pour l’agression de deux femmes dans le secteur des Arènes. Par un homme dont la description correspondait à leur conducteur ivre.

    Quelques minutes avant, dans le quartier des Arènes, il avait eu maille à partir avec une jeune fille à qui il reprochait de l’avoir frôlé à scooter, et avec une passante qui s’était interposée. Il avait alors frappé les deux femmes à coups de poing, avant de partir, puis de revenir les menacer avec sa machette. Les deux victimes se sont vues prescrire trois jours d’ITT chacune.

    20minutes.fr

  • Bordeaux : coup de machette à la gorge après une dispute, « Maintenant on sort un couteau à la moindre occasion »

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2020

    Par  le 28/07/2020
     

    […]
    La victime, un homme de moins d’une trentaine d’année, a été prise en charge par les pompiers et emmenée au CHU de Bordeaux. « Voir cela à Caudéran, c’est très inquiétant », s’alarme un témoin, qui déplore la survenue, pour la première fois dans cette périphérie calme de la ville, d’un tel acte de violence. « Maintenant on sort un couteau à la moindre occasion. L’autorité est remise en cause, ces délinquants n’ont plus peur de la police », s’inquiète-t-il, déplorant, au passage, le mutisme du nouveau maire de Bordeaux, Pierre Hurmic, quant à la vague d’agressions ultra-violentes, dont nous faisions état, il y a quelques jours, dans un bilan quotidien détaillé.
    […]

    Valeurs Actuelles via fdesouche

  • Afrique du Sud : un restaurateur autrichien massacré à coups de machette devant sa femme, il a été « découpé en morceaux »

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020

    Par  le 14/06/2020

    Afrique du Sud – Le propriétaire d’un restaurant à thème allemand a été découpé « en morceaux », devant sa femme terrifiée, par un individu armé d’une machette.

    Eduard Neumeister, né en Autriche, est mort après avoir reçu des « dizaines de coups » de coups de machette dans sa petite ferme de campagne en Afrique du Sud.

    L’homme de 67 ans et sa femme Margit Riebler, 62 ans, étaient au restaurant de saucisses Bratwurst, qu’ils dirigent ensemble. Lorsque Eduard est sorti pour nourrir leurs deux chiens, il a été soudainement frappé par un homme avec une cagoule et jeté à terre.

    Margit a décrit à la police la lutte qui s’est déroulée à l’extérieur du restaurant, au cours de laquelle Eduard, connu par les habitants sous le nom d’Edi, a tenté de neutraliser l’assaillant, avant de s’effondrer dans une énorme mare de sang.

    Il avait été frappé à plusieurs reprises avec la lame, faisant croire à Margit qu’il était mort. L’homme cagoulé s’est alors rendu dans la cuisine du restaurant et a saisi Margit à la gorge.

    Il a menacé de la tuer avant d’exiger : « Donne-moi tout l’argent ou meurs ».

    Alors qu’il l’étranglait, Margit a vu son mari Eduard, horriblement blessé et couvert de sang, qui tentait de l’aider.

    L’agresseur s’est retourné et a lancé une seconde attaque. Les policiers sont arrivés plus tard et ont déclaré qu’ils n’avaient jamais vu des blessures aussi horribles infligées par un seul homme et qu’Eduard avait été littéralement coupé « en morceaux ».

    Mirror via fdesouche

  • Rennes : Jugé pour avoir violé une baby-sitter sous la menace d’une machette devant les enfants qu’elle gardait, le colosse Mahorais déclare avoir « entendu des voix »

    Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2019

    Par  le 08/10/2019

    Dans le box des accusés, le jeune homme est un colosse coiffé de petites dreadlocks. Originaire de Mayotte, il est arrivé en métropole en 2017 sur les conseils d’un cousin qui espérait le sortir de la délinquance. Mais le jeune homme n’a pas été pris dans l’armée, ayant échoué aux tests de sélection. Il n’a pas non plus poursuivi le CAP de mécanique où son cousin l’avait inscrit.

    Deux mois avant les faits, il arrivait à Rennes. Sans domicile fixe, il était hébergé par le 115. Le 8 février 2018, il s’arrête dans ce quartier résidentiel et frappe à la porte d’un pavillon pour demander un verre d’eau. Il pénètre dans la maison et attaque la jeune femme, la menaçant avec un coupe-coupe. La jeune femme réussit à s’échapper mais il la rattrape dans la rue, la fait rentrer dans la maison, la force à se déshabiller et lui impose une relation sexuelle.

    Les deux enfants de 8 et 10 ans qui faisaient leurs devoirs ont été giflés, menacés et ont vu la scène de viol. L’homme, qui a été interpellé sur les lieux, reconnaît les faits.

    D’une capacité intellectuelle faible, l’accusé ne semble pas comprendre toutes les questions qui lui sont posées. Pourtant, l’enquêtrice de la brigade des mœurs qui est venue témoigner indique que l’accusé était lucide au moment de la garde à vue « et qu’il n’a jamais montré de signes de problèmes psychiatriques ». Il a cependant indiqué, ce mardi matin, « entendre des voix ».

    Le procès se poursuit jusqu’à jeudi. Les experts vont être entendus, ce mercredi, et les réquisitions et les plaidoiries sont prévues, jeudi, avant un verdict qui devrait tomber en fin de journée. Le procès devra déterminer si l’homme a choisi la maison « au hasard » ou s’il avait suivi la baby-sitter. Il encourt jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle.

    Le télégramme via fdesouche