Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2022

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Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2022
Publié par Guy Jovelin le 13 février 2022
Une patronne italienne, enceinte au cinquième mois de grossesse, a été agressée par son employée bengali qui, brandissant une paire de ciseaux de tailleur, et donc particulièrement tranchante, l’a frappée à plusieurs reprises. “Je ne reçois pas d’ordres des femmes, ça suffit” , aurait dit l’homme en serrant les ciseaux comme s’il s’agissait d’un poignard, selon ce qu’a raconté Repubblica .
Le grave événement a eu lieu jeudi matin, vers 9 heures, via Santa Maria Auxiliatrice, à Appio. Ce n’est que par hasard que l’ attaque ne s’est pas transformée en tragédie. En colère, Mohammed, 23 ans, s’en est pris à la femme de 38 ans avec la claire intention de la tuer. La raison de la violence a été expliquée par le jeune homme de 23 ans lui-même : “Dans mon pays, nous ne recevons pas d’ordres des femmes. Des commerçants proches du lieu de l’attaque sont apparus dans la rue car ils avaient été effrayés par des cris inhumains provenant d’un magasin.”
La fureur meurtrière du Bengali aurait été déclenchée par la demande de la femme, propriétaire de l’entreprise, d’exécuter une commande que la boutique avait reçue d’un client. A ces mots, le jeune homme de 23 ans au casier vierge, jugé jusque-là par son employeur comme une bonne personne, prend les ciseaux et se met à frapper à la poitrine la femme enceinte de 38 ans. La victime en parant le premier coup avec sa main s’est coupée et a commencé à perdre du sang. Même blessée, elle tenta encore de désarmer l’homme qui s’apprêtait à la frapper à nouveau lorsqu’il fut bloqué par le mari de la propriétaire qui, providentiellement pénétra dans la buanderie, s’agrippa à lui par derrière et le poussa.
Mohammed décide alors de quitter le magasin et tente de s’éloigner. Les policiers arrivés sur place se sont lancés à la poursuite du Bengali tandis que le personnel médical a soigné la femme et l’a transportée à l’hôpital par sécurité, également pour vérifier l’état du bébé qu’elle portait. L’agresseur a été identifié à quelques kilomètres du lieu des violences, sur la Piazza Cantù. Une fois arrêté, il a été menotté et conduit au commissariat, accusé de blessures aggravées, en attendant son procès par ligne directe.
Il Giornale via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2021
La balle a traversé sa bouche sans toucher d’organes vitaux. Pourtant la probabilité que cette prostituée survive à un tir de révolver à bout touchant était très mince. Son proxénète présumé, âgé de 31 ans, a été mis en examen, jeudi à Paris, pour tentative de meurtre avant d’être écroué. Cet homme, très défavorablement connu des services de police, est soupçonné d’avoir, il y a trois mois rue de Belleville (XIXe), tiré dans la bouche de cette jeune femme.
Le 6 septembre vers 21 heures, les secours interviennent dans un appartement Airbnb où se trouvent deux femmes. Amal, 27 ans, est gravement blessée par balle. Un projectile a traversé sa bouche. Elle est aussitôt prise en charge par les secours qui la conduisent à l’hôpital. Dans l’appartement, les forces de l’ordre mettent la main sur 140 g d’héroïne. (…)
Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2021
Les investigations permettent de savoir qu’il s’agit d’un véhicule de location réservé au nom d’un homme lourdement handicapé, incapable de conduire. L’enquête identifie finalement Mohammed R, 24 ans, un livreur, comme étant le fuyard. Son téléphone borne dans le secteur à l’heure de la course-poursuite. Il s’est déjà distingué par le passé pour des violences et des outrages. Les deux gendarmes concernés le reconnaissent lors d’un tapissage. “C’est bien lui qui était au volant. Il n’y a aucun doute”, affirme le brigadier, lundi, devant le président du tribunal correctionnel.
Le suspect, placé en garde à vue puis en détention provisoire le 7 juillet, a toujours nié être le chauffard.. Son conseil, Me Jean-Yves Garino pointe “un conflit d’intérêt”, et critique le fait que la brigade “victime”, soit en même temps chargée de l’enquête. Il plaide la relaxe de son client.
Le tribunal correctionnel estime, lui, avoir suffisamment de preuves. Les trois magistrats infligent 18 mois de prison dont neuf mois ferme au jeune automobiliste coupable, le 13 juin, “d’avoir refusé d’obtempérer à une sommation de s’arrêter dans des circonstances exposant autrui à un risque de mort ou d’infirmité”. La peine de prison étant aménageable, le prévenu est libéré. Il devra verser 800 euros de dommages et intérêts à chacun des gendarmes parties civiles. Son permis de conduire est suspendu pendant deux mois.
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Nice-Matin via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 21 avril 2021