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mosquée - Page 6

  • Pays-Bas : Une mosquée veut faire interdire un terrain de sport de plage. Les bikinis pourraient distraire de la prière

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2020

    13/09/2020 à 14h46

    A Venlo, la mosquée turque n’est pas satisfaite de la construction d’un terrain de sport de plage près de la salle de prière. Les fidèles pourraient être distraits par la musique et par les athlètes en bikini d’après Hakan Tasdemir, secrétaire du conseil de la mosquée.

    H. Tasdemir souligne que le terrain est aménagé directement devant la salle de prière, sur un ancien terrain d’entraînement du club de football Kwiek-Venlo. Les fidèles se tournent vers la Mecque pendant leurs prières et donc en direction de ce terrain. Il craint que le silence ne soit perturbé et que les musulmans ne puissent pas prier tranquillement. (…)

    Traduction de l’article du Gelderlander.nl viafdesouche

  • Une autre église devient mosquée, la nouvelle claque d’Erdogan à l’Occident

    Publié par Guy Jovelin le 22 août 2020

    Turquie : Saint Sauveur in Chora, l’un des plus beaux exemples de l’art byzantin, deviendra une mosquée. Le bâtiment, qui était un musée depuis 1958, va subir le même sort que la basilique Sainte Sophie. C’est donc maintenant au tour de cet autre joyau de l’architecture byzantine qui, selon les plans du président turc Recep Tayyip Erdogan, va être transformé en mosquée dans les semaines à venir, l’ancienne église Saint Sauveur in Chora.

    Les médias turcs ont confirmé qu’au cours des dernières heures a eu lieu la signature du décret présidentiel qui transforme le Kariye Müzesi, le musée Chora en turc, en un lieu de culte islamique. Le décret en question prévoyait, entre autres, de confier le bâtiment à Diyanet, l’organisme qui gère les affaires religieuses en Turquie et qui, depuis juillet dernier, a repris l’ancien musée de Sainte Sophie.

    Saint Sauveur in Chora est l’un des exemples les plus beaux et historiques de l’architecture byzantine. Son nom évoque des origines très anciennes : chora signifiant en fait en grec campagne, le bâtiment a été construit en dehors des premiers murs de Constantinople, alors que la ville n’avait pas encore dépassé certaines limites. Ce n’est qu’avec la construction des murs théodosiens, qui a eu lieu entre 413 et 414, que l’église a été pleinement intégrée dans le tissu urbain, tout en conservant le nom de Chora.

    Avec la chute de Constantinople aux mains des Ottomans, la basilique a subi le même sort que Sainte-Sophie avec sa transformation en mosquée. Les mosaïques, dont beaucoup sont encore visibles aujourd’hui, ont été recouvertes de chaux mais non détruites. Pendant plusieurs siècles, Saint Sauveur in Chora a fonctionné comme un lieu de culte islamique, sa conversion en musée est plus récente que Sainte Sophie, elle remonte à 1958.

    La restauration des mosaïques a permis à des millions de touristes d’admirer certains des exemples les plus significatifs de l’art byzantin. Mais la transformation en musée représentait avant tout un autre symbole du caractère séculier de la République de Turquie. Le fait que les principaux bâtiments d’Istanbul, autrefois de culte chrétien, soient des musées, montre la volonté des différents gouvernements d’éviter l’exploitation à caractère religieux.

    Jusqu’à aujourd’hui, en fait. Le 24 juillet, Hagia Sophia, le symbole de la métropole turque, est officiellement redevenue une mosquée avec le président Erdogan présent le jour de la première prière après 86 ans. Maintenant, le même sort revient à Saint Sauveur in Chora : les musulmans retourneront y  prier d’ici septembre.

    À l’intérieur de Sainte Sophie, les mosaïques ont été recouvertes de tissus qui, promettent les autorités locales, pourront à la fin des travaux être ouverts après la prière pour permettre aux touristes de les admirer. La même solution pourrait être adoptée pour San Salvatore, mais il n’en demeure pas moins qu’un autre église byzantine, devenu musée symbole de la laïcité de la République turque, sera désormais considéré comme un véritable lieu de culte coranique. Le programme d’Erdogan d’islamisation radicale de la Turquie continue.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Allemagne soumise à l’islam et aux Lgbtqi : mosquée sur le maillot de foot rose fuchsia

    Publié par Guy Jovelin le 13 août 2020

    Le nouveau maillot de foot de l’équipe FC Cologne, en Allemagne, célèbre le « vivre-ensemble » inclusif et pluriel, du monde arc-en-ciel à l’univers du croissant vert : grand écart garanti.

    Le nouveau logo du FC Cologne a été présenté par le club comme un hommage aux multiples valeurs de l’inclusion, religieuse et gay : en fait, la silhouette d’une mosquée apparaît sur le nouveau maillot extérieur de l’équipe, stylisée dans le symbole historique du club de football. Pour le reste, le maillot extérieur du club qui vient d’être lancé se caractérise par sa couleur rose fuchsia unique.

    Ce nouveau maillot officiel de l’équipe de football de Cologne a vite créé la polémique en Allemagne, certains supporters ne se retrouvant pas du tout dans ces symboles idéologiques.

    En détail, dans le logo du club se distingue certaines des principales attractions de Cologne : l’ancienne cathédrale, le Rhin et, à la suite de l’ajout récent et controversé, la mosquée de la ville.

    Cette dernière a été inaugurée en 2018 par le président turc Erdogan lui-même, étant donné que parmi les financiers du lieu de culte musulman, il y avait aussi la Ditib, ou l’Union turco-islamique pour les affaires religieuses, l’une des plus grandes organisations musulmanes sur le sol allemand, soutenue économiquement et encadrée par Ankara.

    Le FC Cologne est fier d’avoir ajouté la silhouette de la mosquée centrale de la ville dans le logo de l’entreprise, définissant la présence du bâtiment islamique sur les maillots des joueurs comme un « signe d’ inclusion » envers tous les groupes ethniques présents dans la ville dont une grande communauté turque.

    Les dirigeants du club, en la personne du directeur général Alexander Wehrle, ont donc réitéré ces derniers jours aux médias allemands la puissante valeur symbolique de la présence de la mosquée locale sur la tenue de l’équipe. À cet égard, le directeur a souligné que la silhouette du temple musulman stylisée sur les maillots est un hommage direct à la communauté mahométane de Cologne, parmi les membres de laquelle se trouvent de nombreux fervents supporters du club de football.

    Wehrle a ensuite poursuivi son discours de soutien au choix du nouveau logo « islamique », notant que la mosquée précitée fait désormais à tous égards partie du panorama architectural-monumental de la ville sur le Rhin.

    Les explications des dirigeants de Cologne concernant la valeur inclusive du nouveau maillot et du nouveau logo du club suscitent cependant le mécontentement des supporters, certains d’entre eux prenant des décisions drastiques en représailles à l’initiative du top management.

    Par exemple, un supporter de l’équipe a récemment annoncé avoir mis fin à son abonnement historique aux matches de Cologne, indiquant, parmi les raisons de ses adieux à la communauté des supporters du club, le nouveau logo avec la mosquée au centre. Dans le détail, cet ancien fan de la formation de football allemand a justifié son choix de ne plus suivre Cologne en déclarant qu’il ne voulait pas soutenir un club associé aux musulmans et aux mosquées.

    La récente défection du fan historique a cependant été acceptée, à travers les médias sociaux, sans drames par le club sportif, qui a montré qu’il préférait le concept politiquement correct et non spécifié d’inclusion à la passion des habitants de Cologne.

    Maillot rose, mosquée sur le dos et genou à terre : les stars du ballon rond du FC Cologne, et combien d’autres suivront !, se soumettent à toutes les « nouvelles » valeurs inclusives, synonymes de la mort de l’Occident…pendant qu’Erdogan transforme Sainte Sophie en mosquée.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Bron (69): incendie à la mosquée Omar, la piste criminelle privilégiée

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2020

    Par  le 07/08/2020

    […]

    La Mosquée Omar de la rue Philippe-Goy, non loin du centre de Bron, a été largement endommagée par un incendie la nuit dernière, vers 4 heures. Les dégâts semblent considérables. 100m2 de rez-de-chaussée ont été totalement ravagés par les flammes.

    […]

    À 14 heures ce vendredi, le Parquet de Lyon a confirmé que « l’hypothèse criminelle », était privilégiée…

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Progrès via fdesouche

  • Après Sainte-Sophie, la cathédrale de Cordoue  ?

    Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2020

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    Après Sainte-Sophie, la cathédrale de Cordoue  ?

    Les musulmans ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin :

    La reconversion de Sainte-Sophie en mosquée, voulue par le président turc Erdogan, suscite des demandes similaires pour d’autres lieux. La plus emblématique concerne la cathédrale de Cordoue.

    Le 21 juillet 2020, l’un des sept princes des Emirats arabes unis a réclamé que le culte musulman puisse être célébré dans la cathédrale de Cordoue. Le cheikh Sultan bin Muhammad Al-Qasimi, émir de Sharjah, a été clair : « Nous exigeons au moins le retour de la mosquée de Cordoue », a-t-il souligné dans une interview à la télévision locale, arguant de la forte présence musulmane immigrée en Espagne pour appuyer sa demande.

    Retour sur une histoire mouvementée 

    En 572, la ville de Cordoue est prise par les Wisigoths. Convertis de l’arianisme, ils construisent en 584, sur l’emplacement d’un temple païen, l’église Saint-Vincent dédiée au martyr de Saragosse.

    Après la conquête musulmane au VIIIe siècle, la construction de la mosquée de Cordoue débute en 756 pour remplacer l’église Saint Vincent. Toutes les églises attenantes sont détruites, et réutilisées comme matériau. C’est ainsi que des éléments architecturaux importants, datant de l’époque romaine et paléochrétienne, furent réemployés dans la nouvelle mosquée. Celle-ci fut agrandie par la suite, et couvrit jusqu’à 2,3 hectares pour devenir la plus grande mosquée du monde après celle de La Mecque.

    Quand Cordoue fut reprise aux musulmans par le roi Ferdinand III de Castille en 1236, la mosquée redevint église, puis cathédrale. Quelques rangées de colonnes furent abattues pour dégager la place de la chapelle royale, où furent enterrés Alphonse XI et Ferdinand IV de Castille en 1371.

    Au XVIe siècle, les chanoines firent démolir une partie importante du centre de l’édifice pour y édifier une cathédrale qui se trouve comme incrustée dans la mosquée. Ce monument magnifiquement décoré allie les styles gothique, renaissance et baroque.

    Revendications récentes

    Depuis 1236, la « mosquée » de Cordoue est devenue officiellement un lieu de culte catholique. Propriété de l’Eglise catholique, elle a le titre de cathédrale. La pratique du culte musulman y est formellement interdite. Le culte catholique y est assuré de manière ininterrompue depuis huit siècles. En 2004, la Commission islamique d’Espagne, « soutenue par le parti socialiste espagnol », réclame l’autorisation d’y prier. En 2007, la Ligue arabe fait de même auprès de l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe. La Commission islamique d’Espagne lance un appel en ce sens à l’UNESCO en 2008. Toutes ces demandes sont rejetées par l’évêque de Cordoue, qui a reçu l’appui de la municipalité en 2019. Les revendications islamiques sont soutenues par la gauche espagnole, qui lutte pour une séparation de l’Eglise et de l’Etat et combat la loi qui permet à l’Eglise de devenir propriétaire de ses lieux de culte.

    Dans la version arabe de son discours marquant la conversion de Sainte-Sophie en mosquée, le vendredi 24 juillet, le président turc Erdogan a parlé de la première étape d’une “renaissance” islamique qui devrait s’étendre de Boukhara, en Ouzbékistan, à Al Andalus [Cordoue], en Espagne. « Cette renaissance est notre devoir », a-t-il ajouté. Le président turc s’inscrit ainsi dans le sillage de tous les dirigeants arabes ou ottomans ayant œuvré pour étendre le domaine de l’islam. Voilà qui a le mérite d’être clair…

     

    Source : lesalonbeige