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mosquée - Page 2

  • Vauvert (30) : l’annonce de la venue du prédicateur islamiste Ismail à la mosquée Al Forqane pour y donner une conférence fait polémique (Màj : Le maire prendre un arrêté municipal interdisant sa venue)

    Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023

    07/02/2023

    L’imam Ismaïl ne pourra pas tenir sa conférence à Vauvert : le maire Jean Denat a décidé de prendre un arrêté municipal interdisant sa venue.

    […]

     

    Le prédicateur aux plus de 40 000 abonnés sur Youtube, s’est défendu sur Twitter d’avoir eu des propos condamnables et se dit “prêt à faire valoir (ses) droits”. Pourtant, pour le député RN Nicolas Meizonnet, qui évoque des prêches de l’imam sur le “délaissement de la prière qui serait aussi grave que le meurtre”, il n’y a pas lieu d’hésiter et c’est directement au ministre de l’Intérieur que le parlementaire gardois s’est adressé : “C’est mon devoir de réagir et c’est celui du ministre, ou de la préfète du Gard, d’interdire cette conférence. La loi sur les séparatismes a été votée en 2021, le ministre la met souvent en avant, mais si on laisse les prédicateurs de haine s’exprimer comme bon leur semble, à quoi bon ? Il y a une forme d’impuissance” estime Nicolas Meizonnet.

    C’est finalement le maire de Vauvert, Jean Denat, qui après avoir consulté la préfecture, le conseil départemental du culte musulman et qui a eu un contact avec l’association cultuelle qui gère la mosquée, a décidé de prendre un arrêté d’interdiction de la manifestation. Le conseil municipal qui se tient ce lundi à 19 heures à Vauvert évoquera probablement le sujet.

    Midi-Libre


    06/02/2023

    La venue de l’imam Ismaïl à la mosquée Al Forqane de Vauvert le 18 février prochain fait réagir. Les dernières conférences de ce religieux, à Avignon et à Echirolles près de Grenoble ont été annulées.

    La mosquée Al Forqane de Vauvert, l’un des deux lieux de prières de la commune, organise de temps à autre la venue d’imams de l’extérieur pour des conférences. L’imam Ismaïl, de Marseille, est déjà venu l’an dernier à Vauvert, sans que le sujet ne fasse particulièrement polémique. “Il passe parfois sous les radars” lâche le député RN Nicolas Meizonnet qui, ce lundi matin, a alerté le ministre de l’Intérieur et la préfecture du Gard. Car depuis peu, l’imam a fait parler de lui. Deux conférences (où il devait intervenir aux côtés d’un autre prédicateur) ont récemment été interdites, l’une à Avignon, l’autre (prévue dimanche dernier) dans l’Isère, à Echirolles.

    (…) Midi Libre

  • En Corée du Sud, l’apparition d’une mosquée dans la ville de Daegu provoque des tensions et suscite la colère des habitants (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 14 janvier 2023

    14/01/23

    L’apparition d’un lieu de culte musulman dans une ville de province, pour des fidèles originaires du Pakistan et du Bangladesh, provoque des tensions. Les opposants les plus acharnés accusent l’islam d’être une religion « diabolique ».

    Il a suffi d’un projet de construction de mosquée dans la ville de Daegu, dans la partie méridionale de la Corée du Sud, pour alimenter des tensions et mettre en évidence les limites de l’ouverture de la société dans ce pays.

    Avec le temps, le différend s’est transformé en épreuve de force, obligeant les autorités locales à agir. Elles ont annoncé, vendredi 6 janvier, l’installation d’une caméra de surveillance près d’un chantier qui alimente un climat de défiance entre les habitants et la petite communauté musulmane locale. Cette dernière, réunie dans le Groupe de travail pour une résolution pacifique du problème de la mosquée, avait annoncé à la presse, le 26 décembre 2022, avoir transmis une pétition au rapporteur spécial des Nations unies (ONU) sur la liberté religieuse, dénonçant « la négligence et la tolérance du gouvernement et de la municipalité de Daegu face à des actes de discrimination religieuse et de haine raciale ». (…)

    Musulmans traités de « terroristes »

    Ces décisions n’ont pas dissuadé les opposants au projet, qui ont sommé l’arrondissement de trouver un autre site. Or, aucun lieu envisagé ne répondait aux souhaits des musulmans en quête d’un emplacement accessible à pied depuis l’université toute proche et pouvant accueillir au moins cent fidèles. « Presque tous les quartiers consultés se sont opposés au projet », a dû admettre l’arrondissement.

    (…) Début décembre, un étudiant pakistanais a été accusé d’avoir bousculé un habitant qui voulait démonter la tente dressée par le promoteur du chantier. Le comité a dénoncé cette « agression » et promis « de fermes représailles ». Le 15 décembre, ses membres ont organisé une « fête de fin d’année de Daehyeon-dong », un barbecue de viande de porc devant le chantier. La police a dû être déployée pour éviter des incidents.

    Le Monde via fdesouche

  • Ne parlez pas de grand remplacement : il ne s’agit que de l’inauguration du minaret d’une mosquée dans l’Orne…pour l’instant.

    Publié par Guy de Laferrière le 22 décembre 2022

    Auteur : 

    Le minaret n’appellera pas à la prière cinq fois par jour…pour l’instant.

    C’est l’ambassadeur de Turquie en France lui-même qui s’est déplacé pour venir inaugurer cette nouvelle mosquée à Flers dans l’Orne. Son Excellence Refik Ali Onaner était accompagnée de madame la sénatrice Nathalie Goulet, de Yves Goasdoué, le maire et de monsieur Selcuk Bilici, président de l’amicale Franco-Turque de ce nouveau territoire conquis, cultuellement il s’entend…pour l’instant.

    En fait, la mosquée était déjà en service, mais il lui manquait la pièce maîtresse pour l’appel des musulmans à la prière : le minaret. C’est donc chose faite malgré l’opposition, entre 2003 et 2005, de la municipalité qui a cédé à la condition que ne retentisse pas dans les rues de Flers les cinq appels quotidiens du muezzin. Ce sera ainsi…pour ‘instant.

    A l’issue de son discours en turc, le représentant de la Sublime Porte a concédé quelques mots en français pour dire que « tous ensemble, avec les Français, nous parvenons toujours à réussir les projets en poursuivant les mêmes objectifs. »

    « Les mêmes objectifs », monsieur l’ambassadeur ? De tolérance,  peut-être, comme la transformation de la basilique Sainte-Sophie en mosquée à Istanbul le 10 juillet 2020 ? Et tout ce petit monde politique, déjà  en dhimmitude volontaire, croit à vos promesses qui sentent la Taqîya (1) comme la cacque sent le hareng ! Ou, alors font-ils semblant de vous croire…pour l’instant.

    Sources : Ouest-France / Actu.fr/Normandie

    (1) Taqîya pourrait se traduire en français par « dissimulation ». Un musulman peut abjurer extérieurement ses croyances, professer publiquement une autre religion, accepter d’être réputé non-musulman ou renoncer aux exigences cultuelles et législatives conformes à l’islam, tout cela s’il se trouve dans des conditions qu’il estime être de contrainte justifiant une telle attitude.

     

    Source : medias-presse.info

  • Toulouse : une mosquée refuse l’asile à deux Syriens, ces derniers, armés d’un couteau et d’une barre de fer, s’en prennent aux responsables et brisent une vitre

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2022

     

  • Perpignan (66): Rejet du recours d’un riverain contre le permis de construire d’une mosquée turque de 1800 m2, 14e mosquée de la ville (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2021

    fdesouche

    0lbap 28/04/2022 à 14h41

    28/04/2022

    Cour administrative d’appel de Marseille – 9e chambre 15 mars 2022 – n° 18MA05005

    Exposé des faits

    Vu la procédure suivante :

    Procédure contentieuse antérieure :

    M. C… B… et plusieurs autres personnes physiques, ainsi que deux sociétés civiles immobilières, ont demandé au tribunal administratif de Montpellier d’annuler l’arrêté du 21 juin 2016 par lequel le maire de Perpignan a délivré un permis de construire à l’association culturelle Turc Islam en vue de l’édification d’un centre culturel et cultuel incluant trois logements de fonction, ainsi que la décision du 13 octobre 2016 rejetant le recours gracieux formé à l’encontre de cet arrêté.

    Par un jugement n° 1606392 du 25 septembre 2018, le tribunal administratif de Montpellier, après avoir donné acte du désistement de plusieurs personnes physiques requérantes, a fait partiellement droit à cette demande en annulant l’arrêté du 21 juin 2016, ainsi que la décision de rejet du recours gracieux, en tant seulement qu’ils autorisent la création de plus d’un logement.

    Procédure devant la cour :

    Par une requête et des mémoires enregistrés le 28 novembre 2018, les 12 et 15 novembre 2019puis le 16 décembre 2019, M. B…, représenté par la SCPA Lincetto-Cohen, demande à la cour, dans le dernier état de ses écritures :

    1°) d’ordonner à l’association culturelle Turc Islam de produire, d’une part, sous astreinte de 100 euros par jour de retard, la déclaration de cette association en préfecture, ainsi que la copie de la publication au Journal officiel de cette déclaration et, d’autre part, le procès-verbal de l’élection de son président ;

    2°) d’annuler ce jugement du tribunal administratif de Montpellier ;

    3°) d‘annuler, d’une part, l’arrêté du maire de Perpignan du 21 juin 2016, d’autre part, et par voie de conséquence, l’arrêté du 22 décembre 2017 portant permis de construire modificatif, ensuite, ” le permis modificatif obtenu ” et, enfin, les décisions de rejet des recours gracieux ;

    4°) de mettre à la charge de la commune de Perpignan et de l’association culturelle Turc Islam la somme de 4 000 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative. […]

    Par un mémoire en défense enregistré le 6 février 2019la commune de Perpignan, représentée par la SCP CGCB et Associés, conclut au rejet de la requête et à ce que la somme de 1 500 euros soit mise à la charge de M. B… au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative.

    Elle soutient que :

    – le requérant ne justifie pas d’un intérêt lui donnant qualité pour agir ;

    – il ne justifie pas avoir accompli l’ensemble des formalités de notification prévues par l’article R. 600-1 du code de l’urbanisme ;

    – la requête est tardive ;

    – le moyen tiré de la méconnaissance des articles L. 425-14 et R. 424-6 du code de l’urbanisme est inopérant ;

    – les autres moyens invoqués par M. B… ne sont pas fondés.

    Par des mémoires en défense enregistrés les 22 février, 31 octobre et 5 décembre 2019l’association culturelle Turc Islam, représentée par la SELAS Raynaud Falandry Codognes Bottin, conclut au rejet de la requête et à ce que la somme de 3 000 euros soit mise à la charge de M. B… au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative. […]

    Par une lettre du 12 octobre 2020, les parties ont été informées, en application de l’article R. 611-7 du code de justice administrative, de ce que la cour était susceptible de relever d’office l’irrecevabilité des conclusions, nouvelles en appel, dirigées contre l’arrêté du 22 décembre 2017 portant permis de construire modificatif ainsi qu’à l’encontre de la décision de rejet du recours gracieux formé à son encontre.[…]

    Par une décision du 24 août 2021, la présidente de la cour a désigné M. Portail, président assesseur, pour statuer dans les conditions prévues à l’article R. 222-26 du code de justice administrative.

    Les parties ont été régulièrement averties du jour de l’audience.

    Ont été entendus au cours de l’audience publique :

    – le rapport de M. Mouret,
    – les conclusions de M. Roux, rapporteur public,
    – et les observations de Me Djabali, représentant la commune de Perpignan.

    Considérant ce qui suit :

    Motifs

    1. Le maire de Perpignan a, par un arrêté du 21 juin 2016, délivré un permis de construire à l’association culturelle Turc Islam en vue de l’édification d’un centre culturel et cultuel, incluant trois logements, sur une parcelle cadastrée section DL n° 144. Par un jugement du 25 septembre 2018, le tribunal administratif de Montpellier, faisant partiellement droit à la demande présentée notamment par M. B…, a annulé cet arrêté, ainsi que la décision de rejet du recours gracieux formé à son encontre, en tant seulement qu’ils autorisent la création de plus d’un logement. M. B… relève appel de ce jugement et doit être regardé comme demandant à la cour d’annuler en totalité, d’une part, cet arrêté et cette décision, d’autre part, l’arrêté du 22 décembre 2017 par lequel le maire de Perpignan a délivré un permis de construire modificatif à l’association pétitionnaire et, enfin, l’arrêté du 14 février 2019 portant délivrance d’un nouveau permis modificatif autorisant la création d’un seul logement. […]

    Sur le bien-fondé du jugement :

    En ce qui concerne le permis de construire initial : […]

    27. M. B… persiste à soutenir que le permis de construire en litige a été obtenu par fraude. En l’absence d’élément nouveau, il y a lieu d’écarter ce moyen par adoption des motifs pertinents retenus au point 29 du jugement attaqué.

    En ce qui concerne le permis de régularisation : […]

    31. Il résulte de tout ce qui précède que, sans qu’il soit besoin d’examiner les fins de non-recevoir opposées en défense ni d’ordonner la production, sous astreinte, des pièces sollicitées par M. B…, ce dernier n’est pas fondé à demander l’annulation du jugement attaqué en tant que le tribunal administratif de Montpellier a rejeté le surplus de sa demande ni, par suite, à demander l’annulation totale tant du permis de construire délivré le 21 juin 2016 par le maire de Perpignan que de la décision rejetant son recours gracieux formé contre ce permis. Il n’est pas davantage fondé à demander l’annulation du permis modificatif délivré le 22 décembre 2017, ainsi que du permis de régularisation délivré le 14 février 2019 par cette même autorité.[…]

    D É C I D E :

    Dispositif

    Article 1er : La requête de M. B… est rejetée.

    Article 2 : Les conclusions présentées par la commune de Perpignan et par l’association culturelle Turc Islam au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative sont rejetées.

    Article 3 : Le présent arrêt sera notifié à M. C… B…, à la commune de Perpignan et à l’association culturelle Turc Islam. […]

    Dalloz


    15/08/2016

    Perpignan : permis de construire pour un centre cultuel et culturel de 1800 m2 pour la communauté musulmane turque riche de 3000 membres

    La ville a accepté de délivrer un permis de construire à une association turque pour l’édification, chemin del Vivès, d’un bâtiment de 1.800 m2 permettant la pratique culturelle et religieuse.

    La communauté turque de Perpignan, riche de plus de 3.000 membres, aura sa nouvelle salle culturelle et cultuelle. Déposé le 26 février dernier, le permis de construire a été délivré par la municipalité le 21 juin. Il s’agira d’un bâtiment de 1.789 m2 de surface de plancher sur une emprise au sol de 11.362 m2 au chemin del Vivès dans le quartier du Vernet. Portée par l’association Turc Islam et avec comme personnalité, Ali Kavak, entrepreneur en bâtiment, la construction de moins de dix mètres de haut, comportera un étage et sera découpée en deux parties reliées entre elles par une passerelle. On retrouvera une salle polyvalente, une cafétéria, une bibliothèque, un local traiteur, des locaux techniques, une salle de prière avec sa mezzanine pouvant accueillir plus de 800 personnes sur 305 m2 et également trois logements pour l’imam, le professeur de langue et le gardien. Des vastes espaces verts seront aménagés à l’extérieur ainsi que 70 places de parking, le tout délimité par un grillage. […]

    Ce sera le quatorzième lieu de culte musulman en ville dont la moitié est située dans les quartiers nord. […]

    • Phénomène de communautarisation

    Une proximité et une différenciation des sites déjà existants qui est à comprendre dans une approche sociologique de la pratique de l’islam de la part de la communauté turque, plus tentée de pratiquer la religion entre membres d’une même communauté comme l’explique Rachid Id Yassine. […]

    Par ailleurs, d’autres interrogations restent en suspens et entrent directement en résonance avec l’actualité sur le financement des mosquées et la formation des imams. Injoignables depuis le début de la semaine, les responsables de l’association n’ont pas pu nous confirmer l’information donnée par le maire de Perpignan selon laquelle le chantier serait financé à 100 % par les membres de la communauté turque de Perpignan et donc sans fonds venant de l’étranger.

    Enfin, va-t-on assister à une mobilisation dans le quartier pour s’opposer à cette construction? Selon nos informations, plusieurs voisins auraient pris ombrage de ne pas avoir été mis au courant du projet et d’avoir été placé devant le fait accompli. Ces derniers réfléchiraient à de possibles recours devant la justice face à ce qu’ils pensent être un «préjudice puisque générateur de nuisances» dû à la présence d’un lieu de culte comme voisinage immédiat.

    L’indépendant