Publié par Guy de Laferrière le 24 janvier 2024
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Drame de Pamiers
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Bordeaux : Shenaya, la lycéenne sri-lankaise sous OQTF, s’affiche avec le groupuscule d’ultra-gauche Révolution Permanente qui prône « la régularisation des sans papiers et l’ouverture des frontières »
Publié par Guy de Laferrière le 03 octobre 2023
(…) « nous pensons que la mobilisation pour la régularisation de Shenaya doit être un point d’appui pour dénoncer la politique raciste et anti-migrant du gouvernement qui de l’interdiction de l’abaya dans les lycées, à la loi immigration, en passant par le refus d’accueillir les migrants de Lampedusa, veut faire vivre un enfer à l’ensemble des immigrés. Ce dont on a besoin, c’est d’une mobilisation offensive qui s’oppose à la politique du gouvernement ou encore revendiquer la régularisation des sans papiers et l’ouverture des frontières. » (…)
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Béziers (34) : un migrant algérien sous OQTF menace les usagers de la gare avec un couteau en criant « Allah Akbar » ; la police tire avec leur Taser, mais la djellaba de l’assaillant bloque les impulsions électriques
Publié par Guy de Laferrière le 22 août 2023
Ce mardi matin, un homme a été interpellé par la police dans la gare de Béziers, a appris CNEWS de source policière. Armé d’un couteau, il avait menacé les usagers en criant «Allah Akbar».
« Je vais vous tuer ». Ce mardi matin, les forces de l’ordre ont interpellé un homme armé d’un couteau, qui menaçait les usagers de la gare de Béziers, a appris CNEWS de source policière.
L’homme habillé d’une djellaba a menacé les usagers de la gare avec son arme. Les policiers présents sur les lieux ont tiré sur lui à deux reprises à l’aide de leur Taser mais la tenue de l’assaillant l’a empêché de ressentir le choc électrique.
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Biarritz (64) : une heure après son OQTF, le migrant se remet à voler des passants
Publié par Guy de Laferrière le 11 mai 2023
Un voleur, un vrai. Tout commence lors du Marathon international de Biarritz le dimanche 7 mai dernier. Un jeune homme, originaire d’Afrique du Nord, dérobe le sac d’une femme qui se trouve dans la foule. Il est rapidement interpelé par les policiers du commissariat de Biarritz grâce notamment aux témoignages des témoins de la scène. Placé en garde à vue, il est interrogé sur le vol à l’arraché et fouillé. Les policiers découvrent un appareil photo dérobé le même jour à Anglet.
Le jeune homme est ensuite remis en liberté avec, dans la mesure où il se trouve en situation irrégulière, une obligation de quitter le territoire français. Il faudra attendre seulement une heure pour que le migrant se retrouve à nouveau en garde à vue chez les policiers de Biarritz. Deux nouveaux vols à son actif en quelques minutes.
France Bleu via fdesouche
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Bordeaux : « Il vient d’Algérie et c’est très compliqué de repartir dans l’autre sens. » ; sous OQTF et ayant “souvent varié noms, prénoms, dates et villes de naissance”, il écope de 6 mois de prison pour vol
Publié par Guy de Laferrière le 15 avril 2023
Il a d’abord nié en bloc. Avant de reconnaître l’évidence. « Oui, c’est moi sur la vidéo, c’est moi qui ai pris le téléphone », murmure un jeune de 26 ans, dans le box des prévenus de l’audience des comparutions immédiates du tribunal correctionnel de Bordeaux.
Il est jugé sous une identité, mais, depuis son arrivée sur le territoire français il y a neuf ans, a souvent varié noms, prénoms, dates et villes de naissance au fil des alias présentés. Le 11 avril vers 20 h 45, cours Victor-Hugo à Bordeaux, une jeune femme s’est rendu compte que son téléphone avait disparu de son sac. Elle a pu géolocaliser son appareil et le voir se déplacer cours de l’Argonne et s’arrêter à Talence.
La vidéosurveillance d’un bar a filmé la scène du vol. Le prévenu est clairement identifiable. Le lendemain, la victime s’est rendue à l’endroit où elle a perdu la trace de son smartphone. Là, elle a reconnu le voleur et appelé la police municipale.
« Et les autres téléphones », s’interroge le président. « Je les ai achetés en magasin », rétorque le prévenu qui fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français. « Je sais que je dois partir mais je n’ai pas d’argent, je n’ai pas de passeport et j’ai une fille, née en France, que je ne veux pas laisser derrière moi. »
(…) « Il vient d’Algérie et c’est très compliqué de repartir dans l’autre sens. » Le tribunal a opté pour une peine de six mois et une incarcération immédiate.