Publié par Guy de Laferrière le 12 janvier 2023
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Publié par Guy de Laferrière le 12 janvier 2023
Publié par Guy de Laferrière le 06 janvier 2023
Un Algérien en situation irrégulière en France a agressé sexuellement une étudiante de 19 ans dans un bus, le 28 novembre dernier à Paris, a appris CNEWS de sources policière et judiciaire. L’homme a été condamné par la justice.
Une peine de quatre mois de prison ferme et une interdiction du territoire français pour dix ans. Un Algérien en situation irrégulière a été condamné le 30 novembre dernier, pour des faits d’agression sexuelle commis le 28 novembre dernier, dans un bus de la ligne 80, à Paris.
[…]
D’après nos informations, il avait déjà agressé une jeune femme, sur la même ligne de bus, le 11 janvier dernier. Là encore, il avait passé sa main entre les fauteuils à plusieurs reprises pour tripoter sa victime, de nationalité italienne et âgée de 23 ans. Celle-ci s’était alors saisie de son téléphone pour tenter de le filmer. Elle avait par la suite porté plainte, mais refusé la confrontation avec son agresseur, ce qu’elle dit regretter désormais, puisqu’il a recommencé.
Après l’agression de janvier, Mohammed H. avait été reconnu coupable et avait fait l’objet d’un rappel à la loi par délégué du procureur, a indiqué le parquet de Versailles. Une source policière a précisé que l’individu, qui se trouvait déjà en situation irrégulière, avait été visé par une obligation de quitter le territoire français (OQTF), qu’il n’a manifestement pas exécutée. Contactées par CNEWS, les deux victimes indiquent n’avoir aucunement été informées des suites judiciaires, mais se disent soulagées par sa condamnation.
Publié par Guy de Laferrière le 13 novembre 2022
Sandrine, une habitante de Brunoy, a surpris deux voleurs chez elle dans la nuit du 29 au 30 octobre. Son fils de 25 ans a été blessé. L’un des auteurs, visé par une ordonnance de quitter le territoire français, doit être jugé en septembre 2023.
Après le cambriolage mouvementé qu’elle a subi dans la nuit du 29 au 30 octobre, chez elle, à Brunoy (Essonne), Sandrine présente toujours un stress post-traumatique : « Entendre son fils hurler, c’est terrible, c’est d’une extrême violence. »
Publié par Guy de Laferrière le 05 novembre 2022
Europe 1 vous fait découvrir le parcours caractéristique d’une personne devenue illégale en France. Presque trois mois de légalité, puis 69 mois jusqu’à ce jour sous les radars. Quand son visa étudiant expire en février 2017, Fares, venu d’Algérie, enchaîne les boulots pour survivre et rester en France. Sa logique : il lui faut 3 ans de présence sur le territoire et 24 fiches de paie pour régulariser sa situation. “J’ai travaillé dans la fibre optique, dans le déménagement, sur les marchés, dans la restauration. J’ai été serveur puis chef de rang“, raconte-t-il.
En novembre 2021, il décroche enfin un CDI, le sésame pour une demande de régularisation, grâce à un de ses anciens employeurs. “On a appris à se connaître. Il a vu comment je bossais, que j’étais sérieux. Alors quand il a monté sa boîte, il a pensé à moi et il m’a recruté. Depuis un an maintenant, je travaille comme agent d’exploitation dans une société de transport et de déménagement.”
Avant cela, Fares passe cinq ans en France sans être inquiété. Quelques vérifications d’identité sans conséquences. Mais, en septembre dernier, lors d’un simple contrôle routier, les policiers l’embarquent. Il vit sa première garde à vue en six ans et tombe sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).
“Ça a été très dur, tout ce que j’ai construit pendant ces années s’est écroulé. J’ai toute ma vie sur le territoire français“. Toute sa vie, c’est une partie de sa famille mais aussi un appartement qu’il loue depuis novembre 2018. Et une femme qu’il vient d’épouser. Grâce à son avocate, l’OQTF a été suspendue. Fares dit être en mesure dorénavant d’envoyer son dossier de régularisation dans les prochains mois en préfecture.
Publié par Guy de Laferrière le 03 novembre 2022
Après des violences commises lundi 31 octobre à Montauban sur son ex-compagne et les enfants de cette dernière, le suspect a été écroué pour 3 mois.
Au terme d’une garde à vue de 48 heures au commissariat de police de Montauban, Farouk M., un ressortissant algérien sans-papiers de 27 ans, poursuivi pour pas moins de 8 délits de violences conjugales ainsi que pour outrages et rébellion contre cinq policiers dans la nuit du 31 octobre, a été jugé en comparution immédiate, ce 2 novembre.
Appréhendé dans la rue peu après l’appel des victimes, l’individu très alcoolisé, avait porté un coup de pied au visage de l’un des policiers tout en insultant la patrouille de tous les noms d’oiseaux.
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L’ensemble des faits étant contestés, la présidente évoque la personnalité du mis en cause : celui d’un sans-papiers arrivé il y a 5 ans en France sans aucune attache, et qui depuis 2021 est sous le coup d’un OQTF (obligation de quitter le territoire français).
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La Dépêche via fdesouche