Toulouse : Un chauffard refuse de s’arrêter pour un contrôle et fonce sur les policiers, qui ont ouvert le feu à trois reprises. 3 individus, âgés de 21 à 30 ans, interpellés

Publié par Guy Jovelin le 15 février 2022

Koba 15/02/2022 à 15h14

 

Les policiers de la brigade spécialisée de terrain (BST) de Toulouse ont ouvert le feu sur un chauffard qui leur fonçait dessus ce lundi en fin d’après-midi a appris Actu17, confirmant une information de La Dépêche. Trois personnes, dont le conducteur, ont été interpellées.

Il était environ 19 heures lorsque les agents de la BST sud demandent au conducteur d’une BMW de s’arrêter sur l’avenue Jules-Julien, dans le sud de Toulouse. Ce dernier venait de commettre plusieurs infractions au code de la route. L’automobiliste refuse le contrôle, accélère et s’engage sur le périphérique intérieur. L’alerte est donnée sur les ondes police et plusieurs équipages se rapprochent pour tenter de coincer le fuyard.

Un peu plus loin, le conducteur se retrouve dans la circulation et s’arrête finalement sur la bande d’arrêt d’urgence, à hauteur du quartier de Borderouge. Les policiers descendent de leur véhicule et s’approchent de la BMW. Mais le chauffard redémarre brutalement. L’un des agents utilise un stop-stick (une herse, ndlr) pour l’empêcher de rouler mais il fonce sur les fonctionnaires, qui ouvrent le feu à trois reprises.

Le fuyard perd le contrôle de sa voiture et percute un muret de sécurité. Âgé de 21 ans, il est alors interpellé, tout comme ses deux passagers, une femme de 29 ans et un homme de 30 ans. Ils ont été placés en garde à vue et n’ont pas été blessés. Il n’y a pas non plus de blessé à déplorer du côté des forces de l’ordre. Une enquête a été ouverte concernant les actes du chauffard dont les motivations restent à déterminer. La police judiciaire est chargée des investigations. Une deuxième enquête a été ouverte comme c’est le cas à chaque fois qu’un policier fait usage de son arme.

Actu 17 via fdesouche

Bayonne (64) : un « passeur de migrants » en voiture fonce sur des policiers

Publié par Guy Jovelin le 15 janvier 2022

Francois 15/01/2022 à 17h11

 

Nos confrères d’Actu.fr ont divulgué l’information, confirmée peu après par le syndicat Unité SGP police FSMI FO via un communiqué, ce samedi 16 janvier : un « passeur de migrants » a « délibérément foncé sur les forces de l’ordre afin de prendre la fuite ». En l’occurrence une patrouille de la brigade mobile de recherche de la police aux frontières (PAF) d’Hendaye. Les faits se sont déroulés vers 21 heures, vendredi 14 janvier.

www.sudouest.fr via fdesouche

Savigny-le-Temple (77). Les dealers promettent des primes pour tuer ou violer des policiers

Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2021

lionel 31/10/2021 à 8h50

 

« Tableau de prime ». Sur un mur blanc, sous deux affichettes du bailleur demandant notamment de ne pas encombrer les paliers, une liste de sévices à faire endurer aux fonctionnaires de police qui peuvent donner lieu à une rémunération. Exemple : « Couper la tête d’un policier » pour 500 000 euros ou encore « jet de boule de pétanque sur la police » pour 200 euros. On trouve aussi « violer une policière » ou « raffaller à coup de kalashnikov la police » (sic !) Ces inscriptions ont été découvertes vendredi soir par une patrouille intervenant dans un hall qui est connu pour être un point de deal.

Le PArisien via fdesouche

Poitiers : des tags insultants et menaçants de mort des policiers, nommément cités, laissés en place par la municipalité écologiste

Publié par Guy Jovelin le 24 août 2021

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Sebastien de Lyon 24/08/2021 à 18h48

 

Insultes et menaces de mort contre des policiers sur les murs du quartier Saint-Eloi à Poitiers

Des tags avec les noms de policiers ont été retrouvés dans un “coin de deal” du quartier Saint-Eloi. Quatre jours plus tard, ils n’ont pas encore été effacés par la municipalité… Ce qui agace les syndicats de Police.

[…]

Selon Alain Pissard, “quand des inscriptions sont découvertes sur les murs du centre-ville et de bâtiments publics, c’est effacé dans journée…”

[…]

L’article dans son intégralité sur France Bleu

 

Nice : un policier municipal ouvre le feu sur une voiture qui fonce sur ses collègues à vélo

Publié par Guy Jovelin le 08 août 2021

Jeanne 07/08/2021 à 21h13

 

Pour la première fois depuis l’attentat de la basilique de Nice, le 29 octobre 2020, un agent de la police municipale de Nice a tiré avec son arme de service, ce vendredi 6 août. Un évènement rare, qui se produit “une à deux fois par an”, selon le premier adjoint à la mairie de Nice, Anthony Borré. A l’époque, c’était un policier municipal qui avait tiré sur l’assaillant. 

Cette fois, les faits se sont produits vers 21h40 vendredi, près du monument aux morts de Rauba Capeù, au bout du quai des États-Unis. Une équipe de policiers municipaux à vélo était en train de demander au conducteur d’une voiture, qui s’engageait à contresens dans une rue, de s’arrêter. Sauf que l’homme a refusé et a foncé sur les policiers. L’un d’eux a alors tiré en direction de la voiture, visant les roues arrière. Selon la mairie, ce tir a été réalisé “en respectant les sommations d’usage”. 

Le conducteur du véhicule immatriculé dans le Var est recherché par la gendarmerie, puisqu’il a réussi à s’échapper. Dans un communiqué, le maire de Nice Christian Estrosi a voulu “saluer le courage de la police municipale de Nice qui a été confrontée à un fait d’une particulière gravité, comme le sont de plus en plus souvent ceux qui incarnent l’ordre et l’autorité. Ils ont tout mon soutien et toute ma confiance”.

France Bleu via fdesouche