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procès - Page 2

  • Australie : procès du Français Smail Ayad, qui a poignardé à mort Mia, une jeune touriste britannique (MàJ : Il avait crié « Allahu akbar » pendant l’attaque)

    Publié par Guy Jovelin le 03 avril 2021

    Le tueur avait crié “Allahu akbar” pendant l’attaque et son arrestation, mais la piste terroriste avait été écarté.

    ABC


    Rosie Ayliffe, la mère de la victime, pensait que sa fille de 20 ans, Mia Ayliffe-Chung, ferait de la randonnée en toute sécurité en Australie pendant son année sabbatique. Mais en 2016, lorsque Mia a cherché à prolonger son visa et a dû travailler 88 jours dans une ferme, une catastrophe a suivi.

    Quatre jours après que Mia a emménagé dans une auberge de jeunesse à Home Hill, dans le Queensland, pour occuper un emploi dans une ferme de canne à sucre, elle a été mortellement poignardée par le ressortissant français Smail Ayad, 29 ans.

    Un autre jeune routard britannique, Tom Jackson, est décédé plus tard des suites de ses blessures en essayant de protéger Mia.

    “Avant d’entrer au tribunal, j’avais [la mère de Mia] écrit cette lettre à la mère d’Ayad:

    Les membres de la famille présents au tribunal aimeraient vous exprimer nos plus sincères condoléances. Nous comprenons que votre souffrance n’est pas différente de la nôtre et nous ne vous en voulons pas. Si vous souhaitez rencontrer et parler parent à parent, je serais heureux que cela se produise.”

    Elle [la mère d’Ayad] n’était pas présente au tribunal […]

    “Rien ne peut annuler ce qui s’est passé cette nuit-là. Cependant, je souhaite seulement à cette personne et à sa famille la paix, car une fois que cette personne se rendra compte de ce qu’elle a fait, sa souffrance intérieure sera pire que tout ce qui lui sera imposé.”

    The Guardian via fdesouche

  • Pédophilie. Un procès demandé pour un Français accusé de récidive sous couvert d’humanitaire en Asie

    Publié par Guy Jovelin le 23 mai 2020

    Par  le 23/05/2020

    En 2008, il part au Népal pour six mois. À son retour en France en 2009, il crée une association, « Philmy voyageurs solidaires », avec l’aide de membres de sa famille et de proches.

    Sur le blog de l’association, Philippe G. détaille les actions éducatives ou humanitaires envers les « populations les plus défavorisées » du Népal, du Cambodge, du Laos ou d’Inde.

    Mais derrière l’engagement humanitaire, il est accusé d’avoir fait subir des masturbations ou des fellations à de nombreux garçons d’une dizaine d’années, parfois de six ou sept ans, lors de douches ou en dormant la nuit entourés de plusieurs d’entre eux.

  • Montluçon (03): meurtres de 3 retraités, viol d’une jeune femme, séances de tortures, le procès de deux jeunes Mahorais s’ouvre

    Publié par Guy Jovelin le 18 novembre 2019

    Par  le 18/11/2019

     

    […]
    Sur son lit médicalisé, Ginette Degl’Innocenti, 85 ans gît, le crâne déformé par les coups, dans une marée rougeâtre parsemée de tessons de bouteille. Dans une autre chambre, sous un monceau de vêtements, son époux Massimo, 71 ans, est allongé au sol, le corps lacéré et le visage enfoncé. Les deux retraités ont été suppliciés, entre autres, à l’aide d’un marteau, d’aiguilles à tricoter, d’une barre de penderie, d’un couteau à pain. Le ou les agresseurs n’ont même pas épargné les perruches du couple, qui reposent sur le flanc, dans leur cage.

    […] Dix jours durant lesquels une autre retraitée, Jeanine Ponce, 74 ans, sera mise à mort dans des conditions similaires, et une jeune femme violée pendant des heures en présence de son compagnon…

    Des crimes dont répondent à partir de ce lundi 18 novembre, et jusqu’à vendredi devant la cour d’assises des mineurs, à Moulins, deux jeunes garçons originaires de Mayotte. Alors âgés de seulement 17 et 18 ans, ils auraient agi sans raison, si ce n’est par désœuvrement.
    […]

    Le Parisien via fdesouche

  • Mélenchon en panique avant son procès

    Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2019

    Rédigé par notre équipe le 14 septembre 2019

    Jean-Luc Mélenchon est un homme apeuré. Avant même de voir tomber Patrick Balkany pour une toute autre affaire, le leader des Insoumis est omniprésent dans les médias comme pour se rassurer son avenir judiciaire. Suspecté dans deux affaires, Mélenchon devra répondre les 19 et 20 septembre d’acte de « rébellion, provocation et actes d’intimidation envers l’autorité judiciaire ». Des motifs d’accusation qui pourraient presque faire croire que l’ancien cacique du PS est un véritable insoumis. Malheureusement pour lui et ses électeurs naïfs, il n’en est rien.  

    Ce vendredi 13 septembre, Jean-Luc Mélenchon a beaucoup ri. Patrick Balkany, maire de Levallois et figure bien connue pour son goût de l’argent et du luxe est finalement tombé. Condamné à quatre ans de prison, il a immédiatement été envoyé en cellule au grand dam de sa femme et de ses soutiens habitués à une justice laxiste. Balkany en prison et son avocat voit sa réputation en prend un coup. Un « ami » de Mélenchon avec lequel il échange des amabilités à quelques jours du procès dans lequel Eric-Dupont Morretti défendra les policiers qui ont eu le redoutable privilège de participer aux perquisitions qui ont rendu fou de rage Mélenchon.

    Des hurlements sous le coup de la loi ?

    Quand Mélenchon est en colère (ou a très peur), ça se voit. Il invective, menace, hurle et finit pas gueuler, « La République, c’est moi ! ». S’il n’était pas connu pour sa carrière de politicard, les Français auraient pu croire à un mauvais reportage sur la justice au quotidien et les illuminés dont elle doit s’occuper. Le leader des Insoumis a très mal pris qu’on commence à regarder ses comptes de campagne et qu’on le retrouve de bon matin dans son appartement en compagnie de Sophia Chikirou. Une réunion très matinale de travail interrompue qui a mis de mauvais poil ce bon Jean-Luc lequel a filé dans les locaux de LFI pour faire la police.

    Malheureusement, les vrais policiers étaient déjà là avec un juge afin de procéder à une perquisition en règle. C’est là que Mélenchon a déparé et depuis, il se dit victime d’une machination politique digne des pires heures du stalinisme. Cela ne devrait guère déranger le gauchiste qu’il est, mais quand on est « seul » à faire « l’objet d’une saisie, d’une enquête préliminaire et de perquisitions géantes avec des  méthodes qui sont d’habitude réservées au grand banditisme », on panique un peu.

    « Je risque dix ans de prison et 150.000 euros d’amende je ne rigole plus. […] Je suis fier de moi et j’ai eu raison de leur tenir tête ». Un député qui se prend pour la République, menace la police, ne se contrôle plus, mais qui se décerne une médaille d’honneur… Mélenchon perd les pédales et sent que le boulet judiciaire risque de l’emporter. Depuis des mois, il crie au procès politique, se fait passer pour un authentique résistant au système et voit dans la présence de Dupont-Morretti à son procès la marque du pouvoir.

    N’a-t-il pas compris que cet avocat se pointe quand un procès très médiatique a lieu ? C’est le meilleur moyen de s’assurer une clientèle riche et désespérée. En voyant Balkany être condamné à la prison, Mélenchon a vu que Dupont-Morretti pouvait perdre un combat et reprend espoir. Sauf que les images de son comportement outrancier et menaçant restent et que sa possible future condamnation ressemblera à une petite tape sur les doigts. Les faits qui lui sont reprochés lors du procès à venir ne sont pas si grave et le système             a besoin de cet épouvantail pour continuer à ratisser large. Mélenchon ne terminera pas sa carrière en prison comme Lula ou Balkany… Nous voilà presque rassurés.

     

    Source : 24heuresactu