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tirs de mortiers - Page 2

  • Le Mans : appelés pour un incendie, des policiers tombent dans un guet-apens et reçoivent des tirs de mortiers incessants par une cinquantaine d’individus. “On y voyait comme en plein jour”

    Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2022

    Un homme de 21 ans a participé à un guet-apens tendu à la police vendredi 15 juillet 2022 au Mans (Sarthe). Les policiers avaient été la cible de tirs de mortiers.

    Il est 0h30 vendredi 15 juillet 2022, lorsque la police est appelée à la plaine des Glonnieres, au Mans (Sarthe), à la suite de l’incendie d’un container près du petit stade dudit quartier et une voiture de police se rend immédiatement sur les lieux.

    Guet-apens et tirs de mortiers

    Mais une fois sur les lieux, les 3 policiers sont victimes de tirs de mortiers et ne peuvent aller plus loin à cause des caddies du centre commercial tout proche utilisés comme barricades.

    Alors qu’ils essaient d’opérer un demi-tour, les policiers constatent que d’autres caddies liés ont été mis derrière leur véhicule. Ils sont pris dans un guet-apens.

    “On y voyait comme en plein jour “

    Encerclés et bloqués, les policiers subissent les tirs de mortiers enfermés dans la voiture de police. Pendant de longues minutes, une cinquantaine de personnes utilisent leurs engins pyrotechniques. La puissance de feu est tel qu’un policier déclarera plus tard : « on y voyait comme en plein jour ».

    (…)

    Me Agathe Géreau, l’avocate des policiers, a déclaré que les policiers se sont retrouvés sur une « véritable scène de guerre » qui a « salement endommagé » leur véhicule dont ils ont été les prisonniers, car ils ont été empêchés de quitter les lieux.

    Elle a demandé des dommages et intérêts pour les policiers dont elle a souligné le traumatisme.

    (…) Actu.fr via fdesouche

  • Vendée : trois jeunes hommes reconnus coupables de départs de feux, des tirs de mortiers seraient à l’origine du déclenchement de ces incendies

    Publié par Guy Jovelin le 21 juillet 2022

    Les mis en cause ont nié avoir été à l’origine des feux. Ils invoquent une confrontation avec des agresseurs à coups de mortiers en sortant de soirée.

    Ils étaient quatre mis en cause. Trois d’entre eux viennent d’être reconnus coupables d’être à l’origine des feux déclenchés samedi dernier aux Sables-d’Olonne (Vendée). L’un d’entre eux a été incarcéré mercredi, rapporte France Bleu.

    Les trois prévenus sont des vacanciers, pour la plupart sans emploi. Celui qui a été incarcéré l’a été en raison de son casier judiciaire, il avait déjà écopé d’une peine qu’il n’avait pas purgée. Il a été condamné à 24 mois de prison dont 14 mois de sursis assortis d’un sursis probatoire.

    Les mis en cause, âgés de 20 à 23 ans ont nié avoir été les auteurs des feux. Ils assurent avoir été agressés lors d’une sortie entre amis par deux jeunes. L’agression aurait impliqué des mortiers et l’un des artifices serait tombé sur la plage arrière de leur voiture.

    Une dizaine de feux dans la région

    Quelques minutes plus tard, une autre confrontation à coups de mortiers aurait eu lieu avec ces mêmes jeunes, ont plaidé les mis en cause.

    Le Parisien via fdesouche

  • Incidents et violences lors de la manifestation du 1er-Mai à Paris : Tirs de mortiers sur les policiers, un pompier agressé alors qu’il tentait d’éteindre un incendie

    Publié par Guy Jovelin le 01 mai 2022

  • Meudon (92) : débordements et interpellations à la suite d’un match de football sauvage pendant lequel, à chaque but marqué, un tir de mortier était effectué

    Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2021

    Tirs de mortier et de feux d’artifice, violences… Dans le quartier de Meudon-la-Forêt, une petite dizaine de jeunes ont été arrêtés ce samedi soir après avoir participé à un match opposant des habitants de la commune et de Clamart, qui a vite dégénéré. Le rendez-vous avait visiblement été donné sur les réseaux sociaux, avec un principe pour le moins déroutant : à chaque but marqué, un tir de mortier était effectué. La rencontre aurait rapidement dérapé.

    Commencé vers 17 heures sur le stade du complexe sportif Georges-Millandy, à la frontière entre les deux communes des Hauts-de-Seine, le match aurait rassemblé près de 300 personnes. Selon la préfecture, au moins sept jeunes, dont certains mineurs, ont été interpellés et placés en garde à vue après des tirs de mortiers et de feux d’artifice répétés et plusieurs affrontements.

    « J’ai vu plein de personnes sortir du stade avec des battes, des bâtons, des béquilles, etc. », raconte un habitant du quartier, qui réside juste en face du stade». […]

    La Parisien via fdesouche

  • Compiègne (60) : visés par des tirs de mortiers au Clos-des-Roses, les policiers, à court de munitions, regagnent le commissariat

    Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2021

    Les soirées se suivent et se ressemblent dans le quartier du Clos-des-Roses à Compiègne (Oise). Ce jeudi soir, une quinzaine de policiers de la cité impériale ont été la cible de plus de soixante tirs de mortiers d’artifice et de jets de pavés alors qu’ils menaient dans la cité sensible une « opération de sécurisation ». Ce nouvel épisode de violences urbaines n’a pas fait de blessé. Ce quartier est identifié comme le principal point de deal de la ville.

     « Rapidement, une quarantaine d’individus fondaient sur nous, souligne le commissaire de police Pierryck Boulet. Les plus téméraires sont venus au contact. Ils nous visaient alors qu’ils étaient à 10 ou 20 mètres de nous. »

    Sous pression, les forces de l’ordre ont répliqué par des tirs de lanceur de balles de défense (LBD) et fait usage de gaz lacrymogène. À court de munitions, les différents équipages ont été contraints de regagner le commissariat de la ville, avant de faire face à un deuxième assaut des émeutiers, déclenché vers 21h30. […]

    Le Parisien via fdesouche