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  • Vendée : se disant « écœuré » par la justice, un couple songe à quitter la France après avoir été victime de squatteurs professionnels

    Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023

    Se disant «écœuré» par la justice française après des mois de loyers impayés, de nombreux dégâts à réparer et une altercation physique, le couple va mettre en vente son restaurant cet été.

    La décision n’est pas encore définitive. Elle infuse un peu plus chaque jour qui passe. «Avec mon mari, on se questionne beaucoup sur le fait de vendre tous nos biens et de changer de pays», tranche Audrey Oberweis. Cette Lorraine d’origine, installée en Vendée en 2015, ne décolère pas. Dans son viseur : ses anciens locataires qu’elle qualifie de «squatteurs professionnels», la lenteur de la justice et des lois qu’elle juge trop protectrices avec «les escrocs». Un constat cinglant qui fait suite au «cauchemar» vécu par cette quadragénaire et qui a marqué son moral et son physique.

    Dans son histoire, outre une perte financière, il est aussi question de violences. Pour bien la comprendre, il faut remonter quelques années en arrière. En 2019, avec son mari, ils acquièrent un restaurant. Afin de rembourser son prêt et se garantir une rentrée d’argent fixe, le couple met en location sa maison acquise en 2015 et déménage au-dessus du restaurant dans des conditions plus spartiates. «Nous avons loué à des personnes qui nous avaient été recommandées. Leur dossier était bon. D’ailleurs, au début, ils payaient rubis sur l’ongle», retrace-t-elle.

    La situation va se tendre radicalement en août 2021. Huit mois plus tôt, le couple avait averti leurs locataires, via une lettre remise en mains propres, de son souhait de revendre ce bien meublé. Le délai légal en la matière était donc bien respecté voire dépassé. Arguant de difficultés à trouver un autre logement, les locataires changent de ton. Ils affirment ne pas vouloir quitter les lieux sans décision de justice. «Le monsieur s’est énervé, s’est mis à nous injurier puis il m’a mis un coup de poing», décrit Audrey dont les blessures ont été évaluées à huit jours d’incapacité temporaire totale (ITT) et pour lesquelles elle attend toujours réparations.

    (…) Dans ce désordre, le couple retrouve des papiers administratifs qui vont les renseigner sur le profil de leurs locataires. «Nous avons découvert qu’ils avaient déjà connu trois expulsions. Ce sont des squatteurs professionnels. Depuis 2009, ils étaient irréguliers dans le paiement de leurs loyers que ce soit avec un bailleur social ou privé. Ils accumulaient les dettes, faisaient un dossier de surendettement puis recommençaient la même chose», déplore avec amertume Audrey.

    «Ce n’était pas à l’ordre du jour avant cette histoire qui nous a dégoûtés, précise celle dont la santé a aussi été affectée par cette affaire. Nous sommes écœurés de la justice française vu les délais impartis entre chaque procédure. Il faut que la loi évolue et arrête de protéger les escrocs.» Si Audrey et son mari réfléchissent à une potentielle expatriation, une chose est sûre : plus jamais ils ne mettront en location un bien.

    Le Figaro via fdesouche

  • Vendée : trois jeunes hommes reconnus coupables de départs de feux, des tirs de mortiers seraient à l’origine du déclenchement de ces incendies

    Publié par Guy Jovelin le 21 juillet 2022

    Les mis en cause ont nié avoir été à l’origine des feux. Ils invoquent une confrontation avec des agresseurs à coups de mortiers en sortant de soirée.

    Ils étaient quatre mis en cause. Trois d’entre eux viennent d’être reconnus coupables d’être à l’origine des feux déclenchés samedi dernier aux Sables-d’Olonne (Vendée). L’un d’entre eux a été incarcéré mercredi, rapporte France Bleu.

    Les trois prévenus sont des vacanciers, pour la plupart sans emploi. Celui qui a été incarcéré l’a été en raison de son casier judiciaire, il avait déjà écopé d’une peine qu’il n’avait pas purgée. Il a été condamné à 24 mois de prison dont 14 mois de sursis assortis d’un sursis probatoire.

    Les mis en cause, âgés de 20 à 23 ans ont nié avoir été les auteurs des feux. Ils assurent avoir été agressés lors d’une sortie entre amis par deux jeunes. L’agression aurait impliqué des mortiers et l’un des artifices serait tombé sur la plage arrière de leur voiture.

    Une dizaine de feux dans la région

    Quelques minutes plus tard, une autre confrontation à coups de mortiers aurait eu lieu avec ces mêmes jeunes, ont plaidé les mis en cause.

    Le Parisien via fdesouche

  • Les marxistes n’en loupent pas une

    Publié par Guy Jovelin le 20 mars 2022

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    La guerre en Ukraine est l’occasion pour les syndicats d’extrême-gauche Sud, CGEN-CFDT, CGT, la Fédération anarchiste, et Attac, de lancer une pétition pour débaptiser un collège de Vendée à Aizenay, nommé Soljenitsyne en 2005. Ils souhaitent lui donner le nom d’un “poète ukrainien”, Voline et expliquent :

    “Peu avare de compliments envers le dictateur russe qui lui décerna le prix d’État, Soljenitsyne partageait avec lui sa vision de l’unité de la Russie (donc l’annexion de l’Ukraine), un patriotisme aveugle et une fascination pour les régimes autoritaires.”

    Quant à Voline:

    “Voline était un poète ukrainien condamné en Russie tsariste pour insurrection. Réfugié en France, il dut la fuir suite à un mandat d’arrêt à cause de ses prises de position antimilitaristes lors de la Première Guerre mondiale.”

    Voline était l’un des principaux théoriciens de l’anarchisme en Russie, et l’un des fondateurs du premier soviet de Saint-Pétersbourg lors de la révolution de 1905.

     

    Source : lesalonbeige

  • Travail dissimulé et blanchiment dans le bâtiment, 4 millions d’euros virés vers la Turquie : 14 personnes arrêtées dans trois départements de l’Ouest

    Publié par Guy Jovelin le 08 mai 2021

    Quatorze personnes – treize hommes et une femme , pour certaines, en situation irrégulière – ont été interpellées le 4 mai en Vendée, en Loire-Atlantique et en Ille-et-Vilaine. Elles sont soupçonnées d’avoir organisé de la fausse sous-traitance dans le secteur du bâtiment près de Nantes et Rennes pour un total supérieur à 4 millions d’euros. Elles sont soupçonnées de travail dissimulé et blanchiment dans le secteur du bâtiment autour de Nantes et de Rennes. D’après la police, elles ont agi entre septembre 2018 et avril 2021.

    L’organisation, créée de toute pièce, reposait sur quatre sociétés fictives. “Dépourvues de matériel et de locaux, ces sociétés facturaient de fausses prestations de sous-traitance à des entreprises du bâtiment“, explique le parquet de Rennes. L’étude des comptes bancaires des sociétés fictives a permis de mettre en évidence des virements à des personnes physiques “ne faisant l’objet d’aucune déclaration sociale obligatoire et se trouvant, pour certaines, en situation irrégulière sur le territoire national”. Les virements, estimés à plus de 4 millions d’euros, ont fait l’objet de mandats à destination de la Turquie.

    Parmi les treize hommes et la femme arrêtés, trois ont été placés en détention provisoire, dont un ressortissant turc âgé de 43 ans, soupçonné d’être à la tête des sociétés fictives. Les onze autres sont placés sous contrôle judiciaire.

    France Bleu via fdesouche

  • Idéologie du genre dans un lycée catholique en Vendée

    Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2021

    Idéologie du genre dans un lycée catholique en Vendée

    Voici ce que les parents ont pu lire à la page 8 du numéro de décembre du bulletin du Lycée Saint-François d’Assise à La Roche sur Yon :

     

    Source : lesalonbeige