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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 430

  • « Il n’y a pas de sens de l’Histoire »

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mars 2023

    Pour les 60 ans de l’exécution du colonel Bastien-Thiry, une soirée commémorative était organisée, au prieuré Saint-Irénée à Lyon (FSSPX).

    Après la messe célébrée par M. l’abbé Cyprien du Crest, le chant de la cavalcade résonna dans l’église, unissant les voix de toutes les générations.

    Après avoir écouté M. Louis de Condé déclamer avec émotion un poème en hommage au colonel, madame Hélène Bastien-Thiry donne une conférence retraçant la vie héroïque de son père.


    Quelque 200 personnes, pieds noirs, amis de l’Algérie Française auxquels se mêlaient de très nombreux étudiants étaient présents pour rendre hommage au colonel Bastien-Thiry, défenseur de la civilisation chrétienne et française comme son magnifique testament en témoigne:

     “Il n’y a pas de sens de l’Histoire, il n’y a pas de vent de l’Histoire, car ce qui fait l’Histoire, selon notre conception occidentale et chrétienne, qui est vérifiée par tous les faits historiques, c’est la volonté des hommes, c’est l’intelligence des hommes, ce sont leurs passions bonnes ou mauvaises”.
    (Colonel Bastien-Thiry)
     
    Source : lesalonbeige
  • En temps de guerre, le service national va devenir obligatoire dès janvier 2024

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mars 2023

     

    Tout le monde est suspendu à la décision d’Emmanuel Macron. Le président doit depuis plusieurs semaines détailler la manière dont il compte généraliser le service national universel (SNU). En 2017 déjà, il promettait d’instaurer un « service national obligatoire » pour tous les jeunes Français.

    Un SNU basé sur le volontariat a depuis vu le jour. En 2022, seulement 32 000 adolescents y ont participé, sur les 50 000 attendus. Mais d’ici quelques années, ils pourraient bien être 25 fois plus nombreux. Car le gouvernement envisage sérieusement de rendre le SNU obligatoire pour tous les élèves en classe de seconde et en première année de CAP, soit 800 000 jeunes par an.

    C’est en tout cas ce que laisse entendre un document interne au ministère de l’Éducation nationale révélé il y a quelques jours par Politis. Cette note, datée du 2 décembre 2022, détaille la façon dont pourrait fonctionner ce service national imposé. Il consisterait en un séjour de cohésion de 12 jours, étalé sur plusieurs mois. Il aurait lieu pendant le temps scolaire, et non plus pendant les vacances.

    Téléphone interdit, uniforme requis

    Les jeunes concernés devraient se rendre par leurs propres moyens à l’emplacement du séjour, forcément situé en dehors de leur département ou de leur région. Le lieu et la date d’affectation seraient eux aussi imposés. Au programme sur place : un lever à 6h30 et un coucher à 22h30, ainsi qu’une levée du drapeau et une Marseillaise quotidiennes. Le document de travail prévoit le port d’une tenue « commune » à tous les participants et l’interdiction du téléphone portable en journée.

    Défense, sécurité intérieure, développement durable… Pendant l’ensemble du séjour, les adolescents se verraient dispenser des enseignements par des personnels volontaires de l’Éducation nationale, de l’éducation populaire et des militaires non actifs. Objectif affiché : « renforcer la résilience de la nation », « développer la cohésion sociale » et « promouvoir une culture de l’engagement ».

    Si cette version du SNU est retenue par l’exécutif, les jeunes les plus motivés verront leur permis de conduire ou leur Bafa (brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur) intégralement financé. Seule condition à respecter : suivre le parcours complet du SNU, dont le module permettant l’accès à une réserve en uniforme. Selon le Snes-FSU, premier syndicat des enseignants du second degré, les adolescents n’auraient par ailleurs pas la possibilité d’évoquer l’objection de conscience pour échapper au séjour de cohésion, puisqu’il ne s’agit pas d’un service militaire. Ils pourraient seulement bénéficier d’un report en cas de force majeure.

    La note du ministère de l’Éducation nationale prévoit un déploiement progressif de la nouvelle version du SNU. Si la piste d’un séjour obligatoire est retenue, celui-ci serait mis en place dans six départements pilotes à partir de janvier 2024. D’après le Snes-FSU, il serait d’abord expérimenté dans les Hautes-Alpes, les Vosges, le Cher, le Finistère, la Dordogne et le Var, avant une généralisation à l’ensemble du pays en 2026. Ce qui nécessiterait de présenter un projet de loi au Parlement.

    Le volontariat toujours envisagé

    La gauche est déjà vent debout contre le projet, tout comme les organisations de jeunesse. « Rendre obligatoire un engagement, c’est un oxymore. Ce n’est pas comme ça que fonctionne l’engagement », relève auprès de Politis Samuel Béguin, du Forum français de la jeunesse (FFJ). D’autres pointent le manque d’équipements disponibles pour accueillir 800 000 jeunes chaque année.

    Le Snes-FSU, lui, voit dans cette mesure un moyen d’« affaiblir l’Éducation nationale », avec « un calendrier scolaire désormais soumis aux contraintes du SNU ». Le syndicat critique aussi son coût, estimé à 2 milliards d’euros, alors que les enseignants réclament de longue date plus de moyens. « Plus généralement, [le SNU obligatoire] consacre l’idée que l’école de la République n’est plus le lieu par excellence de la fabrication de la nation », relève le Snes-FSU.

    Devant cette levée de boucliers, l’Élysée et le cabinet de Sarah El Haïry, la secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et du Service national universel, ont assuré ce jeudi au Figaro que « rien n’est (encore) décidé ». Si Sarah El Haïry est favorable à l’instauration d’un SNU obligatoire, une autre option est envisagée : le dispositif pourrait rester volontaire, mais devenir plus incitatif grâce au financement du permis de conduire et du Bafa.

    Emmanuel Macron devait initialement trancher et rendre son arbitrage au début de l’année. D’après le cabinet de Sarah El Haïry, il pourrait finalement prendre une décision « avant la fin de l’année scolaire ». On comprend pourquoi le chef de l’État ne se presse pas : le SNU, moqué et critiqué, pourrait pousser la jeunesse dans la rue s’il devenait obligatoire. En pleine mobilisation contre la réforme des retraites, le président fait donc profil bas.

     

    Source RLorrain  via lesmoutonsrebelles

  • Femmes trans ? CQFD

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mars 2023

    « Placez cent femmes et dix hommes sur une île abandonnée et dans cent ans vous aurez une société d’hommes, de femmes, de filles et de garçons. Mettez cent femmes trans et une dizaine d’hommes sur une île déserte et dans cent ans vous trouverez les squelettes de cent dix hommes. C’est scientifique.
    Mentir n’aide pas votre santé mentale.”

    — Enzo Maccarinelli, boxeur britannique d’origine italienne, 42 ans

     

    Source : medias-presse.info

  • Des députés espagnols reçoivent des sacs contenant des répliques de fœtus humains avortés

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mars 2023

    Espagne – Plusieurs députés ont dénoncé hier avoir chacun reçu un sachet contenant la répliques d’un fœtus humain ensanglanté de douze semaines. Cela leur a été expédié au cours de la semaine dernière dans le cadre d’une campagne contre l’approbation récente de la loi sur l’avortement.

    Cela a été confirmé par les groupes parlementaires du PSOE, Unidas Podemos et EH Bildu, trois des partis politiques qui ont voté en faveur de la nouvelle loi sur l’avortement à la Chambre basse le 16 décembre.

    Les envois, selon ces sources, sont accompagnés d’une lettre d’Ignacio Arsuaga, président des associations Derecho a Vivir et Hazte Oír, critiquant l’approbation de cette réforme. L’auteur de la lettre assure également que la nouvelle loi sur l’avortement promue par le ministère de l’Égalité est “plus atroce” que celle approuvée par le gouvernement socialiste de José Luis Rodríguez Zapatero et accuse les députés auxquels d’avoir permis “l’élimination d’êtres humains dans une intervention chirurgicale d’une violence et d’une cruauté extrêmes”.

    La lettre dénonce également le fait que le texte approuvé par le Congrès et entré en vigueur cette semaine encourage “le ciblage de ces médecins et agents de santé qui veulent s’opposer consciencieusement à l’élimination de vies humaines, par la création de listes noires”.

    La porte-parole du droit de vivre, Inmaculada Fernández, a reconnu que l’action est “très macabre” mais la justifie car “l’avortement est cruel, violent et sanglant puisqu’il consiste à démembrer, sucer un bébé dans le ventre maternel. C’est très macabre, mais c’est ce qu’ils ont approuvé ».

     

    Source : medias-presse.info

  • Thierry Solère, multi-mis en examen et toujours conseiller officieux d’Emmanuel Macron à l’Elysée

    Publié par Guy de Laferrière le 04 mars 2023

    Même le journal Le Monde s’étonne qu’un tel personnage puisse conserver une place de choix dans l’ombre d’Emmanuel Macron.

    Le franc-maçon Thierry Solère est le politique le plus mis en examen de France, poursuivi pour 13 infractions.

    Il incarne la face cachée du macronisme : une propension à narguer la justice et à mélanger business et politique.
    Le conseiller d’Emmanuel Macron est poursuivi pour trafic d’influence, recel d’abus de biens sociaux, recel d’abus de confiance, financement illicite de campagne, détournement de fonds publics, manquement aux obligations de déclaration à la HATVP, fraude fiscale…

    La juge Anne de Pingon s’intéresse particulièrement à la société Aliapur, un éco-organisme spécialisé dans la collecte et le recyclage des pneus usagés en France et qui a grassement rémunéré M. Solère comme consultant pendant 10 ans : “près de 2 millions d’€”.

     

    Source : medias-presse.info