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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 427

  • Charleville-Mézières (08) : Un homme armé d’un couteau tente de poignarder deux policiers qui parviennent à l’esquiver, le troisième ouvre le feu

    Publié par Guy de Laferrière le 24 juillet 2023

    Charleville-Mézières : Un homme armé d'un couteau neutralisé par balle dans le commissariat

    Agression à l’arme blanche au commissariat de Charleville-Mézières (Ardennes) dans la nuit de dimanche à lundi. Un homme armé d’un couteau a agressé plusieurs policiers avant d’être neutralisé par balle selon des sources policières, confirmant une information de L’Ardennais. Son pronostic vital n’est pas engagé. Il a été transporté à l’hôpital et ses motivations restent à déterminer.

    Il était environ 2 heures du matin lorsque cet homme a pénétré dans le commissariat, muni d’un couteau. Il aurait indiqué aux forces de l’ordre avoir été victime d’une agression. “Une fois dans les locaux, il a exhibé son arme et a tenté de poignarder à la cheffe de poste à l’accueil”, expose une source policière. La fonctionnaire a sorti son arme pour se défendre et a fini par réussi à repousser l’agresseur.

    actu17.fr via fdesouche

  • Fronde des policiers à Marseille : “avant un éventuel procès, un policier n’a pas sa place en prison, même s’il a pu commettre des fautes”

    Publié par Guy de Laferrière le 24 juillet 2023

    Fronde des policiers à Marseille : “avant un éventuel procès, un policier n’a pas sa place en prison, même s’il a pu commettre des fautes”

    Directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Veaux a été interrogé dans Le Parisien, à propos des policiers engagés dans un mouvement de protestation lancé à la suite de la détention provisoire d’un fonctionnaire de la BAC de Marseille. Extraits :

    Souhaitez-vous aussi la remise en liberté de ce policier de la Brigade anticriminalité ?

    Oui. Le savoir en prison m’empêche de dormir. Mais la justice ne cède jamais à la pression médiatique ou de la rue, elle traite les dossiers. L’émotion et la colère passées, il faut se donner les moyens techniques et judiciaires pour que ce fonctionnaire de police retrouve la liberté. C’est un policier expérimenté comme ceux qui composent les BAC de Marseille. Ils font face quotidiennement à des situations très complexes, car confrontés à un trafic de stupéfiants très important et à des individus souvent armés. Grâce à eux, de nombreuses affaires ont été résolues, nous savons pouvoir compter sur eux en toutes circonstances.

    Vous comprenez donc ce mouvement de fronde ?

    Je comprends l’émotion, et même la colère, qu’a pu susciter dans les rangs policiers le placement en détention de l’un des leurs. Ceci, indépendamment de l’affaire judiciaire, dont je ne connais pas le contenu et dont je me garderais de toute appréciation. De façon générale, je considère qu’avant un éventuel procès, un policier n’a pas sa place en prison, même s’il a pu commettre des fautes ou des erreurs graves dans le cadre de son travail. J’exclus de mon propos les affaires qui concernent la probité ou l’honnêteté. Mais lorsqu’un policier est dans l’exercice de sa mission, on doit admettre qu’il peut commettre des erreurs d’appréciation. Le policier doit rendre compte de son action, y compris devant la justice, mais on doit aussi tenir compte des garanties dont il bénéficie et qui le distinguent des malfaiteurs ou des voyous. Je le répète, dans ce type d’affaires, le placement sous mandat de dépôt n’est pas la solution. […]

     

    Source : lesalonbeige

  • C’était un 24 juillet…

    Publié par Guy de Laferrière le 24 juillet 2023

    Description de cette image, également commentée ci-après• 1534: Jacques Cartier prend possession du Canada au nom du Roi de France. Parti le 20 avril 1534 de Saint Malo (où il a une statue tournée vers l’Ouest), Jacques Cartier atteint le golfe du Saint-Laurent et débarque à Gaspé après s’être arrêté à Terre-Neuve. Accueilli par des Indiens avec qui il échange des cadeaux, il plante une immense croix portant les armes du Roi de France, le 24 juillet.

     

     

    Source : contre-info

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 23 juillet 2023

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  • 23 juillet 1945 : Ouverture de l’infâme procès Pétain

    Publié par Guy de Laferrière le 23 juillet 2023

    « C’est le peuple français qui, par ses représentants réunis en Assemblée nationale le 10 juillet 1940, m’a confié le pouvoir, c’est à lui que je suis venu rendre des comptes.

    La Haute Cour, telle qu’elle est constituée, ne représente pas le peuple français, et c’est à lui seul que s’adresse le Maréchal de France, chef de l’État.

    Je ne ferai pas d’autre déclaration. Je ne répondrai à aucune question. Mes défenseurs ont reçu de moi la mission de répondre à des accusations qui veulent me salir et n’atteignent que ceux qui les profèrent.

    J’ai passé ma vie au service de la France. Aujourd’hui, âgé de près 90 ans, jeté en prison, je veux continuer à la servir, en m’adressant à elle une fois encore. Qu’elle se souvienne ! J’ai mené ses armées à la victoire en 1918. Puis, alors que j’avais mérité le repos, je n’ai cessé de me consacrer à elle.

    J’ai répondu à tous ses appels, quels que fussent mon âge et ma fatigue. Le jour le plus tragique de son Histoire, c’est encore vers moi qu’elle s’est tournée.

    Je ne demandais rien, je ne désirais rien. On m’a supplié de venir : je suis venu. Je devenais ainsi l’héritier d’une catastrophe dont je n’étais pas l’auteur. Les vrais responsables s’abritaient derrière moi pour écarter la colère du peuple.

    Lorsque j’ai demandé l’armistice, d’accord avec nos chefs militaires, j’ai rempli un acte nécessaire et sauveur.

    Oui, l’armistice a sauvé la France et contribué à la victoire des Alliés en assurant une Méditerranée libre et l’intégrité de l’Empire.

    Le pouvoir m’a été confié et légitimement reconnu par tous les pays du monde, du Saint-Siège à l’U.R.S.S. De ce pouvoir, j’ai usé comme d’un bouclier pour protéger le peuple français. Pour lui, je suis allé jusqu’à sacrifier à mon prestige. Je suis demeuré à la tête d’un pays sous l’occupation.

    Voudra-t-on comprendre la difficulté de gouverner dans de telles conditions ? Chaque jour, un poignard sur la gorge, j’ai lutté contre les exigences de l’ennemi. L’Histoire dira tout ce que je vous ai évité, quand mes adversaires ne pensent qu’à me reprocher l’inévitable.

    L’occupation m’obligeait à ménager l’ennemi, mais je ne le ménageais que pour vous ménager vous-mêmes, en attendant que le territoire soit libéré.

    L’occupation m’obligeait aussi, contre mon gré et contre mon cœur, à tenir des propos, à accomplir certains actes dont j’ai souffert plus que vous, mais devant les exigences de l’ennemi, je n’ai rien abandonné d’essentiel à l’existence de la patrie.

    Au contraire, pendant quatre années, par mon action, j’ai maintenu la France, j’ai assuré aux Français la vie et le pain, j’ai assuré à nos prisonniers le soutien de la Nation.

    Que ceux qui m’accusent et prétendent me juger s’interrogent du fond de leur conscience pour savoir ce que, sans moi, ils seraient peut-être devenus. *

    Pendant que le Général De Gaulle, hors de nos frontières, poursuivait la lutte, j’ai préparé les voies de la libération, en conservant une France douloureuse mais vivante.

    A quoi, en effet, eût-il servi de libérer des ruines et des cimetières ?

    C’est l’ennemi seul qui, par sa présence sur notre sol envahi, a porté atteinte à nos libertés et s’opposait à notre volonté de relèvement.

    J’ai réalisé, pourtant, des institutions nouvelles ; la Constitution que j’avais reçu mandat de présenter était prête, mais je ne pouvais la promulguer.

    Malgré d’immenses difficultés, aucun pouvoir n’a, plus que le mien, honoré la famille et, pour empêcher la lutte des classes, cherché à garantir les conditions du travail à l’usine et à la terre.

    La France libérée peut changer les mots et les vocables. Elle construit, mais elle ne pourra construire utilement que sur les bases que j’ai jetées.

    C’est à de tels exemples que se reconnaît, en dépit des haines partisanes, la continuité de la Patrie. Nul n’a le droit de l’interrompre.

    Pour ma part, je n’ai pensé qu’à l’union et à la réconciliation des Français. Je vous l’ai dit encore le jour où les Allemands m’emmenaient prisonnier parce qu’ils me reprochaient de n’avoir cessé de les combattre et de ruiner leurs efforts.

    Je sais qu’en ce moment, si certains ont oublié, depuis que je n’exerce plus le pouvoir, ce qu’ils ont dit, écrit ou fait.

    Des millions de Français pensent à moi, qui m’ont accordé leur confiance et me gardent leur fidélité.

    Ce n’est point à ma personne que vont l’une et l’autre, mais pour eux comme pour bien d’autres, à travers le monde, je représente une tradition qui est celle de la civilisation française et chrétienne, face aux excès de toutes les tyrannies.

    En me condamnant, ce sont des millions d’hommes que vous condamnerez dans leur espérance et leur foi. Ainsi, vous aggraverez ou vous prolongerez la discorde de la France, alors qu’elle a besoin de se retrouver et de s’aimer pour reprendre la place qu’elle tenait autrefois parmi les nations.

    Mais ma vie m’importe peu. J’ai fait à la France le don de ma personne. C’est à cette minute suprême que mon sacrifice ne doit plus être mis en doute.

    Si vous deviez me condamner, que ma condamnation soit la dernière et qu’aucun Français ne soit plus jamais détenu pour avoir obéi aux ordres de son chef légitime.

    Mais, je vous le dis à la face du monde, vous condamneriez un innocent en croyant parler au nom de la justice et c’est un innocent qui en porterait le poids, car un Maréchal de France ne demande de grâce à personne.

    A votre jugement répondront celui de Dieu et celui de la postérité. Ils suffiront à ma conscience et à ma mémoire.

    Je m’en remets à la France ! »

    PHILIPPE PÉTAIN, maréchal de France

    6 ans après à 9h26, le vainqueur de Verdun mourait dans sa prison de l’île d’Yeu. Son corps y est enterré et attends toujours son transfert à Verdun.

     

    Source : jeune-nation