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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 441

  • Variole du singe (Mpox), le retour chez des homosexuels majoritairement vaccinés

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Auteur : 

    Variole du singe (Mpox), le retour chez des homosexuels majoritairement vaccinés
    Variole du singe (Mpox), le retour chez des homosexuels majoritairement vaccinés

    Un site réservé aux sujets médicaux affirme que depuis le 1er mars, quatorze cas de variole du singe ont été recensés en Centre-Val de Loire. En tout, dans cette région, entre le 1er janvier et le 23 mars 2023, dix-sept personnes atteintes de cette maladie ont été enregistrées, ce qui en fait un cluster, selon Santé Publique France. La totalité des personnes malades sont des homosexuels, âgés de 24 à 56 ans.

    Majoritairement vaccinés contre la variole du singe

    La variole du singe, désormais appelée Mpox, est un virus qui se transmet à l’Homme à partir d’animaux ou d’autres humains. Ces derniers sont contagieux dès l’apparition des premiers symptômes et la période d’incubation va de sept à quatorze jours.

    “Dans la plupart des cas, les symptômes de la variole du singe disparaissent spontanément au bout de quelques semaines, peut-on lire sur le site de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Cependant, chez certaines personnes, l’infection peut entraîner des complications médicales et même la mort.”

    “Actuellement, la vaccination est recommandée pour les personnes ayant été en contact avec une personne infectée, mais aussi, de manière préventive, chez les personnes les plus exposées au virus. Il s’agit des HSH et ayant des partenaires sexuels multiples, des personnes trans ayant des partenaires sexuels multiples, des travailleurs du sexe, etc.”, peut-on lire.

    Dans le cluster recensé en Centre-Val de Loire, sur les dix-sept hommes infectés, dix avaient un schéma complet de vaccination (deux doses), six n’étaient pas vaccinés et une personne avait un schéma de vaccination incomplet.

    “Compte tenu de la proportion élevée (59 %) de vaccinés dans ce cluster, des investigations ont été réalisées par Santé publique France et le Centre régional de pharmacovigilance de Tours, explique Santé Publique France. La proportion de cas vaccinés est plus élevée que ce qui est observé au niveau national (25 % des cas masculins de mpox déclarés entre octobre et février 2023 en France concernaient des hommes vaccinés).”

     

    Source : medias-presse.info

  • Drogue : le crack de Perpignan attire des consommateurs de toute la France

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Outre un taux de chômage et une précarité locale ahurissante – ainsi qu’un quartier gitan (saint Jacques) qui pulvérise tous les indicateurs de pauvreté, précarité et misère sociale nationaux, Perpignan traîne d’autres calamités, comme celles liées au trafic de drogue, et notamment du crack.

    Made in Perpignan consacre un dossier au crack, qui prospère sur la grande pauvreté et le laxisme généralisé :

    “Lors d’une conférence à l’invitation de « L’Alternative En Davant« , les sociologues Mickael Caetano, Sophie Albert et Dominique Sistach ont livré leur analyse sur la hausse récente et inquiétante de la consommation de crack à Perpignan. La consommation de cette drogue dite « du pauvre », aux effets de courte durée mais dévastateurs, est particulièrement visible dans les rues de la cité catalane.

    Dans cette étude, les sociologues également travailleurs sociaux Mickael Caetano, Sophie Albert ont mis à jour une cartographie de la ville de Perpignan. Les caractéristiques d’hyper addictivité du crack, mais aussi son effet ultra-court, contraint les consommateurs à rester à proximité des lieux d’approvisionnement. En effet, ce dérivé de la cocaïne – qui se fume – a un effet très puissant, mais aussi très court. Selon Mickael Caetano, travailleur social à Perpignan, « la cocaïne en poudre et le crack sont des produits stimulants, ils provoquent une augmentation de la sécrétion de dopamine dans le cerveau.

    Mais il y a une différence au niveau de l’effet, son effet peut durer 1 à 2 heures, mais le flash, cette sensation de bien-être sera très bref. C’est ce phénomène qui crée des zones de consommation qui n’existaient pas auparavant. Ils sont obligés de rester près de la zone de deal pour vite retourner en racheter après la fin de l’effet ».

    […] Selon Dominique Sistach, la drogue et plus particulièrement le crack ou la cocaïne transformée ont créé une économie de flux très particulière. « On retrouve nos quartiers prioritaires reliés par les mouvements de population. En haut de Saint Jacques, il y a des jeunes qui font la manche pour acheter du crack ou de la cocaïne. En redescendant, juste à côté de la nouvelle faculté de droit, on retrouve les dealers. Et plus bas, il y a des gens qui cuisinent dans les appartements où les acheteurs viennent aux pieds des immeubles. En face du quartier Saint-Mathieu [plus bas dans le centre-ville, autour de l’église dévolue à la FSSP], la zone qui va jusqu’à la poste centrale est une zone de repos ». Mais aussi de prostitution pour les jeunes femmes et jeunes hommes. « Les policiers les ont repoussés du centre-ville et on les retrouve désormais derrière l’église du Moulin-à-vent » [quartier sensible de Perpignan, au sud du centre-ville].

    […] les commerces du quartier du lycée Arago s’adaptent à ces nouveaux besoins. Les épiceries vendent de l’aluminium en forte quantité [les consommateurs le font brûler sur de l’aluminium avant d’inhaler les fumées] et selon le sociologue, les pipes à crack s’affichent dans certaines vitrines“.

    Selon les sociologues, Perpignan est plus touchée par la consommation que d’autres villes de même taille. Les pharmacies et les centres spécialisés fourniraient 15% de plus de Stéribox à Perpignan que dans des villes équivalentes. Ces kits sont destinés à réduire les risques de transmission de maladies infectieuses chez les consommateurs de drogue. Dominique Sistach évoque ces chiffres fournis par l’OFDT, Observatoire français des drogues et des tendances addictives.

    […] Le 5 octobre dernier, 1.000 policiers avaient été déployés pour démanteler le « campement du crack » à Paris. Bilan des opérations, 39 interpellations et 500 grammes de produit saisis. « Un bien maigre butin aux vues des moyens », estime Dominique Sistach. Idem à Perpignan, le sociologue fait le récit d’un récent déploiement sur le quartier Saint-Matthieu. « En ce moment, les gendarmes agissent sur Saint-Matthieu. Ils essayent de chasser les dealers, et dissuader les consommateurs. Il y a 48h, les gendarmes ont garé 6 camions du côté du conservatoire de musique et ils font un quadrillage du territoire. Rue par rue, ils vérifient toutes les caches visibles, contrôlent les identités. Puis les dealers se déplacent de quelques rues ».

    […] Selon un rapport de l’OFDT sur le crack en région parisienne publié en janvier 2021, la galette de crack était vendue entre 15 et 20€. Dominique Sistach indique qu’à Perpignan, la galette est en vente à 7,50€, ce qui attire les consommateurs d’autres régions. « Il y a des gens à Perpignan qui n’habitaient pas la ville avant de venir pour y consommer du crack. Ils sont étrangers de la communauté européenne, de Rouen, des Bretons, des jeunes, des saisonniers. Il y a des gens qui s’appellent au téléphone et qui se disent à Perpignan le crack est à 7,50€ la galette. Ce qui fait de Perpignan une ville qui attire les populations les plus fragiles ». Une autre spécificité est également constatée : Dominique Sistach parle d’un étirement du prix des produits vendus à Perpignan.

    Pour les sociologues, le problème est très complexe, tant pour la sécurité que pour la santé publique. « Le crack est hyperaddictif et destructeur. En seulement un mois de consommation, les gens semblent avoir pris dix ans ! Or, les institutions chargées d’accompagner les usagers (réduction des risques, désintoxication…) touchent seulement les consommateurs volontaires. Certains publics ne viennent jamais nous voir. Il est difficile de connaître les implications en termes de santé publique, de savoir par exemple combien d’overdoses le crack engendre. Et les discours sont contradictoires, certains acteurs disent qu’il n’y a pas de crack, d’autres qu’il y en a toujours eu. Mais à l’hôpital ils comptent les morts », se désole Dominique Sistach.

    « Il y a une forme de dénégation qui consiste à dire que notre ville est clean alors que ce la souffrance de ces gens qui font la manche saute aux yeux. Leur détérioration physique est flagrante. Alors oui, depuis les années 80, il y a une prise en charge via les traitements de substitutions pour les morphiniques, mais pas pour la cocaïne ou ses dérivés ».

    Mais tant pour la municipalité [RN] que pour les pouvoirs publics où les médias, il n’y a pas de problème.

     

    Source : medias-presse.info

  • Les Français ont obéi docilement comme des moutons qu’on mène à l’abattoir : c’était il y a déjà trois ans…

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Obéir comme des moutons que l'on mène à l'abattoir, 2 avril 2023

    Cela se passe en France en mars 2020 :

    oui, en France, pas en Russie poutinienne.

    Avec le recul, c’est incroyable ! Une policière macronienne “gueule” ses ordres à des passants passifs !

    Dans Contrepoints du 9 mars 2023, notre confrère Yves Bourdillon écrivait :

    “Il y a trois ans jour pour jour, les bureaucraties sanitaires occidentales ont imposé en mode panique et Panurge le confinement anti-covid. Une prophylaxie pourtant jamais utilisée et donc encore moins évaluée dans l’Histoire. Copier une méthode inventée par un régime totalitaire chinois aux données notoirement trafiquées aurait pourtant dû paraître peu judicieux. Mais la boîte de Pandore de ce genre de mesures hyper liberticides a été ouverte. C’est une date historique et funeste, quoique peu s’en souviennent, à commémorer ce 9 mars. Une date qui fera peut-être jurisprudence pour justifier les plus démentes atteintes à vos droits et libertés et un contrôle social numérisé digne d’un roman de Georges Orwell, ou d’Evgueni Zamiatine.

    La version dure du confinement, avec l’exigence d’une auto attestation datée, sous peine d’amende, pour travailler, s’approvisionner, ou se faire soigner n’a été pratiquée, contrairement à ce qu’a prétendu l’Elysée, que par six pays au monde : Italie, Espagne, France, Belgique, Roumanie et Maroc. Vous pourrez raconter à vos petits-enfants, qu’on peut espérer incrédules, qu’on a pourchassé en hélico des promeneurs sur une plage. Les villes de la moitié de la planète ressemblaient au décor muet d’un film catastrophe arpenté par des survivants et des zombies… mais des zombies dérogatoires.

    Cette prophylaxie n’avait pourtant JAMAIS été appliquée NULLE PART et donc encore moins testée ou validée dans l’Histoire de l’humanité. Cette dernière pratiquait jusqu’alors la méthode éprouvée et robuste « tester-isoler-soigner » face aux nombreuses épidémies qu’elle a dû affronter.

    Si des villes ont été mises en quarantaine au Moyen Âge et jusqu’au XIXe siècle pour peste, ou choléra, cela n’avait rien à voir avec l’interdiction de sortir de chez soi. “

    En mars 2020 nous avons collectivement mis le doigt dans un engrenage dévastateur. Les pires dictatures n’auraient jamais osé imaginer pouvoir nous interdire de sortir de chez nous, travailler, recevoir nos amis, imposer de porter un bavoir inutile dans la rue, présenter notre statut vaccinal pour s’asseoir à une terrasse de café.

    La prophylaxie contre le covid l’a fait sans que personne ou presque ne moufte. Preuve a été faite que les populations pouvaient accepter n’importe quelle mesure liberticide du moment qu’on brandit un microbe.

    Et pour répondre au tweet ci-dessus – “Comment a-t-on pu admettre cette folie“, souvenons qu’avoir peur de façon irrationnelle, c’est se préparer à obéir . Voilà pourquoi les gouvernants politiques mais surtout économiques mondiaux utilisent la peur pour nous faire adopter des comportements dociles et même serviles où nous acceptons sans riposte les directives les plus déshumanisantes.

    Le jour où le confinement, ou son petit frère, le contrôle social numérisé de tous, partout, tout le temps, reviendra, souvenez-vous : cela a commencé un 9 mars.

    Paul DEROGIS

     

    Source : medias-presse.info

  • Chronique des cinglés

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Chronique des cinglés

    Voici la programmation culturelle de Sucy-en-Brie, Val de Marne. Le maire Marie-Carole Ciuntu est vice-président de la région IDF et membre de LR.

     

    Source : lesalonbeige

     

  • Un scrutin avec près de 93% d’abstention, est-ce réellement un scrutin ?

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Un scrutin avec près de 93% d’abstention, est-ce réellement un scrutin ?

    Selon France info :

    Lors d’une votation organisée dimanche, les Parisiens ont voté à près de 90% contre la présence de trottinettes en libre-service dans la capitale.

    Près de neuf Parisiens sur dix ont dit non, dimanche 2 avril, aux trottinettes en libre-service à Paris. Anne Hidalgo, qui s’était engagée à respecter le résultat du vote, a donc annoncé qu’il n’y en aurait plus à partir du 1er septembre.

    Bigre, les Parisiens se sont donc “largement” exprimés contre les trottinettes en libre-service… Au détour de l’article, on apprend quand même que

    103 000 Parisiens ont participé à la votation sur les 1,3 million d’inscrits sur les listes électorales à Paris, soit 7,46% de participation.

    La presse en roue-libre.

     

    Source : lesalonbeige